Rédigé à 10:02 dans programme local, solidarité | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 11:49 dans logement, programme local, Programme socialiste national | Lien permanent | Commentaires (0)
Bonjour,
Rédigé à 12:39 dans Agenda, Courbevoie - quartier Boulevard St-Denis, Courbevoie - quartier Bécon, Courbevoie - quartier Charras, Courbevoie - quartier Défense , Courbevoie - quartier Faubourg de l'Arche, Courbevoie - quartier Herold - Verdun, Courbevoie - quartier Marceau, Courbevoie - quartier République, Courbevoie - quartier Saint-Marie, logement, programme départemental, programme local, Programme socialiste national | Lien permanent | Commentaires (0)
Actualité de Courbevoie - mars 2012
Le 1er mars 2012, le maire UMP de Courbevoie Jacques Kossowski a signé le permis de construire des tours Hermitage.
A quelques semaines de l’élection présidentielle qui pourrait changer la gouvernance de l’Epadesa, le maire accélère le mouvement sur un projet toujours pas financé. Le risque de friche urbaine grandit.
Le 1er mars, le maire UMP de Courbevoie Jacques Kossowski a franchi une nouvelle étape dans son inconditionnel soutien aux tours Hermitage.
Non content de mentir aux habitants en leur promettant de ne pas signer de permis de démolir tant qu’ils occuperaient les immeubles (il a signé le permis de démolir),
Non content d’accentuer la pression aux résidents des Damiers par des décisions municipales violentes comme les autorisations de démolition,
Non content d’organiser dans sa ville le remplacement des logements des classes moyennes par des tours de luxe uniquement accessibles à une classe mondiale privilégiée,
Jacques Kossowski a signé le 1er mars le permis de construire des tours Hermitage, alors que les conditions de construction de ces tours sont toujours aussi douteuses.
D’où vient l’argent ?
Depuis trois ans, nous réclamons sans succès de connaître les sources de financement d’Hermitage. Aujourd’hui, le promoteur annonce le début des travaux « en blanc », c’est à dire sans que la vente de l’ensemble ne soit signée, ni la pré-commercialisation actée.
Pour lancer une opération en blanc, il faut être assuré de ses fonds propres ce qui n'est pas le cas ici. Cette opération n'est donc pas garantie financièrement. L'opérateur n'a toujours pas acheté les immeubles d'assiette et ne dispose pas à son bilan des fonds propres suffisants. Les apports éventuels en fonds propres (et pas seulement les financements prévus à hauteur de 700 millions d'Euros) n'ont jamais été explicités ni par la Société HERMITAGE, ni moins encore par les actionnaires russes. Le risque est donc majeur de se retrouver avec une friche immobilière au milieu de la défense. Devant la totale inconnue sur les flux financiers à venir, nous demandons toute la vigilance de TRACFIN (Traitement du Renseignement et Action contre les Circuits Financiers) afin d’authentifier avec certitude les flux de financements.
A quelques semaines des élections présidentielles
L’accélération brutale du calendrier intervient à quelques semaines des élections présidentielles dont le résultat pourrait bouleverser la composition du conseil d’administration de l’Epadesa. L’UMP et ses alliés sont donc prêts à tout pour satisfaire les amis de Messieurs Poutine et Sarkozy, parrains de cette opération.
Pressions sur les 60 dernières familles, visites d’huissiers, menaces, décisions administratives précipitées, tout est bon pour que le promoteur puisse commencer des travaux avant mai.
Ce projet n’avait déjà aucun intérêt pour Courbevoie ni pour la Défense, détruisant du logement accessible à un moment où le besoin est le plus fort. Ce projet devient désormais dangereux pour les équilibres financiers fragiles de la Défense. Les risques et les montants en jeu sont trop élevés pour traiter un tel dossier dans une précipitation pré-électorale.
