Tous pour Courbevoie

France Inter - 18 mai : les Damiers

L'émission "Périphérie" (Edouard Zambeaux) de France Inter a consacré son émission du 18 mai aux Damiers.

http://www.radiofrance.fr/franceinter/chro/peripheries/index.php?id=67808
(en écoute jusqu'au 18 juin)

Bonne lecture

Pas le choix : 3 semaines de colo cet été !

Cet été, les enfants qui souhaitent partir en colonies de vacances grâce à la ville de Courbevoie devront partir 3 semaines obligatoirement. La durée intermédiaire de 10 jours qui existait auparavant est supprimée.
Nous nous élevons évidemment contre cette mesure qui handicape notamment les familles séparées qui jonglent avec les dates de vacances afin que les enfants puissent passer du temps avec leurs deux parents. De nombreuses autres familles voient leurs projets estivaux bouleversés, les colonies de 3 semaines étant incompatibles avec de nombreux autres séjours possibles pour les enfants (entreprise, séjours linguistiques, etc ...).
Cette nouveauté 2008 est d'autant plus désagréable qu'elle découle d'une volonté manifeste d'économie.
Or, la subvention au VAL a été très largement amputée en 2008 car il existait une cagnotte censée compenser cette baisse de subvention. Cela n'a pas empêché les tarifs du VAL d'augmenter et la qualité de service diminuer, contrairement aux engagements du Maire lors de l'explication de la baisse de cette subvention.

7 mai à Courbevoie : thon et haricots verts

Si cela ne touchait pas à la santé de nos enfants, les aventures des cantines de Courbevoie pourraient être drôles ...
Le 7 mai dernier, la Mairie, les parents et les écoles s'étaient tous mis d'accord pour travailler le mercredi 7 mai en remplacement du 9 mai.
Mais à l'approche du repas du midi, un problème surgit. Les repas ne sont pas livrés. Il semble que la société "Avenance" n'ait tout simplement pas été prévenue !
Les enfants ont donc eu droit aux désormais célèbres repas de secours : thon et haricots verts.
"L'excellence" municipale promise pendant la campagne reste eu stade de promesse.

Le Parisien - 15 mai 2008

Mètres carrés illégaux : le PS réclame des comptes
par Marisa Faion et Valérie Mahaut
http://www.leparisien.fr/home/maville/article/METRES-CARRES-ILLEGAUX-LE-PS-RECLAME-DES-COMPTES_298501260

A14 fermée aux poids lourds - déviation par le boulevard circulaire

la gazette des communes
Rubrique Equipement - 14/05/2008
Ile-de-France. Le tunnel de l'A14 sous La Défense fermé aux poids lourds à partir du mois d'août
Le tunnel de l'A14 passant sous le quartier d'affaires de La Défense sera fermé aux poids lourds à partir du mois d'août 2008 et jusqu'en 2011-2012 pour des travaux de sécurité, a annoncé le préfet des Hauts-de-Seine Pierre de Bousquet de Florian. L'interdiction concerne les véhicules de plus de 3,5 tonnes. "Le tunnel de l'A14 n'est plus aux normes les plus récentes. J'ai donc pris la décision de ne pas prendre de risques inutiles et de ne pas laisser perdurer la circulation de poids lourds transportant des marchandises", a expliqué le préfet lors d'une rencontre avec des journalistes. Selon une note préfectorale, les travaux de remise aux normes, imposés par une directive européenne, concernent notamment la hausse du nombre de caméras, avec la mise en place d'une détection automatique des incidents et le renforcement de certaines structures pour mieux résister aux incendies. Les travaux doivent s'achever vers la fin 2011/début 2012.
Selon la préfecture, "l'itinéraire alternatif le plus naturel" dans les deux sens est le boulevard circulaire de La Défense.
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Le Parisien - 10 mai 2008

