Tous pour Courbevoie

Tour Phare : le maire communique ... avec 3 ans de retard

Les habitants du Faubourg de l'Arche viennent de recevoir dans leur boite un courrier de Jacques Kossowski, maire UMP de Courbevoie. Il y explique pourquoi il dépose un recours.

C'est la toute première fois depuis 3 ans qu'il informe les habitants sur ce sujet.

 - il y a 3 ans, alors que Jacques Kossowski, vice-Président de l'Epad, est membre du jury de la tour Phare, il ne donne aucune information sur cette tour.

- En 2008, lors de la campagne électorale municipale, il n'apporte aucune information sur cette tour qui impacte au moins 20 % de ses habitants.

- En avril 2010, il ne donne aucune information sur l'enquête publique qui va débuter à Puteaux sur la tour Phare.

- En mai 2010, il refuse d'accéder à notre demande de réunions publiques sur ce thème dans les quartiers impactés. Il refuse même d'informer sur Courbevoie Magazine ou les panneaux lumineux de l'existence de cette enquête publique.

A ce moment là, l'opposition est la seule à informer les habitants du Faubourg de l'Arche et les zones proches de la tour. Plusieurs centaines d'habitants se mobilisent.

- En juillet et août 2010, le maire ne donne aucune information sur les conclusions du commissaire-enquêteur et sur le dépôt du permis de construire.

 Début octobre 2010, nous rendons public le recours que nous engageons contre le permis de construire de la tour Phare.

 Quelques jours plus tard, le maire dépose un recours où il reprend tous nos arguments. Nous nous félicitons évidemment de sa volte-face sous la pression des habitants.

 En revanche, côté information, c'est toujours le néant.

- les conseillers municipaux ne sont pas informés

- le site de la mairie ne le mentionne pas.

 Une nouvelle fois, le maire UMP Jacques Kossowski montre deux visages. Engagé et impliqué dans l'Epad aux côtés de Joelle Ceccaldi-Reynaud, Patrick Devedjian et Jean Sarkozy, il participe à la décision de la tour Phare et impose le silence sur sa ville.

Une fois les habitants informés par l'opposition, il retourne sa veste et se présente comme le défenseur des habitants.

 Cette ambivalence est aussi de mise dans les autres dossiers de la Défense. A la Défense 1, où il prétend améliorer le quartier en militant pour l'arrivée de 2 tours de luxe (les tours Hermitage) alors qu'elles provoquent le départ des habitants et la disparition d'espaces publics (voir article ici).

De même pour le centre commercial de la Coupole, dossier dans lequel il masque le futur projet destiné non pas aux habitants riverains ou à une ouverture sur la ville.

 

 

Le Monde pour Direct Matin : "avis de tempête sur la tour Phare à la Défense"

Voici l'article paru le 26 octobre dans Direct Matin

 

Le Parisien : "LA DÉFENSE : Les murs de la Coupole devront être détruits"

Le Parisien du 25 octobre 2010
par Florence Hubin 

Le Parisien : "LA DÉFENSE : Les murs de la Coupole devront être détruits"

La cour d’appel de Paris vient de condamner l’Epad (Etablissement public d’aménagement de La Défense) à détruire les murs construits cet été dans le centre commercial la Coupole, à La Défense.

( ... Article dans lequel est cité Jean-André Lasserre (ndlr) ...)

« Dans cette affaire de la Coupole, l’Epad s’est comporté comme un promoteur irresponsable », a déclaré pour sa part, jeudi dernier, Jean-André Lasserre, président du groupe municipal d’opposition (PS, Verts, PC) Une autre ambition pour Courbevoie, ville où se situe le centre commercial. « Il est urgent maintenant de rouvrir ce centre commercial dans les meilleures conditions possibles, puis de penser à son avenir. »

article complet

 

 

 

 

 

 

Défense : L'EPAD condamné à rouvrir la Coupole

La cour d’appel de Paris a par arrêt du 13 octobre, le jugement du 15 juillet dernier condamnant l’Epad à effectuer les travaux du centre commercial de la Coupole. Elle y ajoute l’obligation pour l’Epad de supprimer l’ensemble des tunnels (ou murs) construits dans la galerie marchande dans un délai de 6 mois sous astreinte de 50 000 € par jour de retard ! C’est une immense victoire pour le droit et le respect des commerçants, soutenus depuis le printemps par notre groupe, par les habitants et les usagers de la galerie marchande.

Le dossier de la Coupole connaît un nouveau rebondissement. La cour d’appel de Paris est très claire dans son jugement du 13 octobre 2010, et condamne l’Epad sur plusieurs points :

1) Le juge précise que l’Epad est propriétaire du site, malgré les dénégations de l’établissement public. Le juge pointe ainsi toute la responsabilité de l’Epad et de ses dirigeants actuels et passés dans la gestion du site depuis au moins 15 ans.

