Tous pour Courbevoie

Ils ont voté pour le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

Voici la liste des conseillers municipaux qui ont voté POUR le monopole de l'UMP sur le territoire Puteaux - Courbevoie, et POUR l'exclusion de l'opposition des instances démocratiques de l'intercommunalité Courbevoie - Puteaux :

Jacques Kossowski, maire, vice-Président de l'EPAD, député UMP, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Yolande Deshayes, 1ère adjointe, conseillère générale UMP, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Marie-Pierre Limoge, candidate UMP aux cantonales 2011, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Daniel Courtès, conseiller général UMP, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Eric Césari, Directeur Général de l'UMP, proche de Nicolas Sarkozy, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Bernard Accart, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Stéphane Vagner, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Martine Levantic, Maire-Adjointe, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Patrick Gimonet, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Bernard Accart, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Pierre Bordeaux, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Chantal Sermadiras, Maire-Adjointe, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Stéphanie Rousseau-Charbonneau, Maire-Adjointe, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Yves Jean, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Michel Chambers, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Jacky Bauer, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Nicole Cossier, Maire-Adjointe, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Nicole Pernot, Maire-Adjointe, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Michel Rollet, Maire-Adjoint, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Jean Spiri, proche de Jean Sarkozy, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Arthur Saint-Gabriel a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Christiane Radenac a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Serge Desesmaison a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Nadine Renault a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Marion Jacob-Chaillet a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Laetitia Devillars a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Benoit Deneulin, suppléant UMP de Mme Limoge a la prochaine cantonale, a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Marcel Poujade a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Christiane Didelot a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

 Nadine Bernard a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Martine Boragno a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Patricia Doré a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Stéphane Fichant a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Claudine Catinaud a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Hervé de Compiègne a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Stéphane Rousselet a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

François Moury a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Kadiatou Moisson a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Mme Carole Royer a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Reynald Mongin a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Karen Trouillet a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

François Peyrot a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

Aurélie Taquilin a voté POUR le monopole UMP sur Courbevoie - Puteaux

 

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Intercommunalité - SIEP : Les approximations de la Majorité municipale

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 

Conseiller municipal délégué à l'intercommunalité, Jean Spiri a affirmé quelques contre-vérités. Par exemple, concernant le SIEP (Syndicat Intercommunal d'Etudes et de Projets) : "Une interco, ce sont des compétences partagées, un SIEP, c'est un projet de territoire".

Une intercommunalité sans projet, c'est comme une voiture sans moteur et sans volant. Où est la direction ? où est l'esprit ? où est la motivation ?

Jean Spiri a beau habiller ses phrases de références, elles sonnent creux tant le projet Courbevoie - Puteaux est vide. Le seul exemple concret qu'il réussit à citer est la collecte de déchets ... déjà partagée à plusieurs communes dans le cadre d'un syndicat de communes.

- Jean Spiri fait dire aux mathématiques des contre-vérités politiques. Il affirme dans une formule entourloupée que "plus de conseillers de la majorité que de l'opposition sont absents du conseil communautaire". Rappelons juste les chiffres du conseil communautaires : 30 UMP, aucun PS - EELV - PCF, aucun Modem /Cap 21 pour montrer le ridicule de ses propos.

- Jean Spiri affirme "cette intercommunalité va bien au-delà de la Défense partagée par les 2 communes". D'où le nom qu'il a choisi pour cette intercommunalité : Seine Défense !

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Territoire des 2 Seines : le vrai projet de territoire

 A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

Nous l'avons dit souvent. Le vrai projet intercommunal de Courbevoie n'est pas Puteaux mais celui qui correspond au SIEP (Syndicat Intercommunal d'Etudes et de Projets) des 2 Seines.

Lors du débat sur le financement de ce syndicat, le maire Jacques Kossowski l'a parfaitement admis ... en contradiction avec le vote du même jour sur la création de l'intercommunalité avec Puteaux, ville qui n'est pas membre du SIEP.

Les études actuellement financées par le SIEP ont pour objectif de négocier avec l'Etat des contrats de développements territoriaux.

Jacques Kossowski s'est engagée à fournir ces études à l'opposition.

Quant à l'information et à l'implication des habitants dans ce projet territorial, Jacques Kossowski a clairement montré les limites de sa vision de la démocratie participative. "Tant que ce n'est pas concret, je n'irai pas plus loin". Visiblement, selon lui, seul l'élu est détenteur de la vision, et les habitants n'ont qu'à suivre sur parole les décisions. Sans participer. Sans même être informé.

 

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Le skate Park de Courbevoie en 2011 ... ou 2012.

