Les élus de l’opposition regrettent qu’une fois de plus, les habitants des communes de Courbevoie et Puteaux ne soient ni informés ni consultés sur des décisions prises en dépit du bon sens, et qui vont à l’encontre de leurs intérêts.
Les élus de l’opposition regrettent qu’une fois de plus, les habitants des communes de Courbevoie et Puteaux ne soient ni informés ni consultés sur des décisions prises en dépit du bon sens, et qui vont à l’encontre de leurs intérêts.
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Balises: CASD, Césari, Seine-Défense
Le Parisien - 08/12/2014
Entre les idées et leur application, il se passe souvent beaucoup de temps, comme l'illustrent les bonnes intentions des dirigeants de la communauté d'agglomération Seine-Défense, qui réunit les villes de Courbevoie et Puteaux. Vendredi soir lors du conseil communautaire, les élus de la majorité (UMP) ont proposé et votés des études sur la faisabilité de cartes culture et sport destinées aux habitants de l'agglomération.
"Pensant à une possible amnésie de la nouvelle gouvernance à quinze têtes pensantes et rémunérées", le groupe d'opposition PS-MoDem-EELV a rappelé à la majorité que "le 24 juin 2011, le conseil avait voté exactement la même étude", a rapporté le socialiste Jean-André Lasserre, élu d'opposition à Courbevoie. Mais selon le président de l'agglo Eric Césari (UMP), adjoint au maire de Courbevoie, l'étude n'a pas été réalisée en 2011, car il y avait "d'autres priorités".Une réponse qui a permis à Christophe Grébert, opposant MoDem de Puteaux, d'ironiser sur son blog : "cela montre à quel point ce conseil communautaire est une coquille vide, qui n'applique même pas ses propres décisions, et qui recycle la même idée trois ans et demi après afin de faire croire qu'il sert à quelque chose". Et d'enfoncer le clou : "Il s'agit en effet de justifier les 490 000 € d'indémnitées versés chaque année à ses quatorze vice-présidents".
En attendant, les habitants des deux communes bénéficieront peut-être d'un passe sportif et culturel à partir de l'an prochain.
Rédigé à 20h28 dans 03 - Actualités, Tribunes, communiqués, revue de presse, 22 - Conseil d'agglomération Seine-Défense CASD | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Cecaldi, ile de Puteaux, octroi
6 décembre 2014
Le 4 décembre 2014, lors de son conseil, la communauté d’agglomération Seine Défense (CASD) regroupant Courbevoie et Puteaux a décidé de lancer des études sur la faisabilité de cartes Culture et Sport destinés aux habitants du territoire. Pensant à une possible amnésie de la nouvelle gouvernance à 15 têtes pensantes et rémunérées, le groupe d’opposition PS Modem et EELV a rappelé à la majorité que le 24 juin 2011, la CASD (alors 100% UMP) avait voté ... exactement la même étude.
Renseignement pris, et selon le président de la CASD Eric Césari, l’étude n’a pas été réalisée en 2011 car il y avait d’autres priorités ! Lesquelles ne sont pas nécessairement tangibles dans une intercommunalité avec un des plus faibles taux d’intégration de compétences (8% au lieu de 34 % en moyenne pour les interco de cette taille).
L’opposition espère que le même sort de passage aux oubliettes sera réservé à l’action d’apprentissage de la sécurité routière pour les enfants de 6 ans. Alors qu’elle est censée leur apprendre à se déplacer à pied (à 6 ans, c’est bien normal) en milieu urbain, voilà que la CASD a confié l'étude à l’Automobile Club de l’Ouest. Domicilié au Mans, l’ACO fait la promotion de la conduite sportive et est un membre fondateur de l’association 40 millions d’automobilistes, association anti radar, anti limitation de vitesse et pro diesel.
L’opposition PS Modem et EELV a suggéré de s’adresser plutôt à la Prévention Routière qui possède une antenne départementale… Elle le rappellera en 2017 quand la présidence de la CASD inscrira la même délibération à l’ordre du jour.
