Coupé de ses administrés, il ne rendait pas compte que la ville dont il avait la charge changeait.
Il faut dire qu'il était très très énervé par l'un de ses opposants*, récemment élu sur un canton de la ville ... mais aussi par les luttes intestines qui minaient sa majorité.
Un jour que la ville rendait hommage à ses anciens combattants, il n'en puit plus.
"Je ne veux pas que vous soyez avec moi, allez derrière ! " dit-il à son opposant !
Celui-ci resta fermement à sa place. "Je suis élu. Tout comme vous. Et nous devons respecter la tradition républicaine".
Vexé, le maire se renfrogna : "Alors allez seul devant !"
L'opposant se mit à ses côtés : "mais non, monsieur le maire, le protocole veut que les élus des cantons et de la ville soient côte à côte.
"Le maire éclata alors : "Je suis chez moi, je fais ce que je veux. Quelque soit mon âge, je vous battrai. Vous ne me connaissez pas et vous allez voir de quoi je suis capable. Vous perdez votre temps".
Face aux menaces, l'opposant resta stoïque, à sa place près du maire : "Quand on défend ses idées, on ne perd jamais son temps." Puis il se mit à penser aux soldats morts pour la France, dont les noms s'égrenaient devant lui.
* Toute ressemblance avec des personnages et des faits réels n'a rien de fortuit.
sur la photo, M.le maire est vraiement fâché que vous lui avez vous fais.Il est temps de nous quitter Monsieur,il faut laisser la place aux jeunes et aux personnes compétentes.
C'est lamentable d'avoir des propos de la sorte, un jour de 11 novembre à quoi a servi ces milliers de morts, c'est vrai que de ce temps, il fallait mieux être
derrière que devant
Rédigé par : colbert | mardi 13 déc 2011 à 06h45
le marquis doré de courbevoie a encore fait des siennes, d'un amour propre extrême, il est toujours satisfait de lui même.
Rédigé par : oleg | mardi 29 nov 2011 à 19h25
Les morts, les gazés et mutilés sont bien loin...ils sont même mis au même niveau que les expéditions mercenaires par un certain président ! Expédition comme le saccage de la demeure impériale de Pékin quand la france et l'angleterre ont imposé l'opium en Chine ! Quelle amoralité !
Rédigé par : ty | lundi 21 nov 2011 à 14h40
J'ai entendu le maire plusieurs fois avancer des propos tel que "Je suis chez moi, je fais ce que je veux.... ou même rien ne se fait à Courbevoie sans moi..."
Une telle attitude est maladive en démocratie.
Il n'est pas chez lui, il est chez nous.
Rédigé par : Maya | jeudi 17 nov 2011 à 09h26
Erreur Courbatcher.
L'écharpe tricolore se porte toujours de l'épaule droite vers le coté gauche, .
Elle peut être portée aussi à la ceinture bien que cet usage remonte à la Restauration.
Il n'y a donc qu'une seule personne sur la photo qui a peut-être des problèmes entre sa droite et sa gauche, mais bon, l'essentiel n'est-il pas finalement d'être là pour commémorer les disparus de la grande guerre ?
Rédigé par : shun | mardi 15 nov 2011 à 21h59
Ici on se pose des questions sur le port de l'écharpe... par les Kossowski et par Lasserre aussi...
Rédigé par : courbatcher | mardi 15 nov 2011 à 11h42
Pourquoi le tricolore est porté bizarrement par deux personnes? C'est ou le respect pour notre drapeau?
Rédigé par : foufou | lundi 14 nov 2011 à 22h11
Force est de constater que le seul ressemblant vraiment à un maire sur cette photo est le personnage au centre...
Rédigé par : shun | lundi 14 nov 2011 à 19h51