Rédigé à 18:21 dans Courbevoie - quartier Défense , logement, programme départemental, programme local, Programme socialiste national | Lien permanent | Commentaires (0)
En 2010, la ville de Courbevoie paie 100 000 euros à Global Conseil pour recevoir des « conseils stratégiques en communication ». En 2012, le prix double et passe à 200 000 euros. Sans aucune justification ni explication apportée aux élus. Chaque Courbevoisien finance ainsi les conseil en stratégie de communication politique au seul service de l’UMP local.
En 2010, notre groupe avait déjà dénoncé ce marché auprès de la société Global Conseil. (voir article ici).
Seule prestation notable en septembre 2010, une mention de Courbevoie sur le blog de Franck Gintraud, le patron de Global Conseil … sous la forme d’un lien vers le blog « d’un jeune élu UMP de Courbevoie ».
Le 5 mars 2012, le conseil municipal examine à nouveau cette prestation.
Cette fois, le montant double et passe à plus de 200 000 euros pour les deux ans qui viennent (donc jusqu’en mars 2014, date des prochaines élections municipales).
Nous avons demandé à voir les rapports issus de la première prestation. Gêné, le maire refuse de produire les documents issus du marché Global Conseil et renvoie vers Courbevoie Magazine. « C’est bien suffisant pour voir l’utilité de ces conseils » lance-t-il.
Le plus choquant est cette phrase en toutes lettres extraite de la réponse de l’agence pour emporter le marché :
« Faire entendre la voix de la majorité par rapport à celle de l’opposition ».
L’activité de conseil en communication est donc bien principalement politique, au service d’un camp unique, celui de la majorité UMP et non au service de l’ensemble des Courbevoisiens.
Jean-André Lasserre, président du groupe « Une autre ambition pour Courbevoie » (PS – EELV – FDG) dénonce :
« le maire UMP de Courbevoie utilise toutes les vieilles méthodes pour museler son opposition. Invitations tardives aux réunions publiques, effacement des représentants de l’opposition sur les panneaux de la ville, noyautage et huis clos des conseils de quartier, respect a minima des obligations légales de représentation de l’opposition, et maintenant, il rémunère grassement sur argent public des conseils en communication clairement orientés. C’est pathétique et indigne de la fonction qu’il occupe. »
Rédigé à 19:25 dans Courbevoie - quartier Boulevard St-Denis, Courbevoie - quartier Bécon, Courbevoie - quartier Charras, Courbevoie - quartier Défense , Courbevoie - quartier Faubourg de l'Arche, Courbevoie - quartier Herold - Verdun, Courbevoie - quartier Marceau, Courbevoie - quartier République, Courbevoie - quartier Saint-Marie, gouvernance, programme local | Lien permanent | Commentaires (0)
Le mardi 7 février 2012, les enseignants et parents d'élèves du Conseil d'administration du collège Georges Seurat de Courbevoie ont voté une motion contre la Dotation horaire globale (DHG) 2012 que veut lui imposer l'Inspection académique ! En 2012, avec une telle DHG, le collège Georges Seurat à Courbevoie serait ainsi en 84ème position sur les 98 établissements publics que compte le département ! Jean-André LASSERRE, Conseiller général de Courbevoie, soutient la démarche des enseignants et parents d'élèves du collège Seurat, et va intervenir auprès de l'Inspection d'Académie. Il s'étonnera d'une part de la répartion de la DHG d'un établissement à un autre, et dénoncera la diminution des moyens qu'il juge préjudiciable pour la communauté éducative et le devenir des jeunes accueillis.
Rédigé à 22:14 dans Courbevoie - quartier Faubourg de l'Arche, jeunesse, programme local | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce début d'année 2012 est marqué par des débats importants sur La Défense.
Depuis plusieurs années, nous pointons le déséquilibre des finances du quartier d'affaires.
Fini le modèle en perpétuelle extension de La Défense. Fini l'argent qui coule à flot sur la ville deCourbevoie. Finie la gestion à la petite semaine d'une équipe municipale habituée à l'opulence.