Le Patron mis en examen
par Valérie Mahaut - le Parisien
LE PATRON des ouvriers tombés d'une nacelle a été mis en examen jeudi, mais laissé libre. Deux jours après le drame, survenu mardi en fin de journée au pied d'un immeuble de Courbevoie, le parquet de Nanterre a ouvert une information judiciaire pour « blessures involontaires par manquement délibéré à une obligation de prudence ou de sécurité » et le patron de ces deux hommes, qui sont toujours entre la vie et la mort, a été mis en examen. De mardi à jeudi, il était entendu en garde à vue dans les locaux du commissariat de Courbevoie qui mène l'enquête sur cette nacelle devenue un engin de la mort.
Pas de harnais de sécurité
Aspect fort désagréable de cette triste affaire : les deux ouvriers ne sont pas déclarés et l'un d'entre eux est en situation irrégulière sur le sol français. Selon les premiers éléments de l'enquête, le patron de l'entreprise serait coutumier de l'embauche d'ouvriers non déclarés. Mardi, les deux hommes se trouvaient sur cette plate-forme fixée à hauteur du dixième étage de l'immeuble qu'ils étaient chargés de ravaler. Un bâtiment en comprenant dix-huit, situé sur l'avenue Gambetta. Subitement, les filins de la nacelle ont lâché, la plate-forme s'est décrochée avant de s'effondrer 15 m plus bas, sur une terrasse en béton. Le choc fut si violent que le sol bétonné est dorénavant incurvé. Hier, la plate-forme complètement détruite gisait toujours sur la terrasse en béton. Et elle restera sur place jusqu'à mardi puisqu'un expert judiciaire est mandaté ce jour-là pour l'examiner. L'expert est chargé d'analyser l'état du matériel, dont la vétusté ou le manque d'entretien pourraient expliquer l'accident. Autre point essentiel : les ouvriers travaillaient sans harnais.

Le Parisien - jeudi 8 mai 2008

Deux ouvriers non déclarés font une chute de 15 m
Par Valérie Mahaut - Le Parisien

DEUX OUVRIERS étaient toujours entre la vie et la mort hier après un terrible accident de chantier. Leur patron, qui les embauchait sans les déclarer, s'apprêtait, lui, à passer la nuit en garde à vue. En fin de journée, mardi, les deux ouvriers de 25 et 26 ans ont fait une chute de quinze mètres de haut après le décrochage de leur nacelle.
Dans cette nacelle, perchés à hauteur du cinquième étage de la façade d'un bâtiment en comptant dix-huit, situé avenue Gambetta à Courbevoie, les deux hommes étaient occupés au ravalement de l'immeuble.
Soudainement, et sans qu'on sache encore exactement pour quelle raison, la nacelle s'est décrochée pour s'écraser quinze mètres plus bas. Les ouvriers ont fait cette chute vertigineuse avant de s'écraser sur des terrasses en béton. « Cela a été très violent car le sol est complètement creusé », rapporte un proche du dossier. Victimes de multiples blessures et traumatismes, les deux hommes ont été hospitalisés à la Salpêtrière, à Paris, et à Beaujon, à Clichy. «Leur état est très grave », selon la même source.
Le patron en garde à vue
Les premières vérifications policières ont permis de découvrir que les ouvriers travaillaient au noir dans cette petite entreprise parisienne chargée du ravalement. Africain, l'un d'eux est aussi en situation irrégulière sur le sol français. Dès mardi soir, leur patron a été placé en garde à vue et interrogé. La perquisition de ses bureaux a révélé qu'il faisait souvent travailler des personnes en situation irrégulière. Et selon les premiers éléments de l'enquête, menée par le commissariat de Courbevoie, il avait érigé en
système l'embauche d'ouvriers non déclarés. Pour que la chose passe inaperçue, il embauchait une personne en respectant les règles et les deux autres au noir.
Autre gros problème pour l'employeur indélicat : les règles de sécurité pourraient ne pas avoir été respectées. Les ouvriers n'étaient pas qualifiés, ils n'ont pas reçu de formation. Pour mieux comprendre les circonstances exactes de l'accident, c'est-à-dire pour déterminer ce qui a provoqué le décrochage, le parquet de Nanterre a ordonné hier une expertise judiciaire. Le patron devrait être entendu par un magistrat aujourd'hui.

Quotient familial : enfin à Courbevoie.

