Tous pour Courbevoie

Courbevoie Sainte-Marie : accessibilité réduite le week-end

A l'occasion du Conseil Municipal du 19 octobre 2010

Au détour d'une délibération sur l'entretien des escalators dans la ville, nous avons appris que les escalators de Victor-Hugo / Saint-Marie sont tout simplement arrêtés le week-end pour ne pas gêner le voisinage. L'accessibilité dans notre ville est donc réduite le week-end. Toutes les personnes ayant des difficultés dans les escaliers (personnes âgées, parents avec poussettes et enfants, handicapés) doivent donc s'abstenir de se déplacer dans ce quartier du vendredi soir au lundi matin. L’argument est d’autant moins tolérable que ces escalators disposent comme la plupart de ce type d’équipement une fonctionne de veille, ils s’arrêtent au bout de quelques minutes lorsqu’ils ne sont pas utilisés.

 

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Courbevoie : quel entretien pour les ascenseurs, escalators et monte-charges ?

A l'occasion du Conseil Municipal du 19 octobre 2010

Intervention de Joelle Paris

Enfin un contrat, enfin un responsable identifié pour le dépannage des divers ascenseurs, escaliers mécaniques, etc ... de la ville !

Tout s’éclaire, et pour tout le monde, puisque même mon collègue M. Chambers (conseiller municipal UMP, membre de la majorité. ndlr) se demandait lors du dernier conseil de quartier du Faubourg de l’Arche qui était responsable de l’entretien des 13 escalators et 2 ascenseurs. Donc monsieur Chambers, le brouillard se dissipe pour nous tous, c’est OTIS depuis le 31 décembre 2009.

Nous sommes rassurés aussi sur l’imbroglio de la vidéo surveillance de ces équipements : je vous donne lecture du point 6 du CCTP :

« Article 6 : tele surveillance

Les 13 escaliers mécaniques OTIS du site Faubourg de l’Arche sont sous télé-surveillance caméra reliée actuellement sur un PC de surveillance installé à l’EPGD. En cas d’arrêt, ces escaliers mécaniques peuvent être réarmés depuis le PC. Si la reprise du systéme actuel est impossible, le soumissionnaire devra nous proposer une solution adaptée pour répondre aux mêmes prestations »

Autre bonne surprise, le dossier que nous avons pu consulter indique l’existence au contrat de clause de pénalité pour toute indisponibilité d’équipement supérieure à 1 journée par mois. Vu le nombre de pannes, la ville va donc s’enrichir !

Voici mes questions :

-       est ce que Otis a jugé possible la reprise du systême de PC de Defacto ?

-       dans le cas contraire, une autre solution a-t-elle été préconisée et laquelle ?

-       la ville s’est elle trouvée en 10 mois en situation de réclamer des pénalités pour indisponibilité des équipements à Otis ?

 

En l’absence de M Bauer chargé du dossier, « réponses » aussi embarrassées qu’héroïques de M. Courtes !

 

Pas de réponse concrète de M Courtes aux 2 premières questions posées par Joelle Paris.

Il semble qu’aucune pénalité n’ait été réclamée ni perçue pour le moment mais un point sera effectué à un an.

M Courtes rappelle que les escaliers mécaniques sont souvent arrêtés ou mis en panne par les riverains pour cause de bruit. Cet argument du sabotage est souvent repris par la majorité mais aucune preuve de cela ne nous a jamais été donnée. On se demande pourquoi il n’a jamais été possible de confondre les éventuels saboteurs alors que les pannes de ces escalators sont d’origine ! 10 ans que cela dure !

M Lenoel  remarque que la vidéo surveillance des escalators du Faubourg de l’Arche se révèle donc impuissante pour identifier les saboteurs, ce qui est d’autant plus troublant que selon la majorité ils agiraient régulièrement.

M Accart rappelle qu’Otis ayant son siège à Levallois tout proche, les dépannages sont plus rapides… méconnaissant par là-même le fonctionnement d’une telle société. Le siège n’accueille que les administratifs, pas les techniciens de maintenance qui passent leur temps sur les sites à maintenir, dans toute la région parisienne.

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Courbevoie : où situer la déchetterie mobile ?

A l'occasion du Conseil Municipal du 19 octobre 2010

 

Installée boulevard de Verdun depuis la disparition de la déchetterie fixe au Faubourg de l'Arche, la déchetterie mobile de Courbevoie est située juste devant les locaux commerciaux que la ville souhaite louer.

Joelle Paris a demandé ce que deviendrait la déchetterie mobile en cas d'arrivée d'un commerçant à cet endroit.

Bernard Accart : "on réfléchit à un autre emplacement".

Voilà un sujet bien anticipé.

