Retrouvez ici l'article sur Hermitage et la Défense 1 :
Sur le lien ci-dessous : ARTICLE ECHO ILE DE FRANCE
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Retrouvez ici l'article sur Hermitage et la Défense 1 :
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Rédigé à 21:21 dans Courbevoie - quartier Défense | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé à 11:49 dans Agenda, Courbevoie - quartier Charras | Lien permanent | Commentaires (0)
La rue de Bezons est LA route départementale centrale de notre canton. Commerces, services publics, transports, elle présente de nombreux atouts mais le laisser-faire du Conseil Général et de la ville provoque doucement mais sûrement désertification et désaffection des habitants.
Revitaliser le centre-ville
Le commerce et les services
Des commerces de bouche ferment définitivement ! Que faire ? Rien, comme l’UMP le préconise, sous prétexte que «c’est du privé»? La ville et le Conseil Général ont pourtant des moyens d’action efficaces pour maintenir une diversité commerciale. Des conventions avec des centres de formation pour reprendre les commerces lors des départs en retraite et des incitations à la diversification sont possibles. De plus, Courbevoie présente un déficit flagrant de locaux publics. Des services publics, dont certains dépendent du Conseil Général doivent être installés dans cette rue passante et créer un pôle attractif dans le quartier.
Une maison de la famille à dominante médico-sociale
La clinique Médicis Cette énorme bâtisse au coeur du centre ville est scandaleusement laissée à l’abandon depuis de nombreuses années. Certes, comme avant chaque élection, est apparu un projet privé de santé pour les personnes âgées et Alzheimer, un beau projet … mais sera-t-il accessible à tous ? Le Conseil Général, grâce à l’établissement public foncier du département, peut acquérir ce lieu et compléter le projet Alzheimer par une Maison de la Famille à dominante médico-sociale qui accueillera toutes les générations et offrira un accueil petite enfance avec une maison verte d’inspiration Dolto, un planning familial, un lieu de médiation familiale et conjugale et enfin un point d’aide dans le domaine du handicap, si peu pris en compte dans notre département … bref toutes structures qui manquent cruellement dans une ville de presque 100 000 habitants... C’est un projet très ambitieux de solidarité, offrant un lieu unique d’information et de rencontre aux habitants, dans le quartier le plus central de notre ville.
L’accessibilité de la gare de Courbevoie
L’accessibilité aux quais dans les deux sens depuis la rue de Bezons est évidemment une priorité. Pouvoir revenir de la gare Saint-Lazare, c’est bien. Mais pour les personnes avec poussettes, les jeunes enfants, les personnes âgées, les personnes handicapées, pouvoir y aller aussi, c’est mieux!
Des accès facilités
Je pense que l’aménagement urbain est essentiel à la revitalisation du quartier. Pour la rue de Bezons, qui dépend du département, le Conseil Général peut s’impliquer, en coordination avec la ville. L’élargissement des trottoirs est le plus urgent pour aérer la voirie et fluidifier les déplacements. De même, l’uniformisation de la signalétique est utile pour indiquer les commerces, services et directions, mais aussi pour limiter le nombre de poteaux qui empiètent sur les trottoirs et alléger l’encombrement, tout en informant efficacement.
La circulation du centre-ville doit être repensée en mettant en place ce qu’on appelle une « circulation douce». Au sein du Conseil Général, j’insufflerai un volontarisme qui manque cruellement à la ville.
Rédigé à 17:30 dans Courbevoie - quartier Charras, Courbevoie - quartier Marceau, programme local | Lien permanent | Commentaires (0)
Le centre-ville de Courbevoie n’est pas constitué que du centre commercial privé. Sa nécessaire rénovation ne doit pas empêcher la réhabilitation complète du centre ville. La rue de Bezons et la rue Baudin, deux départementales, permettent au Conseil Général de s’impliquer dans ce projet.