2) Le juge oblige l’Epad à faire les travaux nécessaires de sécurité incendie (sur les sprinklages). Le juge précise même que ces travaux auraient du être faits depuis longtemps.

3) Le juge confirme que, au vu des travaux à effectuer, la fermeture du centre n’est pas une obligation. Il considère donc que le tunnelage (les murs dans la galerie) doit être supprimé dans les 6 mois.

Ce jugement confirme ce que nous disions depuis le printemps :

- L’Epad souhaitait depuis plusieurs années transformer le centre commercial de la Coupole en l’agrandissant et en modifiant sa destination, changeant le commerce de proximité en commerce de loisirs haut de gamme.

- Les dirigeants de l’Epad ont sciemment négligé l’entretien de sécurité incendie du centre afin de trouver un moyen pour fermer le centre actuel. Les responsables actuels et passés de l’Epad-UMP sont responsables : Joëlle Ceccaldi-Reynaud, Jacques Kossowski, Patrick Devedjian, Jean Sarkozy, Nicolas Sarkozy, …

- Les dirigeant mettent financièrement en danger l’Epad, structure publique dont ils sont responsables.

- Jacques Kossowski, maire UMP de Courbevoie et vice-Président de l’Epad, en se précipitant pour fermer le centre, a gravement participé à la destruction de commerces de proximité sur la ville, enlevant un lieu convivial sur la Défense, utile tant aux habitants du quartier qu’aux salariés.

- Il n'y a pas eu de réunion du CA de l'EPAD sur ce sujet, contrairement à ce qu’avait annoncé publiquement Jacques Kossowski.

- Jacques Kossowski expose la ville de Courbevoie qui se voit désormais confrontée à plusieurs procédures judiciaires en risques pour les finances de la ville, et donc pour les habitants.

Jean-André Lasserre, Président du groupe municipal d’opposition PS Les Verts PCF « une autre ambition pour Courbevoie ajoute :

  « Dans cette affaire de la Coupole, l’Epad s’est comportée comme un promoteur irresponsable. Jacques Kossowski est en cause à plusieurs titres, en tant que vice-Président de l’Epad qui a cautionné toutes les égarements de l’établissement public depuis plusieurs années, et en tant que maire en laissant tomber son commerce de proximité et sa population.

  Il est urgent maintenant de penser à l’avenir de ce centre commercial. Le rouvrir d’urgence dans les meilleures conditions possibles ; puis retrouver de la sérénité pour penser le centre commercial de demain, une galerie qui pourrait être un trait d’union entre la ville et la Défense, entre les habitants et les salariés, un lieu de convivialité dont manque tellement la Défense »

 

PLU de Courbevoie (1) : pas de vision

A l'occasion du conseil municipal du 27 septembre 2010

La majorité UMP a voté le PLU.

Depuis sa première présentation publique en 2009, les évolutions sont minimes et techniques. Le PLU est un laisser-faire généralisé sur l’urbanisme de la ville. Les espaces publics sont réduits à peau de chagrin. L'habitat social est délaissé. Il ne montre que la passivité et le manque de volontarisme de l'équipe municipale.

 Ce que nous disions lors de cette présentation est donc toujours d'actualité.

Rappel :

La ville confie son aménagement aux autres

Il est frappant, à la lecture du PLU, de voir combien la ville de Courbevoie ne traite pas elle-même de ses dossiers. Cela est même devenu une méthode de gestion municipale : « Ce n’est pas un dossier de la ville. Je ne suis pas au courant, je n’y peux rien» rétorque souvent le maire Jacques Kossowski à nos questions, qu’elles concernent la Défense, Charras ou des opérations immobilières privées sur la ville. Et pourtant, le PLU qu’il propose autorise bien tout ce qu’il prétend ne pas connaître. Exemples sur 3 dossiers.

La Défense

Le maire se plaint souvent que sur le territoire de la Défense, il n’a aucun pouvoir. Outre sa casquette de vice-président de l’Epad, le PLU aurait pu être un outil pour maitriser l’urbanisme de Courbevoie côté Défense. Bien au contraire, le PLU de Courbevoie autorise tout sur la Défense, de l’idiote tour AVA à la scandaleuse tour HERMITAGE. Il montre ainsi qu’il cautionne, soutient et participe activement malgré ses dénégations au développement urbanistique non maitrisé de la Défense.

Charras

Depuis quelques mois, le maire ne cesse de répéter que l’opération » Centre Commercial Charras » est une opération uniquement privée dans laquelle il ne peut pas intervenir. Son PLU autorise toutes les possibilités demandées par le promoteur, permettant même à cet opérateur privé de gagner sur l’espace public appartenant à tous les Courbevoisiens. Le Maire acte ainsi le fait qu’il laisse au promoteur le soin d’aménager le centre ville puisque le centre commercial est structurant de toute la zone centrale de Courbevoie.

