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En mars, nous avions interpellé Logis Transport concernant les informations en provenance de Mirax et demandions à Logis Transport, à l'Epadesa, et à la mairie de Courbevoie de surseoir à la vente et aux démolitions des Damiers compte-tenu du contexte.
Nous n'avons reçu que la réponse de Logis Transport ... qui ne répond d'ailleurs pas aux questions évoquées.
Voici l'échange de courriers ci-dessous :
Courbevoie le, 16 mars 2011
Monsieur Remi FEREDJ
Président
LOGIS TRANSPORT
Monsieur le Président,
Depuis le 5 mars dernier un certain nombre d’articles de presse font état de la quasi-faillite du promoteur russe MIRAX.
MIRAX n’a pas su trouver de compromis avec une partie de ses créanciers pour restructurer une dette de 593 Millions de Dollars. Ces derniers ont engagé des poursuites pour le faire déclarer en faillite.
Les liens capitalistiques de MIRAX avec la SAS Hermitage et/ou la SNC Les Locataires, sociétés qui ont conjointement pour projet les tours Hermitage Plazza n’ont jamais été démentis. La filiale française n’a pas su trouver un financement annoncé de sept cent millions d’euros.
Il est évident que l’entier projet peut être gravement remis en question. Vous êtes propriétaire des terrains d’assiette.
J’ai demandé par courrier tournant, au Maire de Courbevoie de mettre en place une commission d’enquête indépendante administrative pour valider des capacités de financement de votre cocontractant.
Je vous remercie de bien vouloir, compte tenu de cette situation, demander à votre Conseil d’Administration :
- d’annuler la promesse de vente avec la SAS HERMITAGE dont les conditions suspensives de financement sont improbables. En effet, poursuivre dans cette voie pourrait être assimilé à une faute lourde de gestion ;
- de stopper immédiatement le délogement de vos locataires ;
- de surseoir aux démolitions.
Je fais copie de la présente pour la bonne règle, aux autres parties qui ont à connaître du projet : La Présidente de l’EPADESA, le Maire de Courbevoie, le Président du Conseil Général des Hauts de Seine et ;
Vous prie de croire, Monsieur le Président, en l’assurance de ma considération la plus distinguée.
Jean-André Lasserre, Conseiller Municipal, Président du Groupe « Une autre ambition pour Courbevoie »
Copies : citées
Voici la réponse de Logis Transport
Tribune publiée en mai 2011 dans Courbevoie Magazine
Lors de la récente campagne des cantonales, l'UMP a tenté de faire peur en disant que la gauche élue allait augmenter les impôts. Quelques jours après, les mêmes UMP augmentent sensiblement la taxe d'habitation : + 3,5 % pour la taxe d'habitation. + 2 % pour les bases (votées à l'assemblée par Jacques Kossowski, député).
Alors que beaucoup d'entre nous souffrent d’une baisse conséquente de leur pouvoir d’achat, cette hausse significative des impôts locaux est inopportune.
La question essentielle est : à quoi sert-elle ?
A de meilleurs services ? Plus nombreux ? A des projets structurant notre ville ?
Malheureusement, il n’en est rien.
Aucune priorité n'apparait dans les propositions de la majorité municipale.
Le budget ressemble à un catalogue sans hiérarchie, allant de l'entretien courant de l'existant à des mesurettes pour la jeunesse et les seniors.
A l'analyse précise des chiffres, ce n'est pas plus clair. Un saupoudrage de hausses et de baisses qui ne forme pas un axe lisible.
Un seul poste émerge largement : la sécurité. Avec des caméras de plus en plus nombreuses. Et peu importe leur efficacité. Et peu importe leurs nombreux dysfonctionnements (près de la moitié en panne). L'affichage semble plus important que la réalité. Et l'armement de la Police Municipale sans doute plus urgent qu'un vrai travail de sécurité de proximité…
En revanche, sur tout notre quotidien : pas ou peu. Le logement, l'action sociale, la famille, la petite enfance, la santé, l'éducation, le sport et la jeunesse sont les grands oubliés de ce budget.