Il faut désormais trouver plusieurs dizaines de millions d'euros (de 130 à 450 selon les estimations) pour remettre à niveau la dalle, les tunnels et entretenir ce patrimoine.
Depuis plusieurs dizaines d'années, le maire et l'équipe municipale font silence sur La Défense, pourtant largement implantée sur le territoire de Courbevoie. Il a fallu la mobilisation des habitants contre les tours Phare, Ava et Hermitage, et la victoire de l'opposition sur le canton de Courbevoie-sud La Défense pour que le maire daigne traiter le sujet dans Courbevoie Magazine.
Mais en omettant de nombreux aspects du dossier Défense…
Le maire est vice-président de l'Epadesa, membre du conseil d'administration de Defacto. Il est donc parfaitement informé des difficultés économiques de La Défense. Mais plutôt que de tenir un langage de vérité, d’admettre que la ville n'a pas su économiser ses richesses pour faire face aux dépenses prévisibles comme l'entretien de la dalle, il participe avec son équipe municipale à une fuite en avant.
Coûte que coûte, les élus UMP soutiennent les projets Hermitage, Phare et Ava, alors même que ces projets signifient des dépenses importantes que les droits à construire payés par les promoteurs ne suffiront pas à couvrir. Ils démontrent là leur incapacité à prévoir, ainsi que leur vision négative de l’avenir.
Il devient donc urgent et même vital que, nous, Courbevoisiens, nous réappropriions la Défense pour que dorénavant son développement, vraiment durable, dépasse le tout-consumérisme, intègre une offre de logements importante, une meilleure qualité de services, et une amélioration du cadre de vie.
Jean André LASSERRE
Conseiller général
Président du Groupe
et Cécile Boucherie, Anthony Klein, Joëlle Paris, Ingrid Fasshauer, Daniel Suisse, Christian Mimiague, Isabelle Tresson, conseillers municipaux.
Rénovation des espaces publics du quartier d'affaires de La Défense Question n° 1557S adressée à Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement À publier le : 29/12/2011 Texte de la question : M. Philippe Kaltenbach attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur les difficultés financières de l'Établissement public d'aménagement de La Défense Seine Arche (EPADESA) et de Défacto. Pendant des décennies, l'Établissement public pour l'aménagement de la région de La Défense (EPAD), puis l'EPADESA, en charge de l'aménagement de La Défense, ont vendu des millions de m² de droits à construire sans se soucier outre mesure de l'entretien des espaces publics du plus grand quartier d'affaires d'Europe. Un rapport de l'Inspection générale des finances pointe aujourd'hui de graves erreurs de gestion. La mise aux normes des espaces publics de La Défense va en effet nécessiter l'investissement de plusieurs centaines de millions d'euros dans les années à venir. Le chiffre de 600 millions d'euros est évoqué. Après ses errances de gestion, l'EPADESA est désormais contraint à une surenchère de construction pour parvenir à éviter la faillite. Le problème est que les acheteurs se font de plus en plus rares et que la crise dans l'immobilier de bureau aggrave ces difficultés. Le modèle économique et urbain d'un grand quartier d'affaires monofonctionnel que continue de privilégier le Gouvernement pour La Défense n'attire plus aujourd'hui les investisseurs comme hier. Ce dont a désormais besoin ce quartier, c'est de transports qui fonctionnent, ainsi que d'une véritable mixité en termes de bureaux, de logements diversifiés, de commerces et d'activités. Et ce dont a besoin l'EPADESA, c'est d'un nouveau mode de gouvernance, l'actuel montrant aujourd'hui largement ses travers et ses limites. Il lui demande quelles actions il envisage de mettre en œuvre pour permettre à Défacto d'assurer sa mission de gestion de La Défense et de pouvoir procéder à la remise en état de ses espaces publics. |
Lors de la séance publique du Conseil général du vendredi 16 décembre 2011, Jean-André LASSERRE, Conseiller général de Courbevoie, a présenté un vœu demandant la communication du rapport de l’Inspection des finances sur l’EPADESA, qu'une étude soit réalisée sur les taux de vacance des bureaux pour déterminer la situation commerciale précise du quartier d’affaires, et de jauger la pertinence des annonces toujours plus mirobolantes de nouveaux programmes.