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Courbevoie : au delà du symbole des véhicules propres

A l'occasion du Conseil Municipal du 19 octobre 2010

Intervention de Joelle Paris

Cette volonté de remplacer progressivement l’ancien parc par des véhicules moins polluants est tout à fait positive. Mais pour atteindre les objectifs de réduction de gaz à effet de serre (GES) il faut absolument mettre en œuvre une volonté diversifiée et élargie. On parle communément pour l’énergie de « bouquet énergétique » c’est à dire de la nécessité de multiplier les solutions. La même stratégie doit être mise en place pour réduire les émissions de GES.

La ville envisage-t-elle par exemple un Plan de déplacement pour le personnel municipal ? (comme il y a des plans de déplacement du personnel dans les entreprises). Est-il prévu de sensibiliser voir inciter le personnel municipal et plus largement les Courbevoisiens aux déplacements doux lorsque cela est possible, en subventionnant par exemple l’achat de vélos, simples ou à assistance, de 2 roues électriques ?

Réponse de M. Accart

M Accart annonce que le nouveau responsable du garage municipal est très sensibilisé aux problèmes de réduction des GES et qu’il met en place des stages d’éco-conduite pour les conducteurs municipaux.

Joelle Paris demande si les stages d’éco conduite ou en tous cas si des consignes précises sont aussi données aux prestataires extérieurs, aux conducteurs de car scolaires ou peri-scolaires par exemple qui laissent très souvent tourner leur moteur lors des stationnements même prolongés.

M Accart reconnaît que c’est plus difficile à contrôler

Pas de réponse concernant le plan de déplacement du personnel municipal ni la subvention des 2 roues.

Franck Parmentier CAP 21 demande que la ville transmette aux conseillers une évaluation précise du parc automobile municipal.

 

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Le Curviabus de Courbevoie : un transport à la demande à 39 euros par course

Conseil Municipal du 19 octobre 2010

Le Curviabus est ce petit bus municipal, quasi vide depuis plusieurs années. Il coûte cher à la ville sans offrir un service adapté, même si prix réel n'a jamais été communiqué aux conseillers municipaux.

Alors oui. La question de savoir qu'en faire est importante. Mais le plus important n'est pas sauver le soldat Curviabus mais bien d'offrir une offre de transport adaptée aux habitants.

 La question est donc dès le départ faussée puisque le but de la mairie est de sauver le Curviabus pour en faire un transport à la demande.

Au vu du contrat passé avec Véolia, Stéphane Lenoel a pointé plusieurs aspects posant problème dans la nouvelle offre de transport à la demande par Curviabus. 

1) D'abord, une seule entreprise, Veolia, a répondu à cet appel d'offre. Les autres entreprises ne croient-elles pas à cette solution ?

2) Ensuite, quand on regarde en détail l'offre de Véolia, eux-mêmes expriment de fortes réserves. Ils reconnaissent que ce type de transport est adpaté en zone rurale ou péri-urbaine mais pas en zone urbaine dense.

3) L'enquête menée auprès de la population était très orientée vers les personnes âgées. Une seule question était proposée. Pourtant, le Curviabus n'est ni accessible aux personnes à mobilité réduite (dont les personnes âgées). Ensuite , il fait doublon avec le service de transport du CCAS pour les démarches administratives locales.

4) La cible du transport à la demande n'est donc pas forcément les personnes âgées mais aussi, pourquoi pas, les transports d'enfants qui vont au sport ou à la musique le mercredi et le samedi ...

Mais alors les transports sont concentrés à des horaires et jours précis, ce qui signifie une impossibilité de répondre à la demande, sauf à utiliser les clauses mises par Véolia pour un second bus, ce qui provoque alors un énorme surcoût.

5) le coût

C'est le point le plus problématique de la proposition de la mairie. Véolia estime la demande à 6000 courses par an pour 20 000 km.

Le tout pour 250 000 euros par an.

Soit 10 euros le KM, 39 euros la course et 16 courses par jour.

C'est un coût ahurissant. A ce prix là; il est préférable de payer des taxis sur la ville au prix de la course.

 M. Accart a répondu qu'il fallait à tous prix sauver le Curviabus, que cette proposition de transport à la demande était expérimentale et qu'ainsi nous ferions des économies.

 

Commentaires :

Des économies ? à 39 euros chaque trajet ? Combien était-ce avant ? M. Accart n'a pas répondu à cette demande mais la gestion de ce transport depuis plusieurs années apparait comme un scandale financier pour la ville. 

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Courbevoie : priorité à l’accessibilité

 L'accessibilité, c'est la possibilité pour tous, quel que soit son handicap, ou sa difficulté à se déplacer, d’être autonome dans ses gestes quotidiens. Tout le monde est concerné : fauteuil roulant, poussette, canne, douleurs...