Enfin et surtout, quelle est la réalité du budget présenté ? Encore une fois, le réalisé par rapport au promis est très faible. 15 millions d'Euros non réalisés dans les investissements prévus en 2010 et 9 millions d'Euros en excédent pour le fonctionnement ! La cagnotte de la ville grossit, grossit, grossit. Mais hélas, ce n'est pas le fruit d'une bonne gestion, juste le fait d'une ville riche qui n'arrive plus à anticiper son avenir.
Cette augmentation d'impôts ne sert donc vraiment à rien. L'argent collecté ne sera, à nouveau, pas utilisé et ira grossir la cagnotte de l'année prochaine. De l'argent qui dort. Et qui aurait été plus utile dans les porte-monnaies des Courbevoisiens.
Ingrid FASSHAUER Jean-André LASSERRE
Conseillère municipale Président de groupe
Conseiller Général
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Voici le texte de la contribution du groupe "une autre ambition pour Courbevoie" à l'enquête publique de la tour AIR 2
Contribution à l'enquête publique sur la Tour AIR 2 du groupe municipal "Une autre ambition pour Courbevoie"
Calendrier:
Tout d’abord nous souhaitons attirer l’attention sur les difficultés de séquençage des livraisons des nouvelles tours dans le périmètre immédiat de la tour objet de l’enquête publique.
Ce sont en fait quatre tours en démolition, reconstruction et rénovation qui sont projetées sur un périmètre extrèmement restreint, soit en sus d’AIR 2 - 82 000 M² :
La proximité de ces chantiers qui représentent près de 300 000 m² et leur concomitance calendaire représente une source de nuisances considérables pour les résidents de proximité à l’habitation comme dans les immeubles de bureaux en exploitation. Or à ce jour rien ne semble avoir été prévu par l’aménageur pour mettre en place des contrôles de chantier et un agenda de livraison programmé.
Desserte de construction
Au contraire, chaque tour projetée va voir ses conditions de réalisation et de chantier gérées de manière totalement autonome sans lien ni “police” organisée par l’aménageur.
Les accès à ces chantiers ne sont pas plus gérés et il y a tout lieu de penser que les seuls accès seront circonscrits au Boulevard circulaire et surtout avenue d’Alsace dont la circulation devrait être modifiée. Ces contraintes d’accès et la noria des camions pénaliseront sur la durée de ces chantiers les axes en continuité de Courbevoie et induiront des nuisances et de graves difficultés de circulation dans les pourtours immédiats. Aucun document ne fournit une réponse au traitement de ces difficultés.
Chantier
Dans le même esprit, les documents communiqués ne font aucune référence aux conditions de chantier. Des chantiers aujourd’hui terminés comme celui de la Tour FIRST ont démontré une très grande difficulté, voir une totale impossibilité de contrôler la sécurité (un décès sur Tour First) et les conditions de pulvérisation dans l’air de matériaux dangereux pour la santé des riverains avec la mise en place de contrôle ad hoc.
Compte tenu des retards techniques et commerciaux, lesdits risques seront multipliés par deux avec l’érection de D2. Dans la logique d’une information transparente, ces deux opérations auraient du faire l’objet d’une enquête conjointe.
Saturation des transports en commun
Dans un deuxième temps, il convient également d’attirer l’attention sur la livraison à intervalle proche de nouveaux m² induisant au minimum de 2 à 3 000 usagers complémentaires dans les transports en commun avec une nouvelle fois une concomitance de livraison mal programmée.
À cet égard, la station la plus proche et la plus logique est Ligne 1 : ESPLANADE DE LA DÉFENSE qui est déjà totalement saturée et dont l’automatisation ne suffira pas à absorber les fluxs des nouveaux occupants aux heures de pointes. L’étude d’impact manipule l’information en parlant de deux stations en intégrant la station LA DÉFENSE GRANDE ARCHE qui ne sera pas la desserte privilégiée par les utilisateurs.