L'élu de Courbevoie a proposé également un moratoire sur les grandes opérations à venir tels que qu’AVA, Hermitage, la Tour Phare dans le cadre d’une mise à plat du plan de renouveau de la Défense.
Voeu présenté par Jean-André LASSERRE
Monsieur le Président, chers collègues,
Lors de notre séance publique du 24 juin dernier, nous avions demandé à Monsieur le Préfet ce qu’il en était du rapport de l’inspection des finances sur la situation financière de l’EPADESA. Nous l’avions également interrogé sur l’articulation entre les différents projets prévus ou en cours de réalisation, et l’évolution de l’offre de transport à la Défense.
Toujours au cours de la même séance, nous avions attiré l’attention, dans le cadre d’une question orale, sur les défauts originels du Plan de renouveau de la Défense, l’impact négatif de la crise sur le bon déroulement des projets annoncés, et les difficultés à trouver des réponses durables compte tenu des problèmes de gouvernance. Force est de constater que six mois plus tard, la situation n’a pas beaucoup évolué et même prend des tournures de plus en plus inquiétantes.
Le rapport de l’Inspection des finances n’a toujours pas été rendu public. Les quelques informations qui ont pu être divulguées dans la presse ainsi que les réactions politiques laissent présager du pire : des effets d’annonce sans lendemain, une situation financière difficile avec un endettement probable, des charges foncières que l’on brade, et des projets comme Hermitage et Phare qui vont générer des coûts d’aménagement significatifs, voire même supérieurs aux charges foncières, avec une inconnue que constitue le coût de la couverture pour laquelle nous ne disposons d’aucune information alors que le Conseil municipal de Courbevoie s’apprête à voter de manière irresponsable le permis de démolir pour l’un des immeubles concernés par le projet Hermitage.
On pourrait certes considérer qu’il s’agit d’un sujet qui ne relève pas de la compétence directe de notre Assemblée. Mais il s’avère que la situation financière de l’EPADESA a un impact sur les capacités de financement de DEFACTO dans lequel nous jouons un rôle important, et par voie de conséquence dans la mise à niveau de la dalle.
Par ailleurs le quartier représente un pôle économique majeur pour le département qui semble souffrir d’un inquiétant problème d’attractivité comme en témoignent le nombre de m2 de bureaux vacants ou encore le niveau des loyers pratiqués avec une offre périphérique qui lui fait directement concurrence.
De la même manière, cela influe sur les financements d’EOLE et plus particulièrement de la future gare du Grand Paris.
Enfin la montée des protestations des habitants qui vivent à la Défense ou dans les quartiers environnants ne peut laisser indifférent tout en mettant en lumière les limites d’un processus de décision opaque.
Sur la base de ces éléments, le Conseil général :
- demande que le rapport de l’Inspection des finances soit enfin rendu public dans l’intérêt de l’EPADESA, de DEFACTO, des villes de Courbevoie, de Puteaux et Nanterre, de l’avenir du quartier d’affaires et du développement économique de notre département ;
- décide de lancer une étude sur les taux de vacance des bureaux et ses caractéristiques. Il s’agira de déterminer de manière précise la situation commerciale que vit le quartier d’affaires, et de jauger la pertinence des annonces toujours plus mirobolantes de nouveaux programmes ;
- conteste le désengagement de l’EPADESA dans le financement d’EOLE, condition initiale du Plan de renouveau de 2007, engagement initialement prévu à 300 millions d’euros, puis à 100 millions, et à zéro aujourd’hui dans les comptes de l’EPADESA ;
- propose un moratoire sur les grandes opérations à venir tels que qu’AVA, Hermitage, la Tour Phare qui suscitent des interrogations économiques, juridiques, et techniques. Ceci s’inscrira dans le cadre d’une mise à plat du plan de renouveau de la Défense dans tous ses aspects, y compris physiques, techniques, économiques et spatiaux ;
- recommande de mettre en place une planification des travaux et de subordonner les nouvelles constructions à l’évolution de l’offre de transports. Les aménagements du RER A en cours, malgré les améliorations apportées, sont déjà estimées insuffisantes à court terme par l’EPADESA elle-même ;
- souhaite qu’il soit initié un audit indépendant visant à déterminer les conditions dans lesquelles serait envisageable un arrêt de la croissance du nombre de tours en privilégiant les aspects de requalification et de mise à niveau permanente de l’offre immobilière existante et de l’espace public.