Les zones « molles »

Les zones situées entre les boulevards de la mission Marchand, de Verdun, entre la ville de la Garenne-Colombes et la ligne de chemin de fer bécon/Défense sont particulièrement intéressantes. Appelons les « zones molles » car leur urbanisme actuel est historique et morcelé. Par le zonage proposé, le maire de Courbevoie signe un chèque en blanc aux promoteurs. Ceux-ci vont trouver à Courbevoie de belles opérations à faire à quelques mètres de la Défense. Ils pourront acheter de vieux pavillons, les détruire, les remplacer par de petites résidences de standing, sans aucune contrainte, ni unité urbanistique. Elles pousseront ici ou là, au gré des cessions de terrains, sans lien les unes avec les autres. Il s’agira d’un aménagement urbain non maîtrisé, mais qui provoquera de fortes tensions sur le marché local du logement, fragilisant même la situation des classes moyennes sur la ville.

 Peu de HLM possibles

Le PLU découpe la ville en zones dans lesquelles les nouvelles constructions auront ou non l’obligation d’intégrer des logements sociaux :

- Dans les zones pavillonnaires, le seuil est fixé à 20 logements, ce qui fait que peu des résidences de standing construites sur ces petites parcelles auront le minimum requis.

- Autre zone possible, la Défense. Mais son développement côté Courbevoie est plus axé sur les bureaux que sur les logements.

- Troisièmes espaces possibles, les zones du Faubourg de l’Arche, du centre de Bécon ou du quartier Victor-Hugo. Elles présentent déjà un bâti dense et récent. Les marges de manœuvre pour y construire des résidences de plus de 20 logements sont donc réduites.

- La zone centrale de la ville (Charras) n’a en revanche aucune obligation de logements sociaux.

 Pas d’espaces réservés pour la communauté des habitants

Dans un PLU, la ville peut réserver des espaces. Ce sont en général des zones dans lesquelles elle espère programmer à l’avenir des équipements publics ou des aménagements urbains bénéfiques à tous.

Dans le PLU 2010 présenté par Jacques Kossowski, ces zones réservées représentent moins de 1 % de la surface de la commune. Cela montre bien le minimum de volontarisme du Maire.

 

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PLU de Courbevoie (2) : CHARRAS - le square devient constructible

 A l'occasion du conseil municipal du 27 septembre 2010

La majorité UMP a voté le PLU de la ville.

Intervention de Anthony Klein :

Les très nombreuses interventions des habitants du quartier Charras ont laissé l'équipe municipale droite dans ses bottes.

L'opération Charras ne subit aucune adaptation par rapport au débat qui s'est instauré dans la ville. Les plans sont identiques. Charras est inchangé par rapport au projet initial.

C'est surprenant car la plupart des intervenants se sont vus répondre : "une concertation est en cours."

Nous rappelons que la concertation est pilotée par l'opérateur Corio et non par la ville.

Nous attendons de voir le résultat mais il est surprenant que vous nous demandiez d'approuver ce PLU alors que la concertation est toujours en cours.

Les plans de la zone permettent toujours :

- la démolition des espaces verts

- la construction d'immeuble de grande hauteur sur le pourtour de Charras (sur la station-service BP)

 Lorsque les habitants proposent des améliorations, elles sont refusées.

 

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PLU de Courbevoie (3) : Ô temps, suspends ton vol

A l'occasion du conseil municipal du 27 septembre 2010

Lors de la discussion sur le PLU, Bernard Accart est intervenu en disant que ce projet de PLU avait été lancé en 2001 ... basé sur les chiffres du recensement de 1999. Il a jouté que la ZAC Charras avait été une des plus longues de France.

M. Bordeaux (en charge de la prospective) ajoute : " Nous sommes dans un horizon d'attente."

 Jean-André Lasserre a pointé tout particulièrement le laisser-faire de la ville : " le plan de renouvellement est là, décidé, voté, avec des tours qui vont se construire. C'est une réalité que nous avons en face. Somme nous en mesure de modifier le cours des choses ? D'influer sur des décisions qui ne sont pas bonnes pour les habitants de Courbevoie ? Ce PLU aurait pu le permettre mais vous ne l'avez pas fait"

Jean-André Lasserre a également insisté sur les responsabilités de l'équipe municipale.  La ville doit être pilote de son destin. Mais un certain nombre d'opération posent problème : Charras évidemment, mais aussi la tour Hermitage, la Coupole, la tour Ava, ...

Quant à la coopération avec les villes limitrophes, elle est inexistante.