Le fait d’avoir privilégié le seul territoire le long du boulevard circulaire sur Courbevoie démontre l’impasse de programmation sur les besoins en transports en commun dans le cadre d’un périmètre restreint et sur une durée longue insuffisamment desservi.
Il n’est pas acceptable que de telles opérations soient montées et programmées logiquement sans une parfaite concomitance avec les solutions de transports en commun. C’est traiter avec le mépris le plus total les utilisateurs et les habitants.
Stationnement
En matière de stationnement, aucune réelle information n’est délivrée sur les conditions de réhabilitation des parkings actuellement propriété de DEFACTO. Aucune convention ne semble avoir été mise en place, pour prévoir une capacité renforcée pour les usagers et les habitants de proximité qui risquent au contraire, de devoir chercher ailleurs pendant la durée des travaux. Pire la réalisation des tours GENERALI et D2 paraît devoir déjà utiliser des emplacements disponibles sur le périmètre restreint.
Rien n’est prévu pour les accès et protection des accès vélos.
Ventement
La proximité des quatre nouvelles tours sur le périmètre restreint va considérablement modifier les conditions de circulation d’air entre les bâtiments, là non plus aucun document ne permet dans la consultation de pouvoir approcher ces difficultés ni à l’échelle de la tour objet de l’enquête ni plus encore dans les interférences entre les tours.
Circulation piétonne
Dans le même esprit, aucune étude d’ensemble ne permet d’analyser les parcours pietonniers qui seront des ressorts conjugués de l’EPADESA et de DEFACTO. Il n’est pas non plus acceptable qu’une telle enquête ne puisse pas permettre d’approcher en toute transparence ces difficultés évidentes.
Ombre portée
Aucune étude d’impact général n’est donnée sur les effets d’ombres conjugués des différentes tours, existantes et en projet qui pourraient avoir des effets non négligeables sur les immeubles à usage de bureaux
Fondations
Sur les points techniques, les informations sont totalement insuffisantes en matière d’étude de sol et des risques conjoints des différentes fondations des tours projetées. À cet égard, la proximité du Boulevard circulaire peut se révéler une source de difficultés techniques sur lesquelles aucune information n’est pas non plus délivrée ; alors que ces difficultés techniques pourraient retarder considérablement un chantier tandis que d’autres constructions pourraient se poursuivre.
Une fois encore, il est déplorable que l’aménageur n’ait pas cru efficace de procéder à une étude globale des conditions techniques de chacune des tours en liaison avec les choix techniques des tours voisines.
Conclusion
En conclusion, il est manifeste à nos yeux que les présupposés choisis par l’aménageur dans le cadre du plan de renouveau ; à savoir lancer des tours de manière individuelle sans agenda concerté, ni étude d’ensemble, présente de nombreux risques :
Nous constatons avec regret que l’EPADESA ne remplit pas son rôle d’ensemblier qui est le rôle premier d’un aménageur et que cet établissement public est dans l’incapacité d’avoir une approche globalisée à l’échelle d’un territoire restreint. Ce défaut de prise en charge commun d’opérations autonomes qui peuvent se révéler concurrentielles sur une période peut-être plus longue que prévue témoignent d’une prise de risque inconsidérée à l’échelle de la ville de Courbevoie comme du territoire élargi dont l’EPADESA est en charge.
À Courbevoie le 18 mai 2011
Pour le Groupe municipal UNE AUTRE AMBITION POUR COURBEVOIE
Jean-André LASSERRE : Conseiller Général, Conseiler Municipal et Président de groupe
Anthony KLEIN : Conseiller Municipal en charge de l’urbanisme et du logement
Joëlle PARIS : Conseillère Municipale en charge de l’écologie urbaine
Dans un courrier rendu public, Jean-André Lasserre, conseiller général, et le groupe « Une autre ambition pour Courbevoie » demandent à l’Inspecteur d’Académie de reconsidérer sa position sur les fermetures de classes à Courbevoie.
En effet 4 fermetures de classe sont prévues à la rentrée dans les écoles André Malraux, Alexandre Dumas, Jean de La Bruyère et Françoise Dolto.