La méthode de la mairie est inacceptable
La mairie annonce depuis 5 ans, une concertation sur le centre-ville. Mais au final, entre des réunions commanditées par le promoteur privé et une grande campagne de publicité pour un «chat» d’une heure (campagne financée par le contribuable courbevoisien), la concertation se limite à promouvoir le projet du promoteur sans repenser aussi les espaces publics.
Centre Commercial et Parc Charras
La réaction des habitants contre le projet présenté par Corio (qui gère le centre commercial) a été vive. Mais le maire et son équipe restent sourds à vos remarques et continuent de brader les espaces publics de la ville. Le maire, ainsi que la candidate UMP, ont en effet voté en conseil municipal le PLU (Plan Local d’Urbanisme) qui rend constructible la moitié du parc Charras (avec destruction d’arbres), qui permet la disparition du marché couvert et qui autorise la construction d’un immeuble sur la rue Baudin, au niveau de la station-service.
La candidate UMP a voté la constructibilité de la moitié du Parc Charras
Nos propositions pour l’amélioration du centre ville sont beaucoup plus larges. Elles passent d’abord par des accès facilités pour tous les usagers. Je propose que le carrefour Charras, au croisement de 2 départementales, devienne une transition sécurisée et simple entre la rue de Bezons et le centre commercial. Ces rues doivent être repensées pour que poussettes, fauteuils roulants, personnes âgées, ou simplement deux personnes de front puissent circuler facilement. Idem pour les cyclistes. Certes une bande cyclable est miraculeusement apparue à la veille des dernières élections municipales … un coup de pinceau et voilà «une bande cyclable». Le commentaire du maire est édifiant sur cet aménagement : «C’est pratique, les voitures peuvent se garer».
Faire du carrefour Charras une zone de circulation apaisée
Le marché
Le maintien d’un marché couvert à Charras est essentiel. C’est une offre de produits abordables, un marché fréquenté notamment le dimanche, qui structure la vie commerçante du quartier. C’est là que l’on trouve la dernière poissonnerie dans le quartier. Ses accès et sa visibilité doivent être améliorés mais la suppression du marché couvert n’est pas justifiée. Je serai extrêmement vigilant sur ce point.
Notre projet pour le centre ville :
Renforcer les espaces verts en créant un lien entre le parc de Freudenstadt, le parc Charras et le parc des Pléïades;
Faire du carrefour Charras, de la rue de Bezons et de la rue Baudin une zone de circulation apaisée où piétons, cyclistes et automobiles se croisent en bonne intelligence;
Travailler en partenariat avec les commerçants pour la rénovation du centre, des commerces et du marché et mettre en valeur les terrasses des cafés et restaurants;
Bien baliser les accès vers la piscine et la patinoire;
Maintenir le marché couvert.
Rédigé à 15:05 dans Courbevoie - quartier Charras, programme local | Lien permanent | Commentaires (0)
La tour phare, qui détruira la passerelle Carpeaux, provoquera des nuisances pour tout le quartier du Faubourg pendant au moins 4 ans, puis séparera de la Défense les 15 000 habitants du Faubourg. C’est le contraire de ce que nous souhaitons.
Aujourd’hui, la compétitivité d’un quartier d’affaires se mesure à sa qualité de service, pas à la hauteur de ses tours
La tour phare
Cette tour de plus de 300 mètres, prévue à la place de la Passerelle Carpeaux et du pouce de César, fera trois fois la hauteur de la Grande Arche. Vue du Faubourg de l’Arche, elle occultera totalement l’espace encore libre entre le CNIT et la Grande Arche. L’ambition des dirigeants de la Défense, de Nicolas Sarkozy à Jacques Kossowski, se réduit à une question de prestige : avoir la plus grande des tours.
Les conséquences néfastes de la tour phare sur le quartier
Les habitants du Faubourg de l’Arche seront les plus touchés : la passerelle Carpeaux, tant espérée par les habitants, sera détruite pour au moins 4 ans, réduite à un petit pont métallique supposé absorber 30 000 passages par jour ! Une fois construite, la tour phare constituera une coupure urbaine entre le quartier et la Défense, provoquant ombres et prises au vent importantes pour les habitants.