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

Le skate park de Courbevoie annoncé par la mairie pour le printemps 2011 prend un peu de retard. Il sera situé près du collège Seurat au Faubourg de l'Arche, et sera plutôt couvert.

Nous rappelons que notre groupe a mis en contact des skateurs et les élus de la majorité, afin de concevoir un projet ensemble. De même, pour l'apport d'associations qui peuvent conseiller la mairie pour ce skate park.

 

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Ecole de la deuxième chance des Hauts-de-Seine

 A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

Après plusieurs années à défendre ce projet en Conseil Général les conseillers généraux PS - EELV et communistes ont vu leurs efforts récompensés à l'automne 2010. Cet établissement ouvrira à Clichy. Une fois que le Conseil Général a tranche, Courbevoie suit le mouvement.

Jean-André Lasserre s'est félicité de la mise en place de cette structure qui accueillera ses premiers stagiaires en février 2011. Il rappelle que cette structure n'apporte pas de formations diplomantes en tant que telle, mais au contraire, elle "apprend à apprendre". Il rappelle également que les financeurs, dont Courbevoie, ont un devoir de vigilance et de suivi afin de permettre à cet établissement de s'établir dans la durée.

 

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Chauffage urbain : notre apport au dossier

 A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

Intervention de Joëlle Paris, à propos du chauffage urbain et du marché de 7 ans, passé au lieu d'un marché de 20 ans, sous nos propres conseils :

"Nous votons POUR

Une concertation initiale, bien que terminée abruptement, a suffit a jeter des bases honnêtes compte tenu du contexte. Trop d'éléments sont flous et en mouvance pour repartir sur des durées classiques, d'où l'intérêt des 7 ans. Nous y verrons plus clair dans l'approche des territoires : avec Puteaux ? avec d'autres communes ? Cela permettra de voir les retours sur les premières énergies bois et biomasse. Et de voir les résultats des diagnostics énergétiques.

Pour autant, il faut absolument qu'il se passe quelque chose pendant ces 7 ans. Il faut travailler à ce qui va suivre. Nous serons particulièrement vigilants à ce que ce délai nous permette de trouver une solution durable à l'issue de ces 7 années.

Nous avons quelques questions techniques que je vous transmettrai par écrit."

(en attente de l'échange de courriers)

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Un marché au Faubourg de l'Arche ?

 A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

La question d'un marché au faubourg de l'Arche se pose régulièrement. Mme Sermadiras a écarté cette hypothèse, s'appuyant sur les nuisances générées par un marché et qui ne serait pas supportables pour les habitants.

Pourtant, la vie conviviale de quartier est importante et il est primordial d'avancer sur des projets, sans limiter son opposition à quelques grincheux.

En revanche, pour qu'un tel projet rencontre le succès, il est effectivement important d'associer la population, de l'interroger, de la faire participer, de l'informer des désagréments possibles. Et cela ne peut se faire que largement, et pas seulement au sein d'un microcosmique conseil de quartier, à huis clos, et dont les membres nommés par la majorité ne souhaitent même pas rendre leur présence publique.

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Grand Paris / Arc Express : les transports futurs de Courbevoie et de l'Ouest parisien

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

Débat en Conseil Municipal sur le projet de métro automatique Grand 8 (dans le projet Grand Paris)

En préambule, nous regrettons que le Conseil Municipal ait lieu le même soir que le débat public à la Défense sur le projet Arc Express.

Voici l'intervention de Jean-André Lasserre :

" Le texte proposé combine plusieurs dossiers de nature différente qu’il faut bien distinguer pour ensuite les intégrer dans un projet global régional d’aménagement du territoire et dans une perspective locale à la fois municipale et intercommunale du point de vue de l’aménagement urbain cette fois-ci, de l’impact sur les mobilités de proximité, le stationnement et l’accès aux gares ou encore sur le logement et le foncier puisque toute nouvelle infrastructure crée mécaniquement une pression foncière et mobilière.

Il y a ainsi des problématiques qui nous concernent plus directement et qui sont liées aux projets de gare : la gare de Bécon, une gare Eole à la Défense ou à Gambetta... dès lors qu’on intervient à l’échelon régional cette fois-ci les questions vont porter sur le système de transport que nous voulons mettre en place, avec la clé la question des financements et par voie de conséquence des priorités du point de vue des types de déplacement, de la géographie de l’offre et du calendrier de la mise en œuvre.

Dans cette contribution au débat, vous nous proposez pour l’essentiel la vision du Grand Paris en ne mettant pas suffisamment en avant  celle de l’Arc Express ou encore en passant sous silence le rôle du conseil régional qui pourtant d’un point de vue des compétences est l’acteur principale en la matière. Cette approche quelque peu partisane est regrettable car il faut travailler sur les complémentarités pour tout simplement apporter des réponses concrètes aux franciliens (et c’est d’ailleurs ce qui a été fait depuis).

