A l'occasion du conseil municipal du 3 octobre 2011
Anthony Klein est intervenu pour dénoncer le saucissonnage des enquêtes publiques liées au projet Hermitage, leur phasage illogique, et la communication qui l'accompagne.
Ce qui est projeté aujourd'hui par l'Epadesa et la mairie de Courbevoie, c'est :
Septembre 2011 : enquête sur les permis de construire des tours Hermitage
Novembre 2011 : concertation préalable sur les voies de l'ancre et des bâtisseurs
automne 2012 : la couverture de la RD 7
Or, tous ces projets sont évidemment liés et ne peuvent être saucissonnés. Comment avoir une vision globale d'un tel projet quand les sous-sols ne sont étudiés qu'après les tours ... mais sans les aménagements publics du quartier ?
De plus, la durée de l'enquête publique (1 mois, le minimum légal) comme sa publicité (quelques affichettes placardées sur les panneaux officiels) sont à minima. Qu'y a-t-il à cacher si, comme le maire l'affirme, ce projet est aussi merveilleux.
Nous demandons donc :
1- que les concertations préalables doivent avoir des durées longues afin que les gens puissent s'informer de la complexité de ces dossiers.
2 - qu'il faut phaser et faire un agenda logique de ces enquêtes publiques.
Le maire Jacques Kossowski et Eric Césari (délégué aux jumelages mais surtout DG de l'UMP national et "l'oeil de l'Elysée" à Courbevoie) ont botté en touche en renvoyant la balle au Préfet.
La demande de prolongation de l'enquête publique Hermitage avait été adressée au Préfet plus d'une semaine auparavant (voir article ici)
A l'occasion de cette délibération, un débat a également eut lieu entre Eric Césari (UMP) et Jean-André Lasserre (voir article ici)
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