Des implications négatives pour l’Ile de France
Au delà de l’aspect énergétivore d’une telle tour, les conséquences environnementales et sociales du déplacement de 8000 salariés supplémentaires vers la Défense sont un exemple du mépris de l’intérêt général par l’Epad : 40 voitures supplémentaires de RER seront nécessaires pour transporter chaque jour les salariés. Or le RER A est déjà saturé et le réseau de transport atteint ses limites.
Un combat de terrain, un combat en justice
Les élus UMP du département et de Courbevoie n’ont pas voulu informer les habitants. Le maire était pourtant membre du jury d’architecture en 2007. En revanche, j’ai activement participé à la médiatisation de l’enquête publique en mai dernier. Je viens de déposer, avec l’ensemble de la gauche courbevoisienne, un recours contentieux contre le permis de construire.
Nous menons ce combat sur le terrain avec des habitants et des associations, mais le rapport de force pour empêcher cette tour est également politique. Deux administrateurs de la Défense sont choisis par le Conseil Général. Grâce à votre vote, ils pourront demain s’opposer à la tour phare. Contrairement au modèle d’urbanisme dépassé proposé par l’Epad-UMP à travers la tour Phare, je défends un quartier d’affaires plus humain et plus respectueux des habitants et des usagers.
Une vision d’avenir de la Défense
La Défense ne peut pas s’étendre indéfiniment et déséquilibrer encore la région. Aujourd’hui, la compétitivité d’un quartier d’affaires se mesure également à la qualité de services. Celle-ci passe par des transports adaptés permettant aux salariés de venir travailler dans de bonnes conditions; par des escalators qui fonctionnent; par des logements à prix raisonnables, proches des zones d’emploi et accessibles aux diverses catégories de familles ; par une vie de quartier, culturelle et sociale contribuant au mieux vivre ensemble pour les habitants et usagers.
Rédigé à 19:19 dans Courbevoie - quartier Défense , Courbevoie - quartier Faubourg de l'Arche, programme local | Lien permanent | Commentaires (2)
Les tours Hermitage sont une honte pour notre ville. Luxueuses, elles symbolisent les choix de l’Epad-UMP qui oublie que les habitants ont grand besoin de logements accessibles. Une vraie réhabilitation est nécessaire pour l’ensemble du quartier.
Je me bats sur le terrain et en justice contre les tours Hermitage depuis 3 ans
Tours Hermitage, un projet pharaonique
Les tours Hermitage (300 m de haut) sont en projet sur la Défense 1, à la place des immeubles des Damiers. Leur concept est simple : proposer à des familles fortunées des logements de luxe à 15 000 euros le mètre carré. La conséquence est tout aussi simple : les occupants des immeubles Damiers sont fermement priés d’aller voir ailleurs. Qui seront les prochains ? Les immeubles riverains ? L’Ancre ? Louis Blanc ? Les Corolles ?
Aujourd’hui, la compétitivité d’un quartier d’affaires se mesure à sa qualité de service, pas à la hauteur de ses tours
Le soutien inconditionnel de l’Epad et de l’UMP locale.
Le projet est bancal ? Peu importe, les élus UMP le soutiennent inconditionnellement.
Quitte à mentir en public en promettant aux habitants de ne pas signer de permis de démolir ... tout en le votant quelques mois plus tard. La candidate UMP a, entre autres, voté pour la destruction des immeubles des Damiers.
Quitte à passer outre les doutes persistants sur la faisabilité financière, économique et juridique du projet.
Quitte à en appeler au plus haut niveau de l’état, avec une signature parrainée par Nicolas Sarkozy et Dimitri Medvedev. Des habitants ont déjà été chassés de leur logement alors que le projet est toujours fragile.