A l’école André Malraux, une classe a été fermée le jour même de la rentrée 2010. Cette situation difficile a été remarquablement gérée par la direction de l’établissement mais a marqué les esprits des enseignants, des enfants et des parents. Or une nouvelle suppression est prévue à la rentrée 2011. Cette fermeture est incompréhensible car les effectifs sont stables par rapport à cette année. Selon les dernières prévisions, cela reviendrait l’an prochain à une moyenne de 26 enfants par classe, avec des CE1 à 30 élèves ou de nombreux doubles niveaux, rendant tout suivi spécifique pendant le temps de classe extrêmement difficile. Cette école accueille par ailleurs une CLIN dont les enfants sont scolarisés à temps partiel sur les autres classes de l’établissement dès que leur niveau de français le leur permet. L’intégration de ces enfants sera rendue beaucoup plus difficile dans des classes aussi chargées.
La situation est sensiblement la même à l’école Alexandre Dumas qui reçoit de nombreux enfants en difficulté. La fermeture de classe se double d’une suppression de poste de RASED sur la commune de Courbevoie, pénalisant une fois encore les enfants qui ont le plus besoin de soutien.
L’école Jean de la Bruyère accueille pour sa part une CLIS dont les enfants sont eux aussi partiellement intégrés dans les autres classes. L’alourdissement des effectifs rendra cette intégration difficile voire impossible.
Dans d’autres écoles, telles que Rouget de Lisle et Guynemer, les augmentations d’effectifs ne sont pas compensées par des ouvertures de classe, rendant la situation difficile pour les équipes pédagogiques en place.
Pour toutes ces raisons et parce que l’éducation doit être une priorité, Jean-André Lasserre et les élus du groupe « Une autre ambition pour Courbevoie » soutiennent les parents d’élèves de ces écoles et demandent à l’inspecteur d’Académie de reconsidérer sa position.
Jean-André Lasserre et tous les élus du groupe "une autre ambition pour Courbevoie" félicitent les jeunes rugbymen de Courbevoie : 1er chez les moins de 7 ans et 2ème chez les moins de neuf ans.
Bravo aux joueurs et à leurs entraîneurs !
Inauguration ce soir de la Tour First, première et seule tour livrée à ce jour du plan de renouveau de la Défense voulu par le président Sarkozy en 2006 : sans nous !
Pourquoi sans nous ?
Parce que notre groupe « Une Autre Ambition pour Courbevoie » ne souscrit pas à ce plan de renouveau présidentiel qui aggrave les handicaps du quartier d'affaires au point qu'ils en deviennent insurmontables : saturation des transports en commun, embolie de la circulation routière et sa pollution associée, suppression des logements accessibles aux classes moyennes et modestes au profit de toujours plus de tertiaire et d'équipement luxueux réservés à une micro élite, nuisances des chantiers, travaux pharaoniques à hauts risques… En résumé, persistance d'un modèle économique erroné qui embarque usagers, habitants, collectivités et établissements publics gestionnaires droit dans le mur.
Pourquoi sans nous ?
Parce que notre lucidité déplaît tellement au député maire de Courbevoie et vice-président de l'Epadesa que nous ne sommes tout simplement pas invités à cette inauguration ! Un exemple parmi d'autres des pratiques mesquines et partisanes dont la majorité de droite de la ville de Courbevoie est coutumière vis à vis des élus d'opposition.
L'euphorie du cocktail ne doit pas faire oublier les faits suivants :
La tour First s'enorgueillit de 50 étages. Elle va accueillir Ernst & Young à l'automne sur 17 plateaux. 33 étages restent donc en jachère, ainsi que la majeure partie de la Tour Egée précédemment occupée par Ernst & Young et un immeuble de Neuilly, désertés par les nouveaux occupants de First. C'est plus de 50 000 m2 tertiaires flambant neufs mais inoccupés de First qui viennent plomber un peu plus le bilan de vacance du secteur et mettent en évidence l'absurdité de la fuite en avant.