Rédigé à 16h41 dans 03 - Actualités, Tribunes, communiqués, revue de presse, 18 - Sécurité, prévention, anciens combattants, Mémoire, 22 - Conseil d'agglomération Seine-Défense CASD | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: CASD, Cesari, Courbevoie-Puteaux, Interco, sécurité routière
Suite à la décision de la ville d’Argenteuil de demander son adhésion à la Communauté d’agglomération Seine Défense (CASD), Jean-André Lasserre, conseiller général de Courbevoie, a alerté le préfet sur les dangers d’un tel projet qui implique, pour créer une continuité territoriale qui n’existe pas naturellement entre Argenteuil et la CASD, de rattacher Colombes et Bois-Colombes à celle-ci.
« Cela constituerait un revirement complet de stratégie territoriale pour le département, qui remettrait en cause des années de construction de projets territoriaux cohérents » a alerté le conseiller général dans le courrier adressé ce jour au préfet, ajoutant : « cela aurait également des conséquences désastreuses en matière de développement territorial, notamment pour le quartier de La Défense. »
En effet, une toute autre démarche de coopération territoriale était engagée depuis plusieurs années déjà. D’un côté, les communes de Colombes, Bois-Colombes, Asnières-sur-Seine et Gennevilliers sont engagées depuis 2011 dans un processus de rapprochement qui a abouti à la validation d’un Contrat de Développement Territorial « Boucle Nord des Hauts-de-Seine » et à la signature d’un Contrat de Développement Territorial entre ces communes et l’Etat en février 2014. De l’autre, les communes de Courbevoie, Nanterre, La Garenne-Colombes, Rueil-Malmaison et Suresnes ont constitué dès 2010 le Syndicat Intercommunal d’Etudes et de Projets du territoire des Deux Seine – SIEP – afin de définir ensemble une politique d’aménagement de ce territoire de l’ouest parisien. Les différentes études menées pour le compte du SIEP ont d’ailleurs démontré à plusieurs reprises la cohérence territoriale, économique et sociale du territoire constitué par les communes du SIEP auxquelles il convient d’ajouter Puteaux.
Cette répartition des Hauts-de-Seine entre ces deux intercommunalités fait sens tant du point de vue territorial que de celui du développement économique et des habitudes de vie des habitants. C’est pourquoi elle a structuré les stratégies de développement de nos territoires depuis plusieurs années maintenant.
La démarche du maire d’Argenteuil, si elle aboutissait, conduirait donc à remettre en cause tout ce travail de construction d’une cohérence territoriale et d’une stratégie de développement (impliquant notamment les réseaux de transports et les schémas de développement). Elle conduirait de surcroît à écarteler le territoire de la Défense entre deux intercommunalités, ce qui constituerait une situation catastrophique pour le développement du premier quartier d’affaires européen, dont on sait justement combien il a aujourd’hui besoin de s’inscrire dans une stratégie territoriale cohérente pour retrouver un nouveau dynamisme.
A la lumière de tous ces éléments, les élus du groupe PS, EELV et Modem de la CASD condamnent « une démarche totalement déraisonnable du maire d’Argenteuil, qui semble répondre uniquement à une logique d’opportunité politique ». Ils indiquent « regretter le soutien tacite que le Président de la communauté d’Agglomération Seine Défense, Eric Cesari, semble lui accorder » et défendent l’idée d’un territoire de « la Grande Défense », autour des communes de Puteaux, Courbevoie, Nanterre, Suresnes, Rueil-Malmaison, La Garenne-Colombes et Neuilly-sur-Seine.
Pour Courbevoie
Jean-André Lasserre, président du groupe Tous pour Courbevoie, regroupant PS, EELV, Modem et habitants
Pour Puteaux
Christophe Grébert, président du groupe Puteaux pour vous, regroupant citoyens, Modem et EELV
Stéphane Vazia, président du groupe PS de Puteaux
Dimanche 12 octobre 2014
Une restructuration incohérente et clanique du territoire
Découvrant dans un article de L’Express le projet d’élargissement de la communauté d’agglomération aux communes du nord des Hauts-de-Seine (Colombes et Bois-Colombes, notamment), les élus de l’opposition ont interpellé M. Cesari. Malheureusement, incapable d’expliquer la pertinence de son projet, le président de Seine Défense a préféré couper court au débat.
