Tous pour Courbevoie

L'extension du SICUDEF

A l'occasion du conseil municipal du 1er juin 2020

Le conseil devait délibérer sur une extension du territoire du SICUDEF, syndicat gérant la production de chauffage et de froid pour la Défense. Nous émettons de lourdes réserves sur l'extension du périmètre d'intervention du SICUDEF. Alors que l’extension de la Défense sur Nanterre vient d’être révisée substantiellement à la baisse, alors que le décret entérinant la fusion de l’Epad et de l’Epasa en un nouvel Etablissement public unique n’est pas encore validé, même s’il est présenté comme imminent depuis l’avis favorable du conseil d’état du 12 mai, alors qu’en conséquence le syndicat mixte d’études et de projets que chaque ville impliquée dans la Défense et son extension appelle de ses vœux, est en cours de constitution et en cours seulement, il nous semble prématuré et précipité d'acter l’extension du périmètre géographique du SICUDEF !

Pour nous, il s’agit une fois de plus d’un exemple de fuite en avant, coutumière à la Défense. Les besoins énergétiques de la Défense ne sont toujours pas précisés sérieusement à moyen terme, le Sicudef n’a jamais brillé par sa transparence et traine encore quelques casseroles.

Joelle Paris et Anthony Klein ont notamment pointé le manque d'études préalables, et le principe d'une augmentation de production de calories et de frigories.

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Papier recyclé en mairie (suite ...)

A l'occasion du conseil municipal du 1er juin 2020

Intervention de Joelle Paris : Lors du conseil du 4 mars 2009 nous sommes intervenus sur le même thème. Le même type de marché est reconduit avec Malmenayde et un an plus tard je ne note pas d’évolution dans les produits commandés. Je ne trouve au dossier aucune mention de papier recyclé. Vous m’aviez répondu il y a un an Monsieur le Maire que le papier neuf était recyclable. Mais recyclé et recyclable ce n’est pas la même chose. En conséquence, nous réitérons notre demande d’introduction d’un pourcentage de papier recyclé dans les commandes. Le papier recyclé est largement suffisant pour de nombreuses utilisations municipales et plus conforme à l’esprit Agenda 21 engagé par la ville.

En réponse, Jacques Kossowski promet une réponse plus précise plus tard.

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L'agenda 21 de Courbevoie trop vague

A l'occasion du Conseil Municipal du 14 avril 2010

Intervention de Joëlle Paris sur l’AGENDA 21

La décision d’engager la ville dans une démarche Agenda 21 ne pouvait que susciter l’enthousiasme de chacun d’entre nous.

Pourtant ce soir c’est notre déception que nous voulons exprimer en conseil.

Une déception à la hauteur de la frilosité, de la faiblesse de cette première étape.

Comment en est-t-on arrivé là ?

Comment un projet stratégique, à coup sûr consensuel, peut se révèler à quelques jours de la remise du dossier au ministère trop frileux, entravé, comme vide de réelle volonté ?

Cette inaptitude à susciter un engagement représentatif de nos concitoyens vous a englué tout au long du processus de lancement.

L’agenda se doit de reposer sur une plateforme populaire : nous avons le sentiment d’un rendez-vous raté.

Faute d’un terreau citoyen adéquat, les 7 pages du Courbevoie Mag n’ont pas suffit, force est de constater que le participatif ne se décrète pas du jour au lendemain.

Bien sur, des fonctionnaires se sont démenés, des services se sont engagés, quelques associatifs courageux ont  tenté d’animer les ateliers.

Mais ce soir nous avons le sentiment qu’il manque pourtant l’essentiel. Les idées présentées dans la compilation des 103 projets sont comme hors sol, privées de substrat.

Consternés par le vide du dossier présenté ce soir au conseil, nous avons demandé en urgence une version plus complète : des fiches projets, pour chacun des projets cités, précisant notamment les acteurs concernés, les moyens dédiés, le calendrier envisagé, les outils d’évaluation pour les objectifs affichés ?

