Tous pour Courbevoie

L’Ecole Rouget de l’Isle terminée en 2009 !

Conseil municipal du 14 décembre 2009 

Le budget corrigé de décembre fait apparaître que l’école Rouget de l’Isle sera terminée en avance par rapport aux prévisions ! Une première à Courbevoie ? Tout dépend de l’année de comparaison. Les travaux sont certes terminés avec un mois d’avance par rapport à ce qui était prévu en mars 2009 … mais avec du retard par rapport au lancement primitif des travaux. 

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Courbevoie : les travaux inutiles du gymnase Dallier

Conseil municipal du 14 décembre 2009

Depuis plusieurs mois, nous dénonçons les travaux inutiles dans les bâtiments municipaux. Saupoudrage, timing illogique, un nouvel exemple est mis en lumière par Cécile Boucherie. Le sous-sol du gymnase Dallier a été repeint. Bonne nouvelle pour un sous-sol pas utilisé, pas accessible aux handicapés et dont les toilettes n’ont même pas de lavabo !

M. Bauer (adjoint au maire) a bien répondu que c’était une remise au propre … c’est bien ce que nous reprochons : mettre une couche de vernis sans se pencher sur l’essentiel ! Le maire est venu à son secours en promettant un réponse écrite. Nous vous en ferons part quand nous la recevrons.

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Courbevoie : les travaux inutiles du gymnase Dallier

Conseil municipal du 14 décembre 2009

Depuis plusieurs mois, nous dénonçons les travaux inutiles dans les bâtiments municipaux. Saupoudrage, timing illogique, un nouvel exemple est mis en lumière par Cécile Boucherie. Le sous-sol du gymnase Dallier a été repeint. Bonne nouvelle pour un sous-sol pas utilisé, pas accessible aux handicapés et dont les toilettes n’ont même pas de lavabo !

M. Bauer (adjoint au maire) a bien répondu que c’était une remise au propre … c’est bien ce que nous reprochons : mettre une couche de vernis sans se pencher sur l’essentiel ! Le maire est venu à son secours en promettant un réponse écrite. Nous vous en ferons part quand nous la recevrons.

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Notre voeu pour cette année : 2010 Année solidaire

A l’heure où les effets de la crise se font de plus en plus cruellement sentir, la politique sociale de la ville de Courbevoie n’a pas évolué.

Qu’entend-on par politique sociale ? 

Les personnes dans le besoin ont bien des possibilités de recevoir des aides à Courbevoie : bons alimentaires, aides pour payer les factures d’électricité, permanences d’assistantes sociales, etc...

Encore faut-il que la population en ait connaissance. Alors que plusieurs communes environnantes utilisent à cet effet les panneaux d’affichages municipaux pour faire connaître les différentes aides et surtout les critères qui permettent de savoir si on y a droit, il faut à Courbevoie se rendre à la mairie, exposer ses problèmes sans savoir a priori ce à quoi on peut prétendre. Une politique sociale, cela commence par des critères transparents pour des mesures d’aides claires, communiquées à la population.

Mais c’est loin d’être suffisant. Une politique sociale doit avant tout mettre l’accent sur le logement, c’est-à-dire permettre à chacun de se loger quels que soient ses revenus. Alors que les prix d’achats de logement et les loyers gérés par le privé sont inabordables pour beaucoup, la ville se contente d’offrir 20% de logements sociaux, soit le strict minimum prévu par la loi. Bien des familles monoparentales ou personnes aux revenus modestes doivent ainsi quitter la ville pour pouvoir se loger décemment.

Une politique sociale, c’est aussi un soutien aux associations qui oeuvrent dans ce domaine. Au moment même où Colombes inaugure de nouveaux locaux pour les Restos du Cœur et accorde une subvention de 170 000 Euros, Courbevoie ne souhaite pas ouvrir de local et accorde généreusement 2000 Euros, somme présentée comme un effort considérable de la ville. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.

Pourtant, élaborer des critères clairs pour l’attribution des aides sociales, communiquer pour toucher le maximum de personnes dans le besoin, construire des logements sociaux, soutenir les associations, rien de tout cela n’est irréalisable. Souhaitons en 2010 une ville plus solidaire.

Jean-ANdré Lasserre et toute l'équipe de Une autre Ambition pour Courbevoie

Courbevoie : crèche « baby Cool » et « les lutins »

Conseil municipal du 14 décembre 2009

Rappel historique

La nouvelle Etoile était un centre de soin de proximité et d’accueil pour enfants situé dans le centre de Courbevoie. En coupant les subventions, la mairie a laissé ce centre sans ressources. Il a donc du fermer ses portes. Une association gérant une crèche a perduré quelques temps mais elle vient de vendre le terrain à un promoteur.

L’association recherche actuellement un nouvel espace pour continuer à accueillir 85 berceaux. Quant au promoteur, il se serait engagé à créer un espace pour 60 berceaux.

Question de Ingrid Fasshauer : Dans ce dossier nous sommes encore une fois contraints de voter une mesure à titre provisoire. Nous avons appris que le terrain avait été vendu à un promoteur qui devait y construire 40 logements et un crèche de 60 berceaux mais nous n’avons reçu aucune information concernant la gestion de cette crèche. Les places bénéficieront-elles aux enfants Courbevoisiens ? Sous quelles conditions ?