Stéphane Lenoel a également pointé le fait que l'intercommunalité n'était pas intégrée. Nous sommes dans le rattrapage du recensement de 1999. Ce PLU est déjà périmé, avec des orientations pour demain qui ne sont pas là. Il n'y a pas d'orientations de ville.

 

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Contre l'intercommunalité Courbevoie - Puteaux

A l'occasion du conseil municipal du 27 septembre 2010

Intervention de Jean-André Lasserre :

Lors du conseil précédent, nous avons eu des échanges sur les finalités de cette intercommunalité. Nous étions d'accord pour convenir qu'il fallait penser l'évolution de notre ville dans un cadre plus large que cette minuscule intercommunalité à 2.

Vous nous disiez alors : d'abord à 2 avec Puteaux pour ensuite aller à 6, avec Nanterre, Rueil, Suresnes et la Garenne-Colombes.

Autant nous étions d'accord sur l'objectif à 6, autant nous regrettions la méthode du face à face avec Puteaux, un face à face étriqué avec le risque de s'y enfermer.

Aujourd'hui, la fiabilité de Puteaux est posée.

La majorité UMP a retiré une délibération sur la non-participation de Puteaux au syndicat mixte à 6 (Jean Spiri, en charge de l'intercommunalité, ne semblait pas au courant du retrait de la délibération). Où en sont-ils ? Cela pose problème de continuer cette intercommunalité à 2 si ils ne souhaitent pas voir plus loin.

Ce mariage est risqué car notre avenir n'est pas dans cet intercommunalité réduite.

 

Jacques Kossowski a émis sa préférence pour une intercommunalité plus large (avec Nanterre) mais a mis en avant le principe de réalité.

Il a admis que le syndicat d'étude est suspendu à une décision de Puteaux. Il a ajouté qu'avant d'avancer vers une intercommunalité à 6, tous les maires n'étaient pas murs.

 

Le débat a porté ensuite sur les périmètres possibles dans un avenir plus lointain et des enjeux d'une intercommunalité plus large :

- reprendre la gouvernance de la Défense par les territoires ? cela fait partie des possibilités dans la cadre d'une adhésion à l'intercommunalité du Mont-Valérien (Rueil, Nanterre, Suresnes)

- imaginer des associations avec la Boucle Nord ? cela peut permettre de s'extraire d'un face à face stérile avec la Défense, L'Epadesa et de voir le territoire de façon plus large, comme a pu le penser le sud du département avec Issy et Boulogne.

- et Neuilly ? et Levallois-Perret ?

Les échanges entre Jean-André Lasserre et Jacques Kossowski permettent notamment de regarder les différentes perspectives qui s'offrent à notre territoire, dans le cadre d'un ensemble plus large qui est la métropole parisienne.

A la logique du petit pas instable avec Puteaux, nous préférons un engagement volontaire dans un espace territorial logique, avec non seulement une coopération technique mais surtout une logique transversale sur les territoires.

Nous avons voté contre cette intercommunalité beaucoup trop réduite.

 

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Courbevoie adhère (enfin) à Paris Métropole

 A l'occasion du conseil municipal du 27 septembre 2010

Intervention de Jean-André Lasserre :

Paris Metropole constitue incontestablement une réponse intéressante aux enjeux de la Région Parisienne.

Courbevoie y adhère en 2010, après 2 ans d'atermoiements. Cette adhésion est visiblement due à une consigne de l'UMP, due au financement du grand 8 et de l'Arc Express.

Paris Metropole est une bonne réponse du point de vue de la coopération entre les villes francilliennes, en particulier celles de la 1ère et de la 2ème couronne.

Elle permet en particulier d'intriduire un lien opérationnel avec les travaux des 10 équipes qui ont planché sur le Grand Paris. Des résultats riches, malheureusement abandonnés par l'Elysée mais pas par les élus locaux, en particlier issus des collectivités de gauche, qui s'appuient sur ces travaux intéressants.

Paris Metropole constituent un espace dans lequel nous pouvons travailler de façon prospective.

 

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L'EPADESA remplace l'EPAD

A l'occasion du conseil municipal du 27 septembre 2010

M. Jacques Kossowski a été élu représentant de la ville au Conseil d'Administration de l'EPADESA, qui va succéder à l'EPAD et à l'EPASA (Nanterre) dans quelques jours.

Le périmètre de l'EPADESA couvre également la commune de la Garenne-Colombes. Sur Courbevoie, le périmètre s'agrandit sur le quartier de la rue Mozart, des immeubles Louis Blanc, jusqu'à la rue de l'Abreuvoir et remonte jusqu'à proximité de l'avenue Gambetta.

 

La composition du Conseil d'Administration sera proche de celle de l'Epad. Les choix politiques qui président au développement de la Défense seront donc identiques, mais sur un territoire plus important.

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