Je me bats et j’agis
Je lutte depuis 3 ans contre ce projet aux côtés des habitants inquiets et sous pression. J’ai contribué à la médiatisation de cette lutte légitime, et toute la presse a révélé les faiblesses du dossier. Avec mes collègues de gauche au conseil municipal, j’ai déposé un recours contentieux contre ces tours, pour l’annulation du protocole avec l’Epad. Ce combat est d’autant plus nécessaire que les tours impacteraient gravement l’ensemble de la zone. La circulation en provenance du Pont de Neuilly serait détournée vers les rues du général Audran et le bas de rue de l’Abreuvoir. Outre l’ombre des tours et les nuisances dues aux travaux, l’ensemble du quartier Mozart-Arletty souffrirait durablement d’une circulation plus dense, plus bruyante et plus dangereuse.
Une vie de quartier à réinventer
La Défense 1 a pourtant besoin d’une forte rénovation. Le quartier, délaissé et mal entretenu depuis des années, est à réinventer. L’accès par le métro est totalement saturé. La rénovation doit porter aussi bien sur le bâti et les espaces publics que sur la vie de quartier. En effet, pourquoi attendre l’arrivée d’hypothétiques tours Hermitage pour sécuriser les espaces publics, créer des lieux de rencontre, ouvrir des salles aux associations du quartier, revivifier les commerces de proximité, faciliter le lien entre la dalle et le quartier Arletty -Mozart ? Comme je le fais depuis 3 ans, je me battrai pour que l’Epadesa (ex. Epad) et Defacto, dont les administrateurs sont élus par le Conseil Général, oeuvrent enfin à la réhabilitation de la Défense 1, avec les habitants.
Votre vote les 20 et 27 mars prochains aura une signification forte :
contre les tours Hermitage,
contre les choix politiques de l’Epad et de l’UMP.
Mon élection au Conseil Général créera un rapport de force permettant de mieux vous défendre.
Jean-André Lasserre
Candidat aux élections cantonales
Rédigé à 12:10 dans Courbevoie - quartier Défense , logement, programme local | Lien permanent | Commentaires (1)
Les départementales qui traversent Courbevoie sont aussi les rues que nous empruntons chaque jour. L’insécurité à certains endroits identifiés et les nuisances générées sont des points sensibles de la vie quotidienne. Repenser leur aménagement améliorera leur convivialité.
Des aménagements simples, nécessaires et urgents s’imposent
Quelles rues sont concernées ?
Le Conseil Général gère les départementales. A Courbevoie, le quartier Hérold est concerné pour le boulevard de Verdun, le boulevard Aristide Briand, la rue de Colombes et le boulevard Saint-Denis.
La sécurité
Verdun est l’une des voies les plus accidentogènes du département. Plus d’une vingtaine d’accidents y ont lieu chaque année. Pour le passage piéton situé au niveau de la rue Jules Ferry, on déplore plus de 30 accidents entre 2005 et 2008 ! De même, les abords de l’Espace Carpeaux, du Centre Culturel, des tennis Borotra, du Stade, du collège Vigny et du Lycée Paul Lapie ne sont pas configurés pour assurer la sécurité des nombreux enfants et adolescents qui les fréquentent.
Des aménagements simples, nécessaires et urgents s’imposent : Des feux tricolores mieux coordonnés sur le boulevard de Verdun, un aménagement de voirie surélevé devant le lycée Lapie, une signalisation claire de la priorité à droite sur la rue Jules Lefèvre, juste devant la Poste, lieu très fréquenté.
Les nuisances
Le boulevard de Verdun est régulièrement encombré par les clients de la station service, du tabac, de la station de lavage de voiture et de l’entrée du parking du stade. Ces services sont bien sûr indispensables et bienvenus mais l’aménagement du boulevard doit être repensé pour apaiser le partage de l’espace public.
Ces bouchons provoquent également pollution et nuisances sonores, gênantes pour les riverains. C’est ensemble que je vous propose de travailler à l’aménagement de demain qui satisfera piétons, riverains et automobilistes.
La convivialité des trottoirs
Parler de convivialité des trottoirs peut sembler bizarre pour ces lieux de déplacements piétons. Mais ce sont aussi des lieux de vie, d’environnement urbain. Par exemple, le mobilier urbain est très hétérogène : lampadaires, panneaux, couleurs varient d’une rue à l’autre, d’un carrefour à l’autre, sans grande harmonie.