Par ailleurs nous ne pouvons que déplorer l’abandon d’un lieu accueillant équipements de santé et petite enfance soit abandonné pour laisser place à un nième programme de logements privés. Devant le manque criant d’équipements publics, il aurait été plus judicieux de conserver à ce terrain un caractère social. Enfin l’Association aura-t-elle vraiment les moyens de recréer une crèche de 85 berceaux comme elle en a émis l’intention ?

Réponse : Mme Leventic

La vente d’immeubles comme la quête de terrain par l’association sont des affaires privées. Le promoteur s’est engagé pour la crèche de 60 berceaux et nous accompagnons l’association dans sa recherche d’un espace pour continuer sa crèche de 85 berceaux.

Commentaires : en insistant sur les engagements du promoteur, nous avons appris que cet engagement était oral et non formel. La mairie n’a donc rien fait comme démarche pour sécuriser un accueil de 60 berceaux sur la ville. Quant aux 85 berceaux promis, ils ne sont pour l’instant que virtuels vu le faible nombre d’espaces libres qui existent à Courbevoie et les difficultés financières de l’association.

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http://courbevoie.typepad.fr/une_autre_ambition_pour_c/2010/01/conseil-municipal-du-14-décembre-2009.html

Courbevoie : les chiffres du téléthon 2009

Conseil municipal du 14 décembre 2009

Suite à une question de Martine Volard (Modem), M Fichant a donné les chiffres du Téléthon sur Courbevoie au 15 décembre.

Dons : 15 800 euros sur Courbevoie

Frais engagés par la commune : 5521 Euros.

Il impute le relatif échec aux aléas de la météo et à l’approche de Noêl.

Nous regrettons l’échec de cette manifestation sur Courbevoie. Les nombreux bénévoles mobilisés ont été peu récompensés de leurs efforts. Ce pourrait être l’occasion de réfléchir à la place de la vie associative dans notre ville, élément indispensable de lien social.

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Courbevoie : que devient le foyer Blanchet Georg ?

Conseil municipal du 14 décembre 2009

Martine Volard (Modem) a demandé au maire quel était l’avenir de Blanchet George.

Mme Pernot a précisé que Blanchet George est en cours de fermeture imposée par la DDASS.

Ce foyer pour personnes âgées date de 1974. Les personnes ont vieilli, leur dépendance est plus lourde et les normes des établissements pour personnes handicapées âgées dépendantes (EPHAD) ont largement évolué depuis 1974.

Une cellule de crise a relogé une grande partie des pensionnaires à proximité. Il reste encore 12 familles concernées. 

Le centre Blanchet Georg reste à la charge du centre hospitalier qui envisage d’y faire des logements pour son personnel mais aucun projet n’est encore définitivement arrêté.

Nous ne pouvons que regretter la disparition d’une maison de retraite sur notre ville, qui souffre d’un déficit de places disponibles.

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Courbevoie : l’avenir de la clinique Medicis

Conseil municipal du 14 décembre 2009

Annoncé dans le Courbevoie Magazine de Décembre, le site de l’ancienne clinique Medicis accueillera un nouvel établissement pour personnes âgées dépendantes. Lors du conseil municipal, il apparaît que le projet est encore flou. Il s’agira d’une structure privée offrant 300 lits qui serait construite en 2011 ou 2012. Une partie pourrai être consacrée aux patients souffrant de la maladie Alzheimer. Rien n’est encore fixé sur les tarifs qui pourraient être pratiqués.

Nous nous réjouissons que ce lieu idéalement situé au cœur de Courbevoie échappe pour une fois à la construction de logement et que la construction d’un nouvel EHPAD vienne compenser (quoique tardivement) la fermeture de la maison Blanchet Georg. Néanmoins nous regrettons que la mairie délègue cette structure au privé sans exiger de garanties sur le type de public qui pourra être accueilli par cette structure. Nous serons pour notre part vigilants sur ce point.

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Courbevoie : précisions sur les sortie des aînés

Conseil municipal du 14 décembre 2009

A l’occasion du vote sur les tarifs applicables aux sorties des seniors, Ingrid Fasshauer s’est étonnée qu’il n’existe pas de tarifs réduits pour les sorties de quelques jours alors qu’il existe pour les sorties de la journée et qu’un tarif dégressif a été mis en place pour le voyage d’une semaine. De ce fait les sorties de quelques jours sont inaccessibles pour les plus démunis.

Nous réitérons notre demande d’une enquête pour savoir si ces sorties et, de manière plus générale, correspondent bien aux attentes des aînés, les besoins des jeunes retraités étant bien différents des personnes du 4^ème âge.

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La Nouvelle Etoile, hier et aujourd’hui.

Conseil municipal du 14 décembre 2009

En 2007, au moment du démantèlement de la Nouvelle Etoile, l’opposition s’était fortement mobilisée. Manifestations, articles, tribunes, nous avions défendus un centre de soin de proximité, au service des habitants du quartier, accueillant de nombreux Courbevoisiens dont de nombreux bénéficiaires de la CMU. Devant le tableau noir que nous dressions de l’avenir détruit de ce centre, l’équipe encore aux commandes aujourd’hui de Courbevoie (M. Kossowski, Mme Deshayes) nous traitaient d’oiseaux de mauvaise augure et d’impénitents pessimistes.

Trois ans et une campagne électorale plus tard, nos craintes se sont avérées exactes. Le terrain est vendu à un promoteur immobilier qui va y faire une résidence de standing comme il en existe des centaines sur la ville. Les soins dispensés ont été déplacés avec plus ou moins de bonheur dans des structures plus éloignées. Et la crèche disparaît contre une vague promesse sans engagement.

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