Mais nous n’avons pas obtenu de réponse ce soir.

Nous en concluons qu’il y a un malaise, que cet agenda 21 ne se donne pas les moyens d'être mis en œuvre, d'être suivi d'effets.

Dans ces conditions, avec regret, nous ne pouvons pas signer de chèque en blanc.

Nous ne votons pas contre car nous pensons que la démarche Agenda 21 est nécessaire, nous espérons des améliorations ultérieures et nous nous abstiendrons car nous considérons que le projet de Courbevoie est à ce jour insuffisant.

Jean André LASSERRE a ajouté que la démarche de l’Agenda 21 à Courbevoie a été un échec au niveau de la participation : il n’y a que 70 personnes présentes au Forum de l’Agenda 21 (dont 20 élus et fonctionnaires et une trentaine d’associatifs déjà impliqués sur ces questions).

Il a ajouté que le groupe Une autre ambition est pour la démarche mais que, étant donné qu’il n’y a pas de hiérarchisation des projets, le groupe avait décidé de s’abstenir sur ce vote. Si des réponses avaient été données (le groupe avait demandé des précisions complémentaires avant le vote) le groupe se serait peut-être prononcer pour.

Réponse de M.Chambers :

M. Chambers a affirmé avoir pris acte de l’intervention de l’opposition tout en étant surpris. Il a dit qu’il allait informer les habitants de la prise de position du groupe d’opposition Une autre ambition.

Commentaire :

Quel dommage d’en arriver à faire du chantage à l’habitant ! C’est une erreur.

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Autolib' à Courbevoie

A l'occasion du Conseil Municipal du 14 avril 2010

Intervention de Jöelle Paris

 L’autopartage est l’un des outils de transition possible, en attendant un report plus global des franciliens sur des modes de déplacements moins polluants, moins énergétivores que la voiture individuelle, et surtout de nouvelles configurations urbaines en favorisant une vraie mixité, de nature à ne plus contraindre les salariés à perdre leur temps en déplacements pendulaires absurdes.

Pour autant, nous ne considérons pas que le projet Autolib soit la panacée.

Des questions de fond subsistent, portant par exemple sur les déplacements de fonctionnement générés par le réassortiment des stations, ou sur l’habillage publicitaire des véhicules.

Le document présenté en conseil ce soir est extrêmement sommaire et ne permet pas d’imaginer les implications concrètes du contrat sur le territoire de la ville.

On mentionne 24 stations hors Epad, à terme. 6 voitures en ligne, cela tient une certaine place le long des trottoirs. Les stations seront-elles souterraines ou de surface ? où seront créées les 8 stations de la première étape ?

Quel accompagnement est prévu pour inciter les propriétaires de voitures individuelles à s’en défaire au profit de cette forme de location plus souple ? Car nous espérons, sans en être hélas tout à fait certains, qu’il s’agit bien du but du dispositif autolib.

De nombreuses questions se posent, et les réponses ne sont pas dans le dossier.

Réponse de M. Accart :

Il s’agit d’un projet unique au monde. Pour le moment, on en est au choix du type de véhicule, on n’en est pas encore à l’habillage, ce n’est que le début de l’expérience. On est dans l’inconnu total c’est pourquoi nous avons été prudents dès le départ. Concernant l’emplacement des stations, quelques unes seront en sous-sol comme au stade Jean-Pierre Rives.

Stéphane Lenoël demande alors, puisqu’il s’agit d’un investissement sur plusieurs années, pourquoi on fait payer cet investissement par les courbevoisiens par une hausse d’impôts en 2010 ? Pourquoi ne pas étaler l’investissement ?

Aucune réponse claire n’a été donnée. Nous avons voté pour le principe.