Pourtant les interrogations sont nombreuses et légitimes autour d’un projet qui ne répond à aucune logique territoriale de bassin de vie en matière de réseau de transports, d’habitudes de loisirs, d’offre de logements. Pire, ce projet tourne le dos à ce qui a été le moteur d’attractivité des communes de Puteaux et Courbevoie ces dernières décennies : le quartier d’affaires de La Défense.
En écartant par principe (au nom de quoi ?) un regroupement des communes aux alentours de La Défense (Puteaux, Courbevoie, Nanterre, Suresnes, Rueil-Malmaison, La Garenne-Colombes et aussi Neuilly), le projet de territoire proposé par Eric Cesari va conduire de fait à couper en deux ce bassin de vie et d’activité économique. Et tout cela au nom du « développement économique », selon les termes du Président lui-même ; quelle prouesse !
Ce projet totalement incohérent démontre à nouveau la méconnaissance totale par M. Cesari du territoire dans lequel il a été parachuté. Faut-il en effet rappeler à M. Cesari que toutes les études préliminaires effectuées sur le périmètre pertinent à choisir, ont désigné les communes de Nanterre, La Garenne-Colombes, Rueil-Malmaison et Suresnes comme perspective de regroupement avec Puteaux et Courbevoie ? Que 36% des déplacements domicile-travail se font entre ces communes ? Un tel territoire bénéficierait de surcroît de nombreux atouts: une taille comparable à celle des grandes agglomérations franciliennes, un positionnement stratégique dans la métropole, de nombreux projets de transports métropolitains (Eole, Grand Paris) ; il s’appuierait de fait sur un des grands pôles d’emplois (après Paris) aux nombreux projets d’aménagements et à la croissance démographique dynamique.
Pire que la méconnaissance des enjeux, le projet de M. Cesari ne peut s’expliquer que par une logique partisane visant à regrouper les communes selon les affinités politiques dans le double objectif de contrer le projet « Ollier » et d’éviter d’intégrer Nanterre.
Ignorance ou mensonge par omission ?
A la question qui lui était posée sur l’intégration d’Argenteuil à la communauté d’agglomération, M. Cesari a écarté cette possibilité, arguant de l’inexistence de frontières communes avec la future agglomération. Le 10 octobre, le débat était donc nul et non avenu pour l’instant, selon le président de la CASD.
Pourtant, jeudi 16 octobre se tient à Argenteuil un conseil municipal qui statuera sur une sortie de son agglomération actuelle afin de rejoindre la CASD avec Colombes, la Garenne-Colombes et Bois-Colombes dès le 1er Janvier 2015. M. Cesari n’était pas au courant ou bien a-t-il menti par omission aux élus qui l’interrogeaient pour éviter le débat, et du même coup les polémiques inévitables liées à l’intégration d’une commune qui affiche 80 millions d’euros de dette ?
Nous condamnons les petits arrangements politiciens de M. Césari et de ses amis. Et nous réclamons la tenue d’un grand débat associant la population sur la constitution du territoire de la Défense dans le cadre de la future Métropole du Grand Paris, autour des 7 communes qui forment naturellement ce bassin de vie : Puteaux, Courbevoie, Nanterre, Suresnes, Rueil-Malmaison, La Garenne-Colombes et Neuilly-sur-Seine.
Pour Courbevoie
Jean-André Lasserre, président du groupe Tous pour Courbevoie, regroupant PS, EELV, Modem et habitants
Pour Puteaux
Christophe Grébert, président du groupe Puteaux pour vous, regroupant citoyens, Modem et EELV
Stéphane Vazia, président du groupe PS de Puteaux
Annexes :
Proposition de développement de la CASD, défendue par Eric Cesari
Une agglomération artificielle regroupant Puteaux, Courbevoie, Bois-Colombes, Argenteuil, Gennevilliers, Villeneuve-la-Garenne.
Proposition de développement de la CASD, défendue par le groupe d’opposition PS EELV Modem
Une agglomération naturelle de bassin de vie regroupant Nanterre, Rueil-Malmaison, Suresnes, la Garenne-Colombes, Courbevoie, Puteaux, Neuilly.
