A l'occasion du du conseil municipal du 1er juin 2010
Question écrite de Jean André
Lasserre : Monsieur le Maire, qu'en est-il de la fermeture, des travaux
d'aménagement et du devenir du Centre commercial La Coupole?
Le maire Jacques Kossowski (également
vice-Président de l'Epad) répond qu'il a demandé que la question de
l'indemnisation des commerçants soit réglée avant la fermeture. Le délai étant
très court, nous l'interpellons sur ce qui arriverait si aucun accord n'était
signé avant le 30 juin. Le maire n'a pas pu apporter de réponse ce qui laisse
les commerçants, les salariés et les usagers dans l'incertitude juridique,
sociale, et économique. Les témoignages recueillis sur place montrent que des
salariés et des commerçants sont à bout, subissant une pression digne des pires
marchands de bien, alors que l'Epad est l'Etat.
Le maire UMP ajoute que la Sodearif s'est retirée car elle n'avait pas répondu dans les délais. Sous le feu des questions, il admet que la Sodearif avait demandé des m2 supplémentaires.
L'Epad a fait appel à une société refusée
dans un premier temps, la société "La financière bordelaise", pour
s'occuper du dossier.
Cela montre que le projet de la Coupole, et le remplacement d'un commerce de passage et de proximité par une offre haut de gamme, est bien un projet voulu par l'Epad qui mène le jeu. Encore une fois dans ce dossier, Jacques Kossowski, membre de l'exécutif de l'Epad, joue un double-jeu. En tant que maire en difficulté, il rejette toutes les fautes sur l'Epad, dont il assume pourtant la vice-Présidente depuis plusieurs années.
Comme d'habitude sur les dossiers qui concernent la Défense, il y a une confusion entre
EPÄD, DEFACTO (ex. EPGD) et la mairie. Qui est responsable de quoi ? chacun se rejette la responsabilité ... même ceux présents, comme Jacques Kossowski, dans les 3 instances.
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