Le Conseil Général finance les parties départementales si la mairie lui fait des propositions cohérentes. A Courbevoie, rien de tout cela. Sans coordination entre les panneaux, le nombre de poteaux augmente, réduisant la place pour les piétons. Avec une poussette, un fauteuil roulant ou une canne, ou simplement à 2 de front, le trajet devient compliqué, avec ces obstacles encombrants. Je milite pour un partage de la voirie et un rééquilibrage en faveur des piétons. Elargissement des trottoirs, limitation de leur encombrement, traversées des rues moins dangereuses, les cheminements piétons doux doivent devenir prioritaires.
C’est une petite révolution de pensée mais je sais d’expérience qu’elle apporte beaucoup au quotidien et au vivre ensemble.
Rédigé à 10:20 dans Courbevoie - quartier Herold - Verdun, programme local, voirie | Lien permanent | Commentaires (0)
Certaines tours de la Défense sont légitimes. D’autres non. C’est le cas de la tour AVA, prévue hors de la Dalle, au bout de la rue Guynemer, à proximité d’une traversée piétonne dangereuse. La tour AVA sera une rupture urbaine entre le centre-ville de Courbevoie et la Défense.
Des accès inadaptés et dangereux
Le projet de tour AVA la situe au bout de la rue du Capitaine Guynemer, rue Serpentine. Les travaux nécessaires aux aménagements autour ont déjà commencé et laissent présager de fortes perturbations pour tous les usagers du carrefour avec le boulevard circulaire.
Une fois construite, les milliers de salariés supplémentaires devront traverser un carrefour dangereux car non adapté au surplus quotidien de tant de personnes. Cette situation compliquera très négativement la vie quotidienne des riverains, avec entre autres le passage sous le pont de chemin de fer.
Pour les salariés qui prendront leur voiture afi n d’éviter les rames de RER (encore plus surchargées à cause de ladite tour), c’est entre les habitations, les crèches et les écoles qu’ils devront slalomer pour atteindre la tour AVA.
Au milieu des immeubles d’habitation
De plus, avec ses 142 mètres de haut au milieu d’une zone de pavillons et d’immeubles de 20 à 30 mètres, elle défigurera le quartier : son ombre portera en milieu de journée sur toutes les habitations situées entre les rues Eugène Caron et Deschanel, en passant par la rue de Rouen et la rue Gaultier. L’arrivée d’une telle tour au milieu d’une zone résidentielle à Courbevoie est clairement une erreur.
Qui sont les décideurs ?
Ce sont les dirigeants de l’Epad-UMP, dont les 2 conseillers généraux nommés par la majorité UMP actuelle, Jean Sarkozy et Patrick Devedjian. Ils sont soutenus dans cette démarche par le maire UMP de Courbevoie Jacques Kossowski. Un seul exemple : la majorité municipale de Courbevoie, dont fait partie la candidate UMP à l’élection cantonale, a voté le transfert à l’Epad d’espaces publics qui appartenaient à la ville, afin qu’AVA puisse se construire.
L’avenir du quartier
La construction de cette tour obère pour longtemps l’aménagement pourtant nécessaire du quartier. Rien d’autre ne se fera pendant les années de travaux et ce bloc monolithique constituera une pression insupportable d’extension de la zone de bureaux dans votre quartier.L’amélioration de l’accès à la dalle est également essentiel. La grave crise du logement qui touche l’Ile de France est particulièrement aiguë à Courbevoie. Le nombre de salariés supplémentaire sur la Défense provoque une pression immobilière très forte sur les quartiers limitrophes. Contrairement aux choix politiques de l’Epad-UMP qui souhaite «reconfigurer» la population de la Défense, je défends des constructions respectueuses de leur environnement résidentiel, proposant des logements accessibles aux salariés et employés, et dont la hauteur augmente au fur et à mesure qu’on approche de la Défense.