Rédigé à 16:01 dans Courbevoie - quartier Défense , programme local | Lien permanent | Commentaires (1)
Lors du dernier conseil communautaire de Seine-Défense, les villes de Courbevoie et Puteaux ont émis un avis réservé au plan du Préfet de Région et de l’Etat qui prévoit la construction de nombreux logements accessibles sur le territoire des 2 communes. La lecture des arguments est édifiante : du logement accessible, oui, mais chez les autres !
Dans le cadre du Grand Paris, un large plan de construction de logements accessible est en préparation. Chaque territoire est évidemment sollicité pour donner un avis sur les propositions de l’Etat. L’ensemble des conseillers communautaires, tous UMP, de Seine-Défense, ont émis un avis réservé.
Au moment où les Français, et les Franciliens et Alto-séquanais en particulier, ont les plus grandes difficultés à se loger, les communes les plus riches refusent de participer à un effort de solidarité minimal.
Les arguments des élus UMP de Puteaux et Courbevoie laissent songeurs :
- Les autres zones du 92 (sud 92 et nord 92) sont moins sollicitées
- L’effort fourni par les 2 communes est suffisant
- Les villes ne disposent pas d’espaces disponibles
- Les villes n’ont pas de connaissance suffisante de leur parc social
Aucun de ces arguments n’est véritablement convaincant.
- La proximité de la zone Défense nécessite une offre accessible importante pour les salariés du secteur, dont beaucoup de faibles revenus dans les services de la Défense (sécurité, nettoyage, etc …)
- L’effort des deux communes, de Courbevoie en particulier, est extrêmement restreint. Grâce aux PLS (Prêt Locatif Social - accessible à 80 % de la population), Courbevoie se maintient tout juste au dessus des 20 % légaux, sans que l’OPH de la ville ne fasse d’investissements significatifs.
- L’espace constructible est disponible pour des promoteurs de petites résidences de standing, ou pour de nouvelles tours de bureaux de la Défense. L’espace existe donc quand la volonté est présente.
- La méconnaissance du parc social montre surtout que ces villes sont mal gérées, au jour le jour, sans vision d’avenir.
Jean-André Lasserre ajoute : « Courbevoie est apparue récemment dans les premiers rangs du classement des villes les plus inégalitaires de France. La majorité UMP, refermée sur son pré carré du 92, refuse de s’ouvrir à la solidarité nationale. Lors de tous nos combats, locaux, départementaux, nationaux, l’ensemble des forces de gauche fait du logement accessible une valeur fondamentale de notre vivre ensemble et une priorité absolue contribuant au bien être de tous. Aujourd’hui, les Courbevoisiens eux-mêmes souhaitant agrandir leurs familles, ou loger leurs enfants devenus adultes, ne peuvent pas trouver de logement accessible sur notre ville. Pourtant, organisée et anticipée, cette offre de logement est évidemment bénéfique, tant pour le pouvoir d’achat des habitants, que pour le dynamisme apporté ainsi à nos territoires. A nous, ensemble, d’en faire un atout pour nos villes. »
Rédigé à 18:25 dans logement, programme départemental, programme local | Lien permanent | Commentaires (0)