A l'occasion du Conseil Municipal du 14 avril 2010
Intervention de Jöelle Paris
Pour autant, nous ne considérons pas que le projet Autolib soit la panacée.
Des questions de fond subsistent, portant par exemple sur les déplacements de fonctionnement générés par le réassortiment des stations, ou sur l’habillage publicitaire des véhicules.
Le document présenté en conseil ce soir est extrêmement sommaire et ne permet pas d’imaginer les implications concrètes du contrat sur le territoire de la ville.
On mentionne 24 stations hors Epad, à terme. 6 voitures en ligne, cela tient une certaine place le long des trottoirs. Les stations seront-elles souterraines ou de surface ? où seront créées les 8 stations de la première étape ?
Quel accompagnement est prévu pour inciter les propriétaires de voitures individuelles à s’en défaire au profit de cette forme de location plus souple ? Car nous espérons, sans en être hélas tout à fait certains, qu’il s’agit bien du but du dispositif autolib.
De nombreuses questions se posent, et les réponses ne sont pas dans le dossier.
Réponse de M. Accart :
Il s’agit d’un projet unique au monde. Pour le moment, on en est au choix du type de véhicule, on n’en est pas encore à l’habillage, ce n’est que le début de l’expérience. On est dans l’inconnu total c’est pourquoi nous avons été prudents dès le départ. Concernant l’emplacement des stations, quelques unes seront en sous-sol comme au stade Jean-Pierre Rives.
Stéphane Lenoël demande alors, puisqu’il s’agit d’un investissement sur plusieurs années, pourquoi on fait payer cet investissement par les courbevoisiens par une hausse d’impôts en 2010 ? Pourquoi ne pas étaler l’investissement ?
Aucune réponse claire n’a été donnée. Nous avons voté pour le principe.
Bonjour, y aura t il une station Autolib à Courbevoie quartier de Bécon les Bruyères?
Merci
Rédigé par : Gérard | vendredi 07 juin 2013 à 17h54