Tous pour Courbevoie

L'épicerie solidaire, utile aux familles de Courbevoie

Un avenant à la convention de partenariat est signé avec la Croix Rouge pour allouer une subvention de 15000 euros à l'épicerie solidaire. Cette dernière a enregistré 385 passages sur le 1er semestre et a commencé à servir à titre expérimental des produits frais (fruits et légumes). En revanche l'accompagnement promis par la mairie, diététicienne et puéricultrice, n'est toujours pas mis en place. Saluons le travail fourni par la Croix Rouge et ses nombreux bénévoles !

 

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Budget du CCAS de Courbevoie : des aides en baisse malgré les difficultés grandissantes de Courbevoisiens fragilisés

Lors du Conseil Municipal de mars 2013, l'adjoint aux finances avait réfuté les propos d'Ingrid Fasshauer sur le budget du CCAS.(voir article ici)

6 mois après, il est formellement démenti. En effet, lors du conseil d'administration du CCAS, Mme Leventic a reconnu l’erreur faite mais n’a pas souhaité corriger le budget, ni réallouer le montant incriminé sur les aides sociales. La ville continue donc à afficher un budget social en hausse, portant sur 200 000 € de salaires qui ne seront jamais versés et des aides versées en baisse d’une année sur l’autre, ce qui est tout simplement incompréhensible en période de crise !

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Courbevoie : malaise au VAL

Question orale (envoyée par écrit 5 jours à l'avance) de Cécile Boucherie : "des parents font état d'effectifs insuffisants dans les centres de loisirs, ce qui entraîne l'annulation d'activités. Pouvez vous nous donner un état des effectifs d'animateurs? Combien de postes restent non pourvus?"

Marie-Pierre Limoge élude la réponse, annonçant qu'il n'y a aucun malaise, un turn over normal et très peu d'annulation.

Tellement normal que 2 mois après (mi-novembre 2013), les animateurs du VAL entament un mouvement social ! (lire ici)

Mme Limoge (adjointe) reconnaît qu’il n’y a pas suffisamment d’animateurs diplomés du BAFA. A la question « que fait donc la ville pour favoriser le passage du Bafa par ses jeunes » Mme Limoge évoque le BAFA citoyen, programme très interessant mais très confidentiel et qui ne concerne qu’une dizaine de jeunes par an !

L’équipe des animateurs « volants » est actuellement constituée de 27 personnes.

Mme Limoge admet qu’il manque actuellement une 20aine d’animateurs au Val.

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Scandale des HLM de Courbevoie : le maire Jacques Kossowski élude

Lors du conseil municipal du 24 septembre, Ingrid Fasshauer a demandé au maire quelles mesures avaient prises l'OPH pour vérifier ou démentir des alertes qui datent de 2011.

Le maire n'a pas souhaité répondre et a simplement lu une lettre de sa première adjointe, Mme Deshayes, absente ce soir là. Il a donc implicitement rejeté toute responsabilité sur elle. Cette lettre était un démenti catégorique de l’OPH. D’après Madame Deshayes, avant juin 2013 les alertes des locataires étaient infondées.

A l’issue du Conseil municipal, le maire s'est ensuite lancé dans une diatribe contre tous ceux qui l'attaquaient sur cette affaire puis, dans un brouhaha indescriptible, s'est mis lui-même à interpeller Jean-André Lasserre.

Les derniers rebondissements dans cette affaire (voir article du parisien du 30 novembre) ne peuvent se contenter du silence du maire.

Nous rappelons nos demandes factuelles sur cette affaire :

- pourquoi la ville a conservé tant de logements vides dans l'immeuble de la rue de Normandie entre 2009 et 2013 ?

- quelle enquête a mené la ville et l'OPH depuis les premières alertes des résidents en 2011 ?

- Pourquoi les caves étaient loués par l'OPH jusqu'en 2012 aux résidents alors qu'il n'y avaient pas accès depuis plusieurs années ?

- Pourquoi l'OPH n'a pas réagi aux alertes des résidents sur des montants de charges élevés dus à l'occupation illégale de logements ?

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L'asphalte cancérigène ?

 

A l'occasion d'un marché Asphalte, Joëlle Paris est intervenue pour obtenir des précisions sur le type d'asphalte

Joelle Paris : "L’exposition prolongée à l’asphalte, au bitume peut déclencher des maladies professionnelles chez les ouvriers (cancer de la peau) ;

Colas et les autres sociétés sollicitées par la ville pour les travaux de voierie présentent-elles toutes les garanties de protection de leurs employés ? "

M. Accart a répondu que l'asphalte "de trottoir" était beaucoup moins cancérigène que l'enrobé de voirie.

 

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Le conseil des seniors pas associé au choix des colis de Noël

 A l'occasion du marché sur les colis des séniors pour Noël, nous avons demandé si le conseil des séniors avait été associé à ce choix.