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Gare de Bécon : Nuisances

Dans mon quartier de Bécon les Bruyères, côté Madiraa, j’entends depuis quelques mois le grondement  des riverains de la voie ferrée qui se plaignent de vibrations, bruits, stationnements bruyants de trains sur la voie la nuit. Il semble que ces nuisances, présentes depuis toujours, aient augmenté ces derniers mois.

Conseillère de quartier, et riveraine moi-même, j’ai demandé à participer à l’AG d’une association d’Asnières qui s' occupe de lutter contre  ces nuisances sur leur ville. Voici, ci-après, un compte rendu, suivi de pistes de travail pour notre ville. Nous étions 5 habitants de Courbevoie présents à cette réunion.

Compte rendu AG de l’association « Asnières bruit des trains » du 25.03.2010 : Cette association loi 1901 a pour but, la lutte contre toutes les nuisances causées par la voie ferrée traversant Asnières dans les directions de Bécon-les-Bruyères d’une part, et Bois Colombes d’autre part.

Au cours de cette réunion, j'ai relevé  les points suivants :

-        l’association est née en 2001 et compte environ 90 adhérents .

-        elle a obtenu une série de mesures de bruits et vibrations en 2003 qui ont permis de classer Asnières comme « point noir » bruit ;

-        le projet de lutte contre les nuisances à Asnières en est à l’étude technique de faisabilité de la création d’un mur antibruit et de l'aménagement des ouvertures (fenêtres, coffres de volet, portes, combles,…) ;

-        la mairie d’Asnières, le STIF et la région, se sont engagés par signature dans ce projet qui devrait aboutir à la création du mur et des aménagements vers 2015.

S'agissant de Courbevoie, tout reste à faire :

-        Déterminer quelles sont les nuisances et leurs niveaux ;

-        Consulter les habitants riverains de la voie ferrée : si gêne pour eux, déterminer de quel type ; 

-        Vérifier si des actions, (courrier, pétition, RV mairie, autres) préexistent ;

-        Voir si la règlementation européenne de lutte contre le bruit pourrait, dans notre commune, permettre des actions concrètes d’analyse, puis de lutte contre les nuisances ;

-        Fédérer les habitants en association loi 1901 ;

-        Envisager une action avec le conseil de quartier de Bécon ;

-        Alerter la mairie et les autres intervenants (STIF, région) ;

-        En faire une question orale à un Conseil Municipal ;

-        Envisager les autres quartiers de la ville qui doivent subir les mêmes nuisances.

Ourdia Farge, pour « une autre ambition pour Courbevoie », Le 30.03.2010

Courbevoie : un agenda 21 sans ambition

En 1992, le Sommet de la terre de Rio inaugure le développement durable avec une volonté majeure : préserver notre terre sans hypothéquer l’avenir.

2 grandes solidarités sont demandées aux habitants du monde.

Solidarité temporelle : quelle terre laisserons-nous à nos enfants ?
Solidarité spatiale : quelle terre partageons-nous ?

La conférence de Rio établit ce principe : « penser global, agir local ».
Un outil, l’Agenda 21 (pour 21^e siècle), permet aux collectivités d’agir selon 3 axes : écologique, social et économie. L’implication citoyenne est transversale. 

Printemps 2010 : Courbevoie boucle son dossier Agenda 21.

Nous, socialistes, verts et communistes de Courbevoie, sommes déçus.
Malgré notre conviction qu’un agenda 21 sera bénéfique, nous n’avons pas voté pour le projet proposé par le maire et nous sommes abstenus.

Voici pourquoi :
L’Agenda 21 Courbevoie ne prend pas la mesure des solidarités et transformations nécessaires à la société.
Le lancement public de cet Agenda 21 a tristement pointé l’inaptitude de la majorité à  mobiliser sur ce thème. La faiblesse de la plateforme citoyenne fragilise le projet.
Seules 60 personnes présentes (contre 300 à Colombes par ex.) pour entendre un catalogue de mesures sans budget, sans calendrier, sans étude d’impact.