Jean-André Lasserre / Isabelle Tresson
Le 20 et le 27 mars, votons.
Rédigé à 19:27 dans Courbevoie - quartier Défense , Courbevoie - quartier Marceau, programme local | Lien permanent | Commentaires (0)
Dans le dossier de la Coupole, l’Epad (maintenant Epadesa) s’est comporté comme un vulgaire promoteur au lieu d’être un aménageur au service des habitants.
Un peu d’histoire
Depuis 1975, les passages Régnault et Coupole permettent aux habitants et aux salariés de La Défense de rejoindre les gares de métro et RER. Ils constituent un centre commercial et un centre de services de proximité pour les 40 000 usagers quotidiens, et les 3000 habitants proches.
En 2007, l’Epad décide de rénover le centre et utilise l’argument de l’amiante pour déloger les commerçants. Mais la commission de sécurité considère que la sécurité des usagers n’est pas menacée, surtout si des travaux sont effectués par l’Epad.
En 2010, la même commission, considérant que les travaux n’ont pas été effectués par l’Epad (ce qu’a confirmé la justice), demande la fermeture du centre, signée par le maire de Courbevoie en juin 2010, puis en décembre sous la force de la contestation.
Le combat du commerce et des services de proximité
Usant de cette épée de Damoclès d’une insécurité sanitaire qu’elle a elle-même provoquée, l’Epad tente d’expulser les commerçants à bas prix. C’est compter sans leur résistance héroïque. Depuis le début de ce scandale, j’ai soutenu leur combat. La justice a montré que cette lutte était juste et que l’Epad devait respecter la loi
En décembre 2010, sous la pression, les négociations s’ouvrent enfin. 3 ans perdus et une crise aiguë ont montré toute la faiblesse de l’Epad et de ses dirigeants UMP dans ce dossier (Jacques Kossowski, Joelle Ceccaldi-Raynaud, Jean Sarkozy, Patrick Devedjian).
Quel avenir pour le centre ?
Aujourd’hui, l’Epad ferme le centre de la Coupole mais aucune décision n’est annoncée aux habitants et salariés du quartier. Des projets existent mais ils restent cachés dans les tiroirs de l’Epad. Pourquoi les élus UMP, vos représentants, gardent-ils le secret sur ce dossier ? Pour ma part, je propose et je me battrai pour un véritable centre commercial de proximité avec commerces alimentaires, restaurants, pharmacie, journaux, mais aussi des services comme les soins médicaux. Je lutterai pour que ce nouveau projet soit élaboré avec les usagers, pour que la Défense ne soit pas qu’un mastodonte à l’écoute des multinationales mais qu’au contraire elle s’humanise au service des salariés et des habitants de la Défense ; grâce à ce centre conçu comme un lien entre la ville de Courbevoie et la dalle, un lieu de passage et de rencontre entre les habitants et les salariés.
Les enjeux de l’élection cantonale
Le Conseil Général élit deux représentants au Conseil d’administration de l’Epadesa (qui a remplacé l’Epad à l’automne 2010), en plus des maires de Courbevoie et de Puteaux. Depuis des années, ces élus UMP ne vous rendent aucun compte. Grâce à votre engagement les 20 et 27 mars prochain, votre voix comptera enfin au Conseil Général et dans les organismes dirigeant la Défense.
Rédigé à 16:11 dans Courbevoie - quartier Défense , programme local | Lien permanent | Commentaires (0)
Voici quelques uns de nos passages dans votre quartier. Pour nous rencontrer à d’autres moments, n’hésitez pas à prendre rendez-vous. La liste complète sera actualisée au cours de la campagne.
SAMEDI 12 FÉVRIER : MATIN REGNAULT / SEGOFFIN
SAMEDI 19 FÉVRIER : MATIN MARCEAU / GAULTIER
SAMEDI 26 FÉVRIER : MATIN DÉFENSE 1
SAMEDI 5 MARS : MATIN CHARRAS / RUE DE BEZONS
SAMEDI 12 MARS : MATIN FAUBOURG DE L’ARCHE