A Courbevoie, beaucoup reste à faire : dénivelés aux passages piétons, trottoirs trop étroits, accès à certains équipements sportifs ou culturels, et bien sûr aux gares de Bécon, Courbevoie et la Défense.

En 2015, tous les bâtiments accueillant du public (commerces, administration, rues, parcs, ...) devront être totalement accessibles. Cette loi votée en 2005, n'en est qu'aux prémices de son application à Courbevoie.

Par exemple, Courbevoie a l'obligation d’établir une commission communale d’accessibilité. Composée d’élus, de fonctionnaires municipaux et de représentants associatifs, elle doit dresser un constat de l’accessibilité des bâtiments, de la voirie, des espaces publics, des transports et des logements.

Depuis les élections de mars 2008, cette commission ne s'est réunie qu’à 3 reprises, un rythme très insuffisant pour permettre la remise du rapport annuel pourtant obligatoire.

 Le rôle des associations de la commission aurait pourtant été utile.

Par exemple, en mars 2010, quand la mairie décide de limiter le stationnement –auparavant libre- sur les places pour handicapés à 1h30 (avec obligation d’aller au préalable retirer un disque en mairie !). Les associations, relayées par nos soins en Conseil Municipal, protestent, jugeant cette durée beaucoup trop courte. Depuis septembre, les panneaux posés sont corrigés et portent la mention "limité à 3 heures".

De même, en avril dernier, un audit des bâtiments communaux a été annoncé. Les associations de la ville ont souhaité logiquement y participer. En effet, les Courbevoisiens handicapés sont les premiers touchés par le manque d'accessibilité et peuvent donc aider à identifier les problèmes concrets propres à chaque type de handicap. La mairie les a volontairement ignorées au cours de cet audit.

 Dernier exemple : le forum handicap s'est tenu dans la salle des fêtes du stade, en étage et d’un accès nécessitant assistance. L'absence d’une salle plus accessible montre bien l'ampleur du travail à faire en moins de 4 ans maintenant.

 Il est grand temps que le maire écoute les Courbevoisiens qui souhaitent participer à l'amélioration de leur ville.  

 

Jean-André LASSERRE
Président du Groupe                                                                                                                 

Ingrid FASSHAUER 
Petite enfance et solidarités

Courbevoie : recours contre le permis de construire de la tour PHARE.

La tour Phare est une tour de 300 mètres de haut située sur la commune de Puteaux, en limite de Courbevoie, entre le CNIT et la Grande Arche, sur le pouce de César et la passerelle Carpeaux. Sa construction a été décidée suite à un jury dont Jacques Kossowski, maire UMP de Courbevoie, était membre. 

Au printemps, lors de l’enquête publique, et malgré la volontaire discrétion du maire sur le sujet, nous vous avons largement informé des conséquences néfastes pour la qualité de vie dans le quartier : 

• Séparation physique de la Défense et du Faubourg de l’Arche; 
• Destruction au moins partielle de la passerelle Carpeaux (mise en service il y a seulement 2 ans); 
• Moins d’ensoleillement pour une partie du Faubourg de l’Arche (1 à 2h par jour); 
• Effet venturi (accélération du vent) dans toute la zone entourant la tour; 
• Difficulté d’accéder à la Défense pendant les 4 ans de travaux prévus. 

Au-delà du quartier, cette tour a également pour conséquences : 

• Un accroissement de la fréquentation des transports en commun (l’équivalent de 40 voitures de RER), déjà bondés; 
• Une consommation énergétique énorme, comme pour tout immeuble de très grande hauteur (ITGH); 
• Des conséquences environnementales fortes dues aux déplacements de 8 000 salariés supplémentaires venant de plus en plus loin. 

Vous avez été très nombreux à vous mobiliser, à signer notre pétition, et à vous déplacer en mairie de Puteaux pour faire part de vos remarques. Cette action collective a permis d’obtenir l’assurance d’une passerelle provisoire pendant les travaux. Votre large mobilisation a néanmoins laissé insensible la commissaire-enquêtrice et l’Epad-UMP. 

Le permis de construire a été signé au cœur de l’été 2010 à Puteaux. 

Nous vous avions promis de poursuivre le combat contre l’emplacement de cette tour qui impacte très négativement les 15000 habitants du Faubourg de l’Arche ainsi que les milliers d’usagers qui y travaillent. 

C’est pourquoi nous avons déposé le 6 octobre un recours gracieux contre le Permis de Construire en mairie de Puteaux. 