Arc Express se situe dans l'agglomération, en zone dense, des gares déparées de 1,5 km, plus proche d'un métro, et qui offre des solutions aux problèmes d'aujourd'hui. Il est plus précis sur les zones denses. Et surtout, il est une petite partie d'un tout qui comprend également des projets des transports en bus et de circulations douces.

Bref il s’agit de privilégier la circulation domicile/travail et de banlieue à banlieue qui aujourd’hui pêche considérément, quantitativement et qualitativement en raison d’un désengagement de l’état des entreprises publiques pendant toutes les années où il a été en charge du développement des transports en Ile de France, une compétence qui a été récemment transférée au conseil régional. Le grand 8 est une stratégie d'aménagement de certains territoires et de mise en relation de pôles d’activité économique et des aéroports. Autrement dit il privilégie largement les déplacements travail/travail et par voie de conséquence des dessertes plus espacées avec le pari que nous arriverons par ce biais là à structurer le développement selon une approche polycentrique encore faut il s’entendre sur les centres.

La seule réponse possible pour répondre aux attentes exprimées par les franciliens lors du débat public est de rechercher les complémentarités et de s’entendre sur les priorités.

L'Arc Express dans les zones denses, car c'est une réponse pertinente.

La liaison entre les aéroports car elles sont sous développées…

Mais compte tenu des enveloppes prévues, la question du financement est au cœur du débat avec un effort substantiel de la part du conseil régional et beaucoup moins certain de la part de l’Etat comme l’avait souligné le rapport Carrez avec de surcroit une mise à contribution de tous les franciliens quelque soit les bénéfices que procurent le nouveau système de transport ce qui plaide largement en faveur d’une amélioration substantielle des déplacements quotidiens domicile/travail et de l’accessibilité des gares qui tendent à être de plus en plus saturées comme le montre le flux de voyageurs sur les quais à la gare de St Lazare ou à la Défense.

Vous posez des principes :

- le système de transports métropolitains, soit !. Mais quelle instance pour les prendre en charge ? Le STIF existe aujourd'hui. Pourquoi en créer une autre concurrente alors que partout ailleurs en Europe on met en place des agences de la mobilité à l’échelle métropolitaine pour gérer la totalité des flux de marchandises et de voyageurs ? Est-ce le fait que ce soit le conseil régional qui constitue le principal acteur mais c’est pourtant de sa compétence, il faut la reconnaître. Vous n'émettez pas de voeu  sur ce point.

- vous faites une proposition intéressante sur le rôle de Paris Métropole, qui serait en charge d'un suivi global. Je préciserais que Paris Métropole serait le lieu de coopération entre les collectivités territoriales et l’interface avec les actions du STIF et les nouveaux projets qui se mettraient en œuvre dans le territoire francilien. 

En revanche, pour des raisons politiques et partisanes puisqu’il faut s’aligner sur les consignes de l’Elysée et de l’UMP  nous contournons quelque peu le débat sur les complémentarités en mettant pas suffisamment en avant Arc Express, nous occultons le rôle central du conseil régional mais il est vrai qu’il n’appartient pas à votre majorité et nous ne prenons pas position de façon suffisamment claire sur la cohérence de la gouvernance et enfin en mélangeant les enjeux locaux et globaux nous prenons le risque d’occulter la question des retombées urbaines positives ou négatives en fonction des politiques d’accompagnement qui seront mises en place. "

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Le jardin aux papillons de la rue Hudri

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

Sur un terrain non utilisé pour l'instant près de l'école de la rue Hudri, une ingénieure du Museum a proposé une démarche scientifique liée à la biodiversité, en lien avec les associations et les écoles du quartier. Ce terrain vague est poétiquement baptisé "le jardin aux papillons".

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Les encombrants sur les trottoirs

 A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 Depuis 2 ans, le changement de politique en matière de ramassage des encombrants a provoqué des "embouteillages" sur les trottoirs de la ville.

A l'occasion du rapport annuel sur le ramassage des ordures, M. Accart a pointé l'indiscipline des habitants et a annoncé un prochain changement. Dès la mise en place du service tri-hebdomadaire du ramassage des encombrants, nous avions pointé la limite de ce système qui provoquerait obligatoirement un relâchement dans les pratiques de tri sélectif à cause du trop grand nombre de ramassages. Cela a hélas eut lieu. Nous sommes donc satisfaits d'un futur changement des règles ... mais nous aurions préféré être informés de ces nouvelles règles.

 

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