Vendredi 10 octobre 2014, lors de la séance du conseil d'agglomération de Puteaux Courbevoie, le président UMP Eric Césari a expliqué quel était son projet de "territoire" dans le cadre de la Métropole du Grand Paris :
Ce matin, Eric Cesari, adjoint au maire de Courbevoie et président de la communauté d’agglomération Seine-Défense est placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Bygmalion.
Ancien directeur général de l’UMP, M. Cesari a été tranquillement parachuté à Courbevoie pour les élections municipales, puis propulsé dès le lendemain des élections à la tête de la Communauté d’Agglomération regroupant les Communes de Courbevoie et de Puteaux, soit près de 133 000 habitants.
Pourtant, depuis le début de son mandat, M. Cesari semble avoir le plus grand mal à remplir ses fonctions. En effet, le conseil communautaire n’a pas été réuni une seule fois depuis 5 mois alors même que la loi oblige à une réunion par trimestre. Sachant que la durée moyenne des séances de conseil communautaire de Courbevoie-Puteaux, avant que la loi n’oblige à une représentation des groupes politiques minoritaires, était de 15 minutes, c'est bien le moins !
Alors qu’un conseil communautaire était enfin fixé pour le 6 octobre, les élus ont été informés hier d’un report de la séance au 10 octobre, sans aucune explication. M. Cesari avait-il anticipé son éventuelle garde-à-vue dans l’affaire des fausses factures de la campagne présidentielle 2012 ? Déjà le 1er octobre, 4 anciens cadres de la société Bygmalion ont été mis en examen dans la même affaire.
Le groupe Tous pour Courbevoie affirme son respect de la présomption d’innocence. Cependant, un président responsable doit être capable de prévoir le maintien de la gouvernance d’une intercommunauté en toutes circonstances
Jean-André LASSERRE, conseiller municipal et conseiller général fait part de son inquiétude « Ce comportement est contraire au bon fonctionnement de l’institution. En conséquence nous demandons à monsieur Eric Césari, Président de la CASD, d'assurer un fonctionnement efficace de cette instance, dans le cadre de laquelle il est indemnisé à hauteur de 50 000 euros annuels. A défaut, s'il est actuellement empêché, il lui suffit de déléguer la présidence de la CASD à l'un de ses 14 vice-présidents UMP, eux-mêmes indemnisés chacun à hauteur de 16 800 euros/an ».
Groupe d’opposition municipale « Tous pour Courbevoie »,
présidé par Jean-André Lasserre
Regroupant le PS, EELV, le Modem et des citoyens actifs
Tribune CourbevoieMag – Mai 2014
En même temps que les élections municipales avaient lieu les élections pour le conseil communautaire de l'agglomération Seine Défense (Courbevoie et Puteaux).
Le premier conseil communautaire pluraliste (auparavant, l’opposition en était exclue) a eu lieu le 9 avril dernier.
Ce conseil a élu son nouveau président : Eric Césari.
Malgré le peu de compétences réellement exercées par cette intercommunalité (l'intercommunalité Courbevoie Puteaux n'est majoritairement qu'un outil de transfert financier), le Directeur Général national de l'UMP (bras droit de Jean-François Copé) a fait voter par sa majorité une augmentation du nombre de vice-présidents pour s’entourer de 14 vice-présidents, tous indemnisés, ainsi que d'un bureau de 5 élus. Cette décision, normale lorsque l’établissement public exerce réellement ses missions, est ici dévoyée par une formation politique qui se sert du système plutôt que de servir l'intérêt général. Autour d'Eric Césari donc, on trouve Joëlle Ceccaldi-Raynaud, son fils Vincent Franchi, Jacques Kossowski et plusieurs responsables nationaux ou départementaux de l'UMP.
Une hausse des taxes pour les particuliers
Pour les particuliers, la hausse se situe sur le prix du m3 d'assainissement. Depuis le passage en Délégation de Service Public (DSP) au 1er mai 2013, la hausse est de 23,6 % pour les Courbevoisiens.