Mme Pernot a répondu que NON, estimant que "c'est un peu tôt pour les associer à ce choix".

Cela appelle donc une autre question : à quoi sert ce conseil ?

En revanche, la ville a pris la possibilité (prévue dans le marché) de faire embaler les colis par des personnels handicapés (ESAT).

 

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Cheminements pour Personnes à Mobilité Réduite (PMR) lors de travaux

 L'un des prestataires de la ville propose que les associations PMR soient associées à la mise en place des cheminements piétons lors des travaux de voirie. Cette possibilité existait par exemple pour les travaux de la rue Jean-Pierre Timbaud.

Or, aucune association de notre connaissance n'a participé à ce rendez-vous.

Interrogé par Joëlle Paris, M. Accart a eu pour toute réponse : "Je ne sais pas. J'étais en vacances".

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Aménagement de la rue Jean-Pierre Timbaud : un étrange marché

 Joelle Paris est intervenu sur le marché d'aménagement de la rue Jean-Pierre Timbaud.

Le marché public met une date limite de candidature le 5 juin pour une commande signée le 5 juillet et des travaux terminés fin juillet !

Ce calendrier n'est tout simplement pas tenable pour n'importe quelle entreprise de travaux publics, d'autant plus que le marché est estimé à ... 27 mois !

Cherchez l'erreur !

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Ecole Lamartine à Courbevoie : urgence à réhabiliter

 

Intervention de Joelle Paris :

"Oui il est urgent de réhabiliter Lamartine.

Car au delà de l’inconfort engendré par la dégradation du bâti, l’état actuel de l’école pose clairement un problème de sécurité. On apprend dans le dossier que la mise en conformité incendie est urgente.

La dégradation de l’école appelle à des procédures de contrôle plus poussées lors de la construction de locaux municipaux, surtout destinés à accueillir des enfants. On apprend aussi que la dégradation est due en partie à une mauvaise qualité initiale des enrobés de béton et que le bâtiment présente actuellement – et depuis combien de temps ? des risques physiques pour ses usagers avec des risques de décrochage de fenêtres etc.

Cette réhabilitation est donc prioritaire à nos yeux et devra faire l’objet d’un contrôle scrupuleux puisqu’elle va se dérouler en site occupé.

Il s’agit notamment de la partie qui longe la voie ferrée. Or si la nuisance sonore est soulignée dans le dossier, elle est limitée aux nuisances acoustiques dans les classes. Il n’est pas fait mention de l’absence d’isolation phonique qui fait qu’on n’entend plus rien dans les classes à chaque passage de train.

Nous aimerions être certains que la réhabilitation en matière d’isolation prendra aussi en compte les nuisances extérieures et notamment les bruits ferroviaires.

Nous souhaitons savoir si le fait de faire baisser la capacité de l’école de 2 classes puisque de 16 elle va passer à 14 classes ne posera pas de problème d’effectifs dans notre ville en pleine expansion démographique.

Enfin, où seront accueillis les élèves pendant la durée des travaux ?"

 

Mme Radenac précise que les cours auront lieu dans des bungalows pendant les travaux. Elle réfute la réduction du nombre de classes (pourtant au dossier).

Concernant les nuisances sonores dues à la voie ferrée, elle annonce "qu'on ne peut pas faire autrement".

Même pas des travaux permettant de mieux isoler les classes ?

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Courbevoie : aménagement du quartier des Bruyères

Au détour d'un marché (un dossier que les conseillers municipaux doivent demander sur une liste de plusieurs centaines, éplucher, consulter en quelques jours), nous constatons que le quartier des Bruyères est un sujet d'étude pour la ville, mais aucunement partagé avec l'ensemble du Conseil Municipal.

- une première étude de Partenaire Architecte n'a pas été fournie aux conseillers municipaux. Cette étude évoque notamment le chiffre de 1000 logements et 4000 m2 de bureaux sur ce quartier.

- un second marché porte sur la communication aux habitants des conclusions de cette étude. Une communication qui s'étale fin 2013 / Début 2014, en pleine période électorale.

Alors pourquoi ne pas communiquer ces études aux élus, y compris ceux d'opposition ? Le maire finance-t-il sur l'argent de la ville son projet électoral pour le quartier ? Quel rôle auront dans la campagne les réunions d'informations financées par la ville ? Sont-elles légales au regard de l'article 52-1 du code électoral qui interdit toute communication municipale exceptionnelle en période électorale ?

Afin de couper court à toute polémique, nous demandons expressément l'ensemble des études sur le quartier des Bruyères.

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