A l'ouest de la tour First, il y a Cœur Défense sauvé in extremis de la faillite cette année.
A l'est de la tour First, à quelques mètres, 180 familles du secteur Défense 1 ont été abusivement chassées de leurs logements « les Damiers » par leur bailleur Logitransport en vue de l’opération « Hermitage » contre laquelle notre groupe a déposé un recours contentieux. Condamné par des décideurs aveuglés, le quartier périclite, alors que le promoteur Hermitage, filiale française du promoteur russe Mirax Stroimontage, est donné comme financièrement aux abois par la presse professionnelle de référence. Information validée en creux par le silence de l'Epadesa sur le sujet.
Derrière les bulles de champagne, la réussite de la réhabilitation de la tour First se résume à un exercice désespéré de gymnastique financière, imposé par le plan de renouveau.
Le coût réel de location d'Ernst & Young reste un secret jalousement gardé. L'actuel propriétaire de First, va se revendre à lui même (via un fonds d'investissement) la Tour pour éviter la gestion du risque locatif. Du côté du vendeur on trinquera ce soir à une belle vente (acclamée par l'Epadesa). Du côté de l'acquéreur (du même groupe que le vendeur ! ) l'affaire ressemblera à un investissement à risque et peu rentable au démarrage.
Moyennant quoi l'Epadesa peut remplir sa mission médiatique : raconter que la tour First est louée et qu'elle sera revendue à un investisseur !
Texte signé par les 8 conseillers municipaux du groupe "Une autre ambition pour Courbevoie"
Jean-André Lasserre, Conseiller Général
Cécile Boucherie
Anthony Klein
Joëlle Paris
Ingrid Fasshauer
Daniel Suisse
Christian Mimiague
Isabelle Tresson
Voici le texte dit par Jean-André Lasserre lors de la séance du Conseil général qui a désigné les 2 représentants du CG au Conseil d'Administration de l'Epadesa (ex.epad).
lire aussi l'article ici
"La transparence dans la prise de décision au sein de l’Epad Epasa, la pertinence des choix qui ont été effectués, font partie des questions largement abordées inscrites au cœur des dernières élections dans les cantons qui sont directement impactés par l’évolution de la Défense.
Quand on fait une analyse des résultats, on peut constater que les électeurs ont fait un choix clair en considérant que les problèmes que nous soulevons sont pertinents.
C’est la raison pour laquelle, je suis aujourd’hui candidat, pour revisiter la gouvernance, pour faire en sorte que les décisions se prennent avec les habitants dans les territoires concernés et enfin pour que l’on revienne sur ce modèle de développement qui est aujourd’hui dépassé.
En effet, les enjeux sont ceux la qualité de service, la qualité de vie, l’introduction d’une dimension horizontale, le développement de logements pour tous et non leur suppression, l’amélioration de l’accessibilité, bref, tout ce qui participe à l’attractivité d’un territoire.
Cette candidature est l’occasion également de mettre un coup d’arrêt à des opérations urbaines qui posent problème et qui sont largement contestées par les habitants qui vivent dans ces territoires.
Je voudrais en citer quelques-unes pour mémoire :
- Le projet Hermitage, qui supprime du logement, de la mixité sociale pour du luxe le tout porté par un promoteur aux abois dont on peut s’interroger sur l’origine des ressources,
- La Tour Phare, 8 000 salariés en plus, dans un mouchoir de poche, un quartier coupé de la Défense et des problèmes supplémentaires de saturation des transports.
- La façon avec laquelle on a géré le centre commercial de la Coupole, qui a consisté à mettre dehors des commerçants dans des conditions difficilement acceptables alors qu’il fallait maintenir la logique d’offres commerciales de pied de tour.
- La tour Ava, construite hors dalle, au cœur même d’un carrefour des transports et qui pourrait à ce titre perturber la qualité de la mobilité et les conditions d’accès à la dalle.
C’est au nom de la transparence, d’une autre vision de la Défense, du pluralisme que je suis donc candidat au conseil d’administration de l’Epad Epasa et que je vous invite à vous prononcer en ma faveur."
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