Une hausse d'impôts pour les entreprises
Malgré les promesses de campagne et les discours nationaux, la première décision d'Eric Césari est d'augmenter les impôts. 5 % de plus pour la CFE (cotisation foncière des entreprises) qui pèse notamment sur les TPE et les PME les plus dynamiques et les plus créatrices d'emploi. L'augmentation dépasse d'ailleurs les 15 % en 3 ans !
Notre groupe, composé de Jean-André Lasserre, Joëlle Paris et Karim Larnaout, a décidé de s'unir aux groupes de Puteaux composés de Christophe Grebert, Bouchra Sirsalane et Stéphane Vazia. Ainsi, les 6 élus (sur 48 au total) travailleront en équipe, au sein d'un collectif représentant la gauche républicaine, les écologistes et le centre sur les deux villes.
Au vu du premier conseil, l'accès aux dossiers (incomplets) et la vie démocratique de ce conseil communautaire s'annoncent difficiles pour les élus minoritaires. Cependant, en représentant les habitants, nous ferons notre travail de contrôle et d’expertise des décisions du conseil communautaire.
Jean-André Lasserre
Conseiller Général
Président du groupe "Tous pour Courbevoie"
Tel : 06 73 70 44 45
Mail : [email protected]
www.facebook.fr/JeanAndreLasserre
Twitter : @JALasserre
Hier soir (lundi 10 mars) avait lieu le dernier conseil intercommunal du mandat, le saviez vous ?
19 sujets importants portés à l'ordre du jour, expédiés en 25 minutes...
Rappel : depuis sa création, l'intercommunalité Seine Défense est composée exclusivement d'élus UMP. A Courbevoie, le maire sortant avait fait écarter en conseil municipal, par vote bloqué, toute proportionnelle dans l'instance .
Par conséquent siègent depuis 2010 à sa tête Jacques Kossowski (UMP) en tant que Président, 6 vice-Présidents ! Joëlle Ceccaldi-Reynaud, Jean Spiri,Vincent Franchi, Eric Cesari, Bernard Gahnassia et Yolande Deshayes (tous UMP)et chacun rémunéré à ce rang ; auxquels s'ajoutent 30 conseillers communautaires titulaires et 30 conseillers suppléants, tous issus des majorités municipales UMP de Courbevoie et Puteaux.
Les sujets traités au niveau de la communauté d'agglomérations, sans aucun débat démocratique avec l'opposition donc, concernent les impôts, la culture, l'habitat, l'aménagement, les achats, les équipements sportifs, l'eau, les déchets, l'environnement, le cadre de vie, la cohésion sociale, la sécurité, le transports, le développement économique.
Mais hier, même avec l'organisation massive mise en place par l'UMP des 2 villes, une partie des dossiers a été ajournée. Pourquoi ? Quel était leur contenu ? Sur cela, il nous est impossible de vous en tenir informés, ne faisant pas parti du club fermé mis en place par l'UMP, et n'étant pas destinataires des documents.
Comme il nous sera impossible de vous faire un point sur les dossiers qui ont été également votés.
De même un citoyen qui souhaiterait consulter le détail des décisions importantes prises sur sa ville devra se contenter des comptes rendus liminaires mis en ligne sur les sites internet municipaux (ici par exemple le compte rendu de la séance du 18_fevrier).
Bref, un conseil intercommunal, où se prennent des décisions importantes pour nos villes, totalement opaque et vérrouillé par l'UMP : une parodie de la transparence et de la démocratie municipale pratiquée dans deux des grandes villes des Hauts de Seine.
Heureusement, cette situation intolérable est arrivée à son terme : en effet la loi 2013-403 du 17 mai 2013 établit que les conseillers communautaires seront désormais élus en même temps que les conseillers municipaux.
Le scrutin de mars 2014 sera donc double : les citoyens éliront leurs conseillers municipaux et leurs conseillers communautaires. Une bonne chôse qui permettra de nous donner la possibilité d'entammer une action en profondeur sur cette instance (comme celle de l'élargir à d'autres villes).
A chaque électeur (et non plus aux majorités UMP sortantes) de décider de la nature de la prochaine intercommunalité, qui sera composée d'élus à la proportionnelle, ce que nous réclamons depuis la création de l'instance Seine-Défense .
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