Tous pour Courbevoie

La Défense : Tour Phare, notre courrier concernant l'enquête publique

contribution du groupe à l'enquête publique concernant la révision du Plan d'Occupation du sol de Puteaux, en vue de l'édification de la Tour Phare
La Tour Phare se construit sur la commune de Puteaux en limite de la commune de Courbevoie. Son impact sur les habitants, dont les 15 000 du quartier du Faubourg de l'Arche, sera donc très important. Il nous a donc paru nécessaire de faire part de nos réflexions lors de l'enquête publique.
Vous pouvez télécharger en bas d'article le document complet envoyé à la commissaire enquêtrice.
En voici les grandes lignes :
- nous nous inquiétons des nuisances, contraintes et risques lors de la phase de travaux (4 ans !) qui risque de sembler très longue aux riverains !
Nous nous inquiétons notamment de la circulation piétonne lors de la phase de travaux ainsi que des bruits, poussières et trafic accrus, à l'impact négatif sur la santé des riverains
- Nous souhaiterions connaître l'impact réel sur l'ensoleillement du quartier après construction de la tour, ainsi que l'effet Venturi induit par cette nouvelle construction
- nous nous inquiétons de la disparité des nouvelles constructions de la Défense, sans harmonie avec les constructions emblématiques et patrimoniales du quartier (le CNIT, la Grande Arche)
- comment seront transportés les personnes qui travailleront dans cette tour, alors que l'offre de transports publics est déjà insuffisante et que les différents acteurs (EPAD, EPGD, département, collectivité, région, état, ...) du dossier transport ne sont pas d'accord sur les financements des futures infrastructures.
- nous souhaiterions connaître les chiffres réels sur les énergies consommées par une tour de 300 m de haut. Malgré les efforts engagés, nous n'avons pu trouver aucune étude chiffrée précise sur ce bâtiment destiné à une activité tertiaire, et donc intrinsèquement "énergivore".

Téléchargement EP-tourphare-uaapc-080730.pdf

Courbevoie : les arbres de Charras en danger

Le projet d’aménagement du centre Charras par un promoteur privé inquiète les Courbevoisiens et les résidents du centre-ville. Pour doubler la surface du futur centre commercial, la ville devrait céder des espaces publics à un opérateur privé ; tout ou partie du parking municipal, le marché couvert et les deux espaces verts situés Place Charras et rue de l’Alma pourraient être détruits.
Ces éléments sont corroborés par le projet de PLU (Plan Local d’Urbanisme) qui fera l’objet d’une prochaine
enquête publique. Curieusement, dans ce projet, les espaces verts de la Place Charras et de la rue de l’Alma ne sont plus sauvegardés et un front d’immeuble bâti est prévu rue de l’Alma en lieu et place des arbres existants !
Ce projet, dont la pertinence économique est loin d’être avérée par rapport aux petits commerces des rues de Bezons et de Colombes, se traduira par une grave détérioration de l’environnement du centre ville et créera un renfort de nuisances avec une circulation automobile renforcée le week-end et un manque évident de stationnement. En ce qui concerne les co-propriétaires des Poissons, des Gémeaux et du Bélier, des craintes fondées de diminution de la valeur patrimoniale se font jour. Une association s’est d’ores et déjà
constituée pour faire respecter les droits des courbevoisiens directement concernés.
La majorité municipale s’est félicitée dans son programme électoral de son action d’embellissement et de reverdissement de Courbevoie. Elle communique dans son projet de PLU sur un renforcement des espaces et des liaisons vertes. Malheureusement le constat est clair, une fois encore le double langage de notre Maire est révèlé au grand jour. D’un coté en période électorale on promet des espaces verts et dès les élections terminées, on laisse pour six ans une totale liberté à des promoteurs privés.
Notre Groupe avait dans son programme proposé un contre projet sur l’aménagement de ce centre commercial en recherchant une dédensification et une minoration de l’offre commerciale pour privilégier le petit commerce.
Aujourd’hui Jacques Kossowski privilégie la densification urbaine et les grandes surfaces. A ce jour, le promoteur qui rachète à tour de bras les commerces du centre n’a pas cru bon de rencontrer les copropriétaires en habitation du centre Charras. Un architecte a été missionné pour engager les études… Tout se fait en catimini dans une totale opacité. Les courbevoisiens comme d’habitude apprendront après coup les ventes d’espaces publics, le déplacement du marché et la destruction programmée des arbres.
Les courbevoisiens ont un droit de regard et de décision sur le devenir de leur centre ville, une enquête publique complexe et peu pratique dans sa procédure ne peut pas remplacer une juste concertation !
La question est posée.
Jacques Kossowski et sa majorité sauront-ils écouter les habitants ?
Ou bien choisiront-ils le passage en force des promoteurs ?

Courbevoie : témoignage et questions d'un habitant

Nous publions ci-dessous le courrier d'un habitant envoyé sur l'adresse du blog. Comme lui, n'hésitez pas à nous faire part de vos propositions, de vos constats et participez à la discussion.

Bonjour,
Je vois quelques aberrations dans les dépenses publiques et le service au public.
J'habite Q.Gde Arche.
Combien ont coûté lers 4 blocs de granite de 2 tonnes chacun pour remplacer 4 petites bornes devant Pierre et Vacances rue des Lilas d'Espagne? Sidérant !
Combien coûtent les multiples machines de nettoyage de la SITA, alors qu'un coup de balai suffirait largement?
Pourquoi ne pas avoir un contrat d'entretien prix/délai avec OTIS pour les escalators vers le parvis qui sont beaucoup trop souvent à l'arret ?Très mauvaise image de la ville pour tous les étrangers qui y séjournent dans les résidences-hotels du quartier Gde Arche.
Où est passé l'argent des taxes professionnelles énormes des sociétés comme Total, Areva, Technip, les cies d'Audit ( KPMG et autres) SFR, le Neuf, etc....?
A quoi servent les blocs de granite devant la tour Egée? Coût?
Quand seront enlevés les blocs de béton accidentogènes au carrefour rue L.de Vinci/ Ave de la Mission Marchand? La mairie avait indiqué en Avril 2006 les avoir mis là pour que des voitures ne s'y garent pas, pour qques mois an attendant les travaux du tram.
Résultat: une gène permanente depuis deux ans ! Et des véhicules se garent derrière ces blocs ! Et assez souvent, des freinages brutaux pour éviter les collisions, un engorgement sur la voie unique au feu rouge.

Suggestion pour l'impasse des Lilas d'Espagne ( du 1 au 10 ):
Maintenant que c'est un cul de sac, il faudrait aménager des places de parking entre les arbres, celà dégagerait la voie dans les deux sens, et éviterait les enlèvements répétés en fourrière. Nombre de riverains n'ont pas de parking et garent leur voiture dans cette impasse.
FT
A vos commentaires !

Courbevoie : Les laissez-pour-compte de la rue des Fauvelles

Le 11 juillet, Jean-André Lasserre et les élus du groupe « une autre ambition pour Courbevoie » (Anthony Klein, Daniel Suisse et les membres du