Il s’appuie sur : 

• le fait qu’un édifice de cette hauteur interfère avec le dispositif de circulation aérienne; 
• une norme de sécurité  incendie qui n’est toujours pas entrée dans le droit positif français; 
• la sécurisation des éoliennes situées au sommet de la tour; 
• le risque de prolifération des légionelles dans la climatisation; 
• une capacité de parkings en décalage avec le POS de Puteaux; 
• l’aggravation de la saturation des transports en commun de la zone Défense; 
• l’absence de prise en considération d’autres bâtiments de grande hauteur en projet dans le secteur, comme les tours Hermitage. 

Votre mobilisation est à nouveau très importante. 

En effet, le maire UMP de Courbevoie a récemment et publiquement dit qu’il «n’excluait pas pas de déposer un recours». Même si nous ne sommes pas dupes de cette formule prudente, elle montre qu’il ne peut ignorer la pression que nous exerçons, tous ensemble. 

Il est donc essentiel de poursuivre la mobilisation sur l’EPAD dans les mois qui viennent. 

Vous trouverez le texte complet du recours en cliquant sur le lien suivant:

Téléchargement Recours-gracieux-phare

Courbevoie : les aménagements de l’avenue du Château du loir.

Conseil municipal du 27 septembre 2010

Cette rue de Courbevoie a bénéficié récemment d’un aménagement supposé être à la pointe de la performance environnementale : chaussée perméable, drainante et végétalisée notamment.

Incontestablement, le projet est intéressant. Bernard Accart insiste d’ailleurs fortement sur le côté expérimental de l’opération.

Mais Joëlle Paris est intervenue pour signaler le mauvais état du pavage, seulement quelques semaines après sa pose ! Enfoncements, flaques, pavés cassés… En cause d’après B. Accart la précipitation des finitions pour l’ouverture du Collège.

Les services techniques ont répondu que cette chaussée serait refaite pendant les vacances scolaires de la Toussaint.

Joelle Paris regrette l’inconfort voire les difficultés de passage pour les poussettes, les personnes âgées, les personnes à mobilité réduites, les vélos, alors que l’Avenue du Château du Loir est censée être une voie de circulation douce.

L’idée d’une bande lisse sur le côté, en alternative au « tout pavé », a semblé retenir l’attention de l’adjoint. A suivre !

 

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Courbevoie - Zone 30 : retard dans l'information aux cyclistes et aux voitures

 Conseil Municipal du 27 septembre 2010 

Question de Joelle Paris

Le décret 2008-754 du 30 juillet 2008 introduit la généralisation des double sens cyclables en Zone 30 ou dans les Zones de rencontre. Le délai de mise en conformité était fixé au 1er juillet 2010.

Les voies concernés à Courbevoie sont elles maintenant équipées de la signalétique nécessaire ?

 Réponse

M. Accart a répondu que 3 rues sur les 5 concernées seraient prochainement signalées comme double sens cyclable : rue Armand Sylvestre, rue de la Montagne et rue de Strasbourg. Les panneaux seront installés en octobre.

Le cas des 2 autres rues concernées, A. Ledoux et Rouget de lisle, seront soumis à l’avis des conseils de quartier. D’après M. Accart, l’étroitesse ou la végétalisation de ces rues les rendraient « accidentogènes » en cas de double sens cyclable.

 Commentaires

Jusqu'à la mise en place des panneaux dans les 3 rues concernées, et en attente des décisions pour les 2 autres, la ville de Courbevoie fait preuve de légèreté sur ce point. Nous demandons la mise en place en urgence de la signalisation afin d'éviter tout accident par manque d'information.

 

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Courbevoie : diagnostic de Performance Energétique

Conseil municipal du 27 septembre 2010

A l'occasion d'un vote sur les travaux de chauffage de l'hôtel de ville, Joelle Paris a demandé la transmission à tous les conseillers municipaux, accompagné au besoin d’une restitution publique et pédagogique en conseil, du Diagnostic de Performance Energétique voté l'an dernier à l'unanimité du Conseil Municipal.

M. Chambers refuse la communication de ce document et conseille aux élus de l'opposition de visiter les 72 bâtiments audités dans lesquels une fiche DPE est censée être placardée à la vue du public.

Jacques Kossowski a ajouté "cela va vous faire bouger". Elégant !

Notre présence sur le terrain est maintenant connue de nombreux habitants qui nous rencontrent régulièrement au Faubourg de l'Arche, à Bécon, aux Damiers, à la Coupole, à Charras, au Stade, à Marceau, ... souvent à des heures où les bâtiments publics sont fermés. Certains sont d'ailleurs d’un accès restreint (écoles, crèches, bâtiments techniques, ...).

La première tranche du DPE concerne aussi 2 bâtiments municipaux situés en Bretagne et en Savoie…

Cette réaction de la majorité UMP constitue à nos yeux une entrave nette à notre travail d’Elus. Si cette rétention d’information persiste, nous serons contraints de saisir la CADA (commission d’accès aux documents administratifs).