Joëlle PARIS, conseillère municipale
Les Verts
Graphiste indépendante diplômée de l'Ensad (Paris)
Née en 1962 à Troyes, 3 enfants (scolarisés à Courbevoie)
installée à Courbevoie (Faubourg de l'Arche) depuis 1998
Militante associative passionnée d’écologique, adhérente au parti des Verts depuis 2004, je suis porte-parole des Verts des Hauts-de-Seine. Même si mes enfants aimeraient profiter plus d'une mère moins militante, je pense que les générations futures nous demanderont un jour des comptes sur l'état de notre société et de la planète que nous leur laissons... J’essaye de contribuer positivement aux évolutions nécessaires, à mon niveau.
Je crois au pouvoir citoyen et j'adhère à des associations internationales de protection de l'environnement, à des associations humanitaires et à des associations de protection des droits humains.
Je m'investis aussi en local au gré des besoins dans des associations de Courbevoie ou des Hauts-de-Seine centrées sur l'Education, l'écologie urbaine et les droits humains.
Il devient urgent de diminuer, à tous les niveaux possibles, l'impact négatif des activités humaines sur l'équilibre subtil et complexe de notre planète. Il faut changer nos façons de faire. Avec à la clé de meilleures conditions de vie pour tous.
Mes priorités pour Courbevoie :
Repenser les pratiques, contrats, projets municipaux dans le sens du développement durable, d'une empreinte minimum et de la solidarité. Stop au "greenwashing" (marketing vert de surface !) et OUI aux actions concrètes, concertées, durables et réellement efficaces en la matière.
« Une autre ambition pour Courbevoie » c’est aussi prendre à bras le corps le dossier de la Défense et non l’éluder ! Courbevoie est concernée au premier chef par l’évolution de ce quartier d’affaires. Il faut le voir tel qu’il est vraiment sous la cosmétique de ses spectaculaires façades miroitantes : un gouffre lancé dans une fuite en avant massive... Il est temps de travailler en concertation et transparence, avec des objectifs utiles à tous, quitte à remettre en cause de mauvaises pratiques cinquantenaires.
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