Tous pour Courbevoie

Les vide-ordures dans les HLM

 

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 

 

A l'occasion de la présentation du bilan du ramassage des ordures, Anthony Klein (adminitrateur de l'OPH) a demandé si le maintien des vide-ordures dans certains immeubles de l'OPH était compatible avec le tri sélectif ?

Mme Deshayes (Président de l'OPH) a précisé que la sensibilisation que les services de l'OPH effectuent auprès des locataires est efficace.

Il suffit de se rendre dans l'un de ces immeubles pour constater que ce n'est pas vrai.

 

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Tour Phare : avis sur les installations de chauffage et de climatisation

 

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 

 

Intervention de Joëlle Paris

Nous sommes d'accord avec cet avis défavorable (Le maire et son équipe ont également voter un avis défavorable). Nous remarquons l'absurdité de se prononcer sur une tour qui a 5 recours sur le dos. Les installations classées sont isolées, sans tenir compte de la multiplicité sur le territoire de la Défense. Le cumul des groupes électrogènes à la Défense devient idiot. La proximité avec les logements, avec des zones naturelles sensibles, avec des installations Ceveso (plus proches que signalées dans le document)

Le maire a déclaré ne pas savoir à quoi va servir cet avis, et qu'il attendrait le 10 janvier pour voir quel suites juridiques il donnerait (nous avons depuis appris qu'il ne donnait aucune suite à son recours).

Nous rappelons que le maire était membre du jury de la tour Phare, et qu'en en tant que maire et vice-Président de l'Epad (et maintenant de l'Epadesa), il est parfaitement au courant qu'une tour de cette taille contient des équipements classés pour la protection de l'environnement, comme il en existe déjà beaucoup sur la Défense. Il continue donc dans son double discours : pour la tour Phare quand il est à l'Epad, et contre quand les habitants lui mettent la pression. Où est la vérité ?

 

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Courbevoie : aires de jeux et zones d'habitation

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

A l'occasion de la clôture de la Zac Rouget de l'Isle, Joëlle Paris est intervenue pour pointer le manque d'équipements de jeux libres dans ce quartier. Les conséquences concrètes sont soit des nuisances aux riverains à cause des ballons qui tapent contre les murs, soit un éloignement des enfants au-delà des limites raisonnables pour les laisser jouer seuls en bas des immeubles. L'absence de zones libres de jeux en est évidemment la cause.

Le maire a expliqué que c'était un peu tard pour ce projet, puis a ajouté : "on tire toujours des leçons du passé".

Après la Zac Charras, sans zone de jeu, la rue Mozart, sans espace de jeu, la zone Kleber, vide de zones de jeu, la Zac Danton (Faubourg de l'Arche), dans lequel les maigres espaces publics sont soit relayés sous un pont (terrain de jeu limite Nanterre), soit fermés comme récemment le terrain de ballons, soit réduits au profit des immeubles (Parc du Millénaire),

Après 2 mandats en tant qu'adjoint à l'urbanisme et 2 mandats de maire, il est temps en effet pour Jacques Kossowski de "tirer les leçons du passé".

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Logement HLM : un effet de seuil qui favorise les petites résidences privées sans logement social

 A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

Le PLU de la ville oblige un taux de logements sociaux pour les immeubles construits contenant plus de 20 logements. Au vu de la taille des parcelles de la ville, les promoteurs déposent aujourd'hui des programmes immobiliers de  15 à 18 logements, juste au dessous du seuil. Nous avions dénoncé cet effet pervers lors du PLU.

A la question d'Anthony Klein, le maire a répondu que ses services incitaient les promoteurs à passer le seuil des 20, grâce à l'engagement public d'acquérir les logements supplémentaires ainsi créés. Dans ce domaine, l'incitation est-elle plus forte que l'obligation légale ?

D'autre part, nous rappelons que cette obligation de logements sociaux ne concerne pas, d'après le PLU, la zone "Charras". L'immeuble prévu en lieu et place de la station service BP, près de l'Hôtel Mercure, ne sera donc pas soumis à cette obligation.

Au vu de la crise du logement qui touche la Région parisienne en général, et Courbevoie en particulier, nous devons porter un effort particulier pour que toutes les catégories sociales puissent trouver une offre correcte de logements à des prix raisonnables.

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L'orgue St-Pierre - St Paul : le feuilleton continue

 

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 

 

Le grand projet culturel de la ville de Courbevoie poursuit sa route de façon chaotique. A chaque conseil municipal sont lot de dépense. Nous n'avons toujours pas de bilan consolidé du projet. Il nous a été promis une fois de plus.

Après l'achat de l'orgue, les études pour vérifier la tribune de l'orgue (et s'apercevoir à postériori qu'elle n'était pas assez solide), la destruction de la tribune, la reconstruction de la tribune, les études sur le chauffage (un orgue étant fragile, il peut être abîmé par les variations de température), le coût de stockage de l'orgue, M. Jean a, par une petite phrase (réalité ou boutade ?), provoqué l'inquiétude des conseillers. "Il reste une interrogation sur la résistance du sol". Christian Mimiague est intervenu pour exprimer notre inquiétude sur le coût général de cette opération. Nous rappelons d'ailleurs qu'un autre orgue existe dans l'église de Bécon.