 Par exemple :

« Favoriser la vie des quartiers ». Grâce aux conseils de quartier soigneusement verrouillés ?
« Développer des lieux de vie et de rencontres ». La ville manque de salles de proximité et les nouveaux projets n’en prévoient pas.
« Développer la fierté des Courbevoisiens ». Est-ce prioritaire ?
« Communiquer sur la qualité de l’air ». Il serait préférable de l’améliorer…
« Gestion dynamique des flux automobiles ». Dans ce cas, pourquoi ne pas continuer à utiliser sa voiture ?
« Communiquer sur le dynamisme économique de Courbevoie ». Sans doute sur l’importance des tours de la Défense ?
« Améliorer la gestion des encombrants ». Nos trottoirs apprécieront
« Faciliter la consommation alimentaire durable ». Mais la liaison froide des cantines génère transports et suremballage.
« Faire profiter de l’expérience de Courbevoie à des villes en voie de développement ». Vision paternaliste, plutôt Agenda 19. 

Le programme porté par le Maire est un pas timide vers la bonne conscience. Le « mieux vivre ensemble à Courbevoie » mérite plus d’envergure.

Courbevoie, une ville envahie de clôtures

Conseil municipal du 8 mars 2010

 Près de 3 millions d’euros pour l’achat de clôtures de parcs, c’est la proposition présentée par la mairie en Conseil Municipal.

Malgré les réponses du maire Jacques Kossowski et de son adjoint Bernard Accart s’appuyant sur les demandes des habitants et sur les bruits émanant de la jeunesse courbevoisienne, nous estimons que clore les parcs à tout va est un véritable choix politique.

Le square rue de la Paix fermé à 18h00 par des grilles de 2m20 ? Aberrant.

Le parc du Millénaire fermé au milieu de grands espaces piétons ? Inutile.

 

Les aires de jeux et de sport libre ? Fermées à 20h00 même l’été !

Le parc des Couronnes près d’un collège ? Clôturé.

C’est un véritable état d’esprit que de renfermer sur soi, d’avoir peur des autres et de vouloir vivre dans des prisons à ciel ouvert.

Jean-André Lasserre est intervenu en Conseil pour ajouter que les sommes dépensées pour ces clotures et pour tous les moyens de sécurisation passifs permettraient au contraire de développer une présence de proximité dans ces lieux de convivialité, amenuisant ainsi les dégradations ou les incivilités qui s’y produiraient.

De même, l’augmentation du nombre de lieux où les jeunes de la ville pourraient se retrouver ne les jetterait pas dans la rue ou leur dynamisme et leur vivacité peut parfois gêner le voisinage.

  

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Courbevoie : le curviabus en question

Conseil municipal du 8 mars 2010

 Notre groupe aimerait connaitre les raisons exactes qui poussent le Stif à revoir sa participation à la baisse de 2/3. Visiblement, ils ne croient pas dans le projet que vous leur avez soumis.

Le curviabus est un échec, or le Stif retoque son principe de refonte. Encore une occasion ratée par la ville de revoir une copie insatisfaisante. Notre groupe pointe et regrette la désaffection d'un transport ne correspondant pas à ses besoins par la population, l'absence notable d'articulation du projet avec le PDU, les études a posteriori de la prise de position, les coûts inadaptés et retoqués comme tels par le Stif, les promesses tarifaires inabouties.

Un curviabus aux trajets à la demande nous parait difficilement gérable et à l’encontre même du principe de transport collectif. En revanche, un minimum de souplesse dans le nouveau projet pourrait permettre aux usagers de monter et descendre à la demande, mais sur un parcours déterminé.

Le parcours parlons en, c'est la principal cause de l'échec du curviabus. Il faut des circuits courts, à fréquence accrue, en étoile à partir de pôles identifiés. La grande boucle est vouée à l'échec, d'ailleurs il faut prévenir Christian Blanc !