La caisse des Ecoles vient d’instaurer le quotient familial dans les cantines scolaires pour la rentrée 2008. Bravo !
Depuis 3 ans, la Mairie de Courbevoie promettait la mise en place du quotient familial dans les cantines de Courbevoie. Après 3 ans d’atermoiements, la Caisse des Ecoles vient de le décider pour la rentrée 2008. Enfin.
Le groupe « Une autre ambition pour Courbevoie » animé par Jean-André Lasserre se félicite de cette disposition. Nous nous félicitons également de l’union de toutes les associations de parents d’élèves sur ce dossier, qui ont toujours eu notre soutien, et qui ont réussi à obtenir cette avancée.
La mise en place du quotient familial, qui permet d’adapter le coût de participation aux repas aux revenus de la famille, est une demande historique de la gauche à Courbevoie. Elle figurait en bonne place dans notre programme lors des dernières élections municipales et même depuis la campagne municipale de Philippe Roche en … 1983 ! Courbevoie est la dernière ville du département à adopter cette mesure simple de justice sociale.
De plus, l’instauration du quotient familial permet de conditionner l’aide à des règles claires et précises. Cela évite ainsi les aides directes de la Mairie, au coup par coup, sans transparence, base d’un clientélisme humiliant qui mettait les familles en position de soumission par rapport à l’équipe en place.
Nous demandons bien évidemment l’extension du quotient familial aux autres frais dépendant directement ou indirectement de la Mairie, comme les activités périscolaires d’études ou de loisirs. La Mairie a promis cette mise en place pour janvier. Nous y serons attentifs.
Infos pratiques : Les prix des repas s’étaleront de 0,50 à 4,15 €, selon 11 tranches, selon les propositions des Fédérations de parents d’élèves.

Sur le Pont

Les élus de "Une autre ambition pour Courbevoie vous donnent rendez-vous :
Samedi 10 mai
Marché Bécon
Marché Marceau
Dimanche 11 mai
Marché Charras

45 000 m2 clandestins à la Défense

2004 : la presse révèle 7000 m2 clandestins sur les tours de la Défense
2008 : l’affaire concernant désormais 45 000 m2 est transmise au Parquet
L’opposition municipale s’étonne de votes, déclarations et décisions du Maire de Courbevoie
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En juin 2004, Libération révèle l’existence de 7000 m2 clandestins dans 3 tours de la Défense de la Zac Danton, gérée par la SEMCODAN, une SEM de la Ville de Courbevoie. Le Maire de Courbevoie Jacques Kossowski, également président de la Semcodan, prend alors la décision de régulariser à posteriori ces mètres carrés, déclarant qu’il n’allait tout de même pas « mesurer au double-décimètre » les terrains aménagés par la Semcodan.
Dès cette époque, l’opposition municipale dénonce :
- cette régularisation à posteriori
- la délégation du contrôle des permis de construire aux services préfectoraux, alors que ces derniers étaient en nombre notoirement insuffisant pour effectuer de telles vérifications
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A la suite de cette révélation, le Préfet prend d’une part l’initiative d’une enquête de police., d’autre part d’effectuer un contrôle systématique de toutes les tours réalisées depuis 2001.Mai 2008 :L’enquête de police arrive à son terme. Les conclusions ont été remises au Parquet. Selon un article du Point du 1er mai 2008, les surfaces concernées atteignent maintenant 45 000 m2 réparties sur 6 tours. Ramené au territoire de la commune, c’est plus de 1 % !
- La Semcodan fait l’objet d’une dissolution à l’amiable
- Jacques Kossowski s’est porté partie civile dans cette affaire,

Le Groupe « Une autre ambition pour Courbevoie animé par Jean-André Lasserre » s’interroge sur les illégalités manifestes de ce dossier et demande :
- quel rôle a l’ayant droit de Vivendi dans cette affaire (promoteur des tours et actionnaire à 20 % de la Semcodan) ?
- quelle est la régularité de la dissolution amiable de la Semcodan dans le contexte de l’instruction en cours
- toute la clarté sur les conditions dérogatoires du transfert du contrôle de légalité au profit des services de la Préfecture 

Dossier suivi par Anthony Klein, conseiller municipal, et Isabelle Cissé-Tresson pour le groupe « Une autre ambition pour Courbevoie - présidé par Jean-André Lasserre »