 

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Courbevoie : nos propositions sur les réceptions municipales

 A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

La mairie a signé un contrat avec une nouvelle société pour les réceptions, notamment les repas des anciens. Joelle Paris a demandé sur quels critères avait été choisis ce prestataire, et si les critères "bio" et "clause sociale" avaient été introduits.

Mme Jacob-Chaillé a précisé que les critères Prix, Gout et Délais étaient étudiés. Certes, ils sont essentiels et prioritaires, mais une ville comme Courbevoie peut aussi être exemplaire en matière de développement durable et d'intégration sociale. Nous espérons prendre ainsi notre part du "mieux vivre" sur notre planète, au delà des effets d'affichage sur l'Agenda 21.

A noter que les participants au repas des anciens ont particulièrement apprécié la qualité proposée, ce dont nous nous réjouissons évidemment.

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Piscine de Courbevoie : un toboggan en question

 

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 

 

Il y a quelques années, le conseil municipal des jeunes avait demandé la mise en place de jeux, de type toboggan, à la piscine de Courbevoie. Le maire s'y était fermement opposé, arguant du fait que la piscine de Courbevoie était une piscine de compétition (avec le SFOC, le club de natation) et non une piscine ludique.

Cécile Boucherie s'est félicitée de ce changement d'avis, puisque la mise en place d'un toboggan est à l'étude dans le petit bassin. Les études de faisabilité montreront s'il s'agit d'un équipement en dur ou d'un équipement gonflable. A noter toutefois que si le second choix est retenu, le cout des études (40 000 euros) est très élevé pour un tel résultat. L'équipement sera compatible avec la poursuite des entraînements sportifs du Stade Français.

 

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Pas de toilettes publiques au Parc Diderot

 

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 

 

 

A l'occasion d'un vote sur la construction d'un local technique au Parc Diderot, le conseil municipal a été le théâtre d'un échange savoureux. A la question de Cécile Boucherie de savoir si les toilettes prévues étaient publiques, la réponse a été claire : "seulement pour le personnel". Ce parc ne sera donc toujours pas équipé de toilettes publiques.

 

Quant à l'imbroglio juridique sur les responsabilités sur ce parc, il se complexifie chaque mois un peu plus. M. Accart admet que les évolutions des limites d'interventions de Defacto (en charge de l'entretien de la Défense) ne permettent pas de savoir qui doit intervenir sur le parc Diderot. Voici donc un parc public de la commune qui, à cause de la complexité des montages juridiques avec l'Epad et Defacto, devient une zone abandonnée car nul ne sait qui intervient à quel endroit. Kafkaien !

 

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Tour Phare : le maire réserve sa décision sur un recours contentieux.

 

A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 

 

Concernant la tour Phare, plusieurs recours gracieux ont été déposés contre le permis de construire en mairie de Puteaux, dont celui d'"une autre ambition pour Courbevoie". Les réponses étant parvenues aux différents attaquants, le temps est désormais venu des recours contentieux.

Anthony Klein a confirmé que l'opposition déposerait un recours contentieux (voir article sur ce recours ici) et a proposé au maire UMP Jacques Kossowski que nos avocats respectifs se mettent en relation afin de travailler ensemble, en toute confidentialité évidemment.

Le maire n'a pas semblé très à l'aise dans sa réponse. Il a d'abord refusé de dire si la ville déposerait un recours contentieux ou non, réservant sa décision au 10 janvier. Il n'a pas précisé sous quelles conditions il prendrait sa décision. Il n'a pas répondu non plus à notre proposition de travail commun. Il a enfin tenté maladroitement de minimiser sa participation au jury de la tour Phare, précisant qu'il s'était abstenu à l'époque ... sans préciser toutefois sur quels motifs, architecturaux ou sur l'emplacement, élément commun à tous les projets de l'époque. C'est ce second point qui est évidemment le plus épineux problème de cette tour Phare.

Sous les demandes de précisions, il a conclu par un "je n'irai pas plus loin".

Dommage que les actions engagées au nom de la ville ne soient pas explicitées dans la seule enceinte qui soit publique, celle du Conseil municipal. Il a tout de même promis d'informer les conseillers en janvier 2011.

 

Suite : début février 2011, le maire, dans Courbevoie Magazine, explique qu'il n'ira pas au contentieux, et explique qu'il a reçu les réponses attendues concernant Phare, par exemple sur l'ensoleillement. Nous sommes curieux d'entendre ses réponses ... la Tour Phare laissera passer le soleil ?

 

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Courbevoie : un loueur "développement durable" au stade Jean-Pierre Rives ?

 A l'occasion du Conseil Municipal du 13 décembre 2010

 

 

Enfin, une des boutiques extérieures du stade Jean-Pierre Rives (Boulevard de Verdun) a trouvé preneur. Un loueur de vélos s'installera à cet endroit. Mais l'adjointe en charge du commerce (Mme Sermadiras) ne nous a pas entièrement rassurés. En effet, outre les vélos, les 2 roues et les véhicules "propres", ce loueur proposera également des véhicules traditionnels, à moteur à explosion.  Et les discussions avec la mairie semblent concerner la part de ces locations dans son parc de véhicules. Le beau projet initial est donc sous pression et nous serons vigilants à l'équilibre écologique autant économique de ce projet dans lequel la ville est fortement impliquée.

 

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