Il aurait fallu étudier sérieusement les besoins. Un exemple parmi d'autres mais que les parents des quartiers excentrés réclament depuis des années, des dessertes permettant aux enfants en autonomie de rallier les équipements culturels et sportifs le mercredi, pour ce qui est de l'offre régulière.

Mais aussi des offres plus ponctuelles de navettes  desservant les animations événementielles de la ville.

Bernard Accart et Jacques Kossowski répondent par des affirmations à l’emporte-pièce, estimant que le transport à la demande pourra être réservé à l’année, que c’est un nouveau système qui n’est pas parfait mais qu’il permettra de desservir des zones mal desservies. Au final, le projet proposé semble peu clair, pas en lien avec les autres transports et toujours très cher en coût de fonctionnement.

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Courbevoie : du papier conforme à l’Agenda 21 ?

Conseil municipal du 8 mars 2010

 Intervention de Joelle Paris

Pour une commande de papier et d’enveloppes, le dossier disponible ne précise pas le type de papier utilisé pour cette commande d’enveloppes.

Notre ville engagée dans sa démarche agenda 21 local doit faire l’effort de veiller au critère écologique de la papeterie utilisée par les services. Les éco achats doivent faire partie intégrante de cette démarche, puisque la ville doit être exemplaire.

Nous attendons donc des garanties en ce sens.

 Le maire Jacques Kossowski dit ne pas avoir encore reçu les échantillons. Nous attendons sa réponse une fois les échantillons reçus.

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Courbevoie : le stationnement handicapé désormais limité dans le temps

Les élus d'"une autre ambition pour Courbevoie" ont été alertés par des usagers des places de stationnement réservées aux personnes handicapées. 

En effet, depuis quelques jours, la durée d'utilisation de ces places est limitée à 1h30, vérifiable par un disque donné en mairie.

Etant en contact permanent avec les associations de personnes handicapées, nous avons traité avec elles ce sujet.

Les emplacements de stationnement réservés aux personnes handicapées sont des emplacements publics et non réservés à une personne particulière. Nous pensons qu'elles doivent être dans le cadre du droit commun des places de stationnement en surface. Ainsi, en stationnement libre si les places autour sont en stationnement libre, et en stationnement limité en durée si les places autour le sont également. Une voiture à demeure sur une place réservée pose aussi un problème pour les autres personnes handicapées qui désirent légitimement en disposer. C'est pourquoi nous avons soutenu la demande des associations de personnes handicapées qui ont demandé à ce que le stationnement soit limité sur ces emplacements quand le secteur concerné était en temps limité pour les places de stationnement pour les personnes valides. 

En revanche la durée d'une heure trente est, selon nous comme selon les associations représentées en commission d'accessibilité, trop courte. Nous avons demandé l'allongement à deux heures, qui est la durée normale des stationnements limités à Courbevoie, avec une tolérance de la part des agents puisque les personnes utilisant ces places peuvent mettre plus de temps pour effectuer les démarches qu'elles ont à faire. Nous n'avons pas été entendus par la mairie. 

De même, le disque accessible en mairie interdit de fait aux handicapés rendant visite à des Courbevoisiens l'utilisation des places réservées.

Les messages des internautes posent plus généralement le problème de la place des personnes handicapées dans la ville. Ce sujet mérite une réflexion globale qui devrait avoir lieu lors de rénions de la commission d'accessibilité. Or en deux ans cette commission ne s'est réunie que deux fois et encore sans réelle vue d'ensemble des problèmes d'accessibilité. Nous avons demandé qu'un diagnostic global soit fait par un organisme indépendant puis que les mesures correctives soient discutées en commission avec des représentants des différents types de handicap. 

Quant au problème des incivilités et de l'usage abusif de la carte GIC, cela devrait rentrer dans les mesures de contrôle du stationnement opérées par la police mais aussi par une campagne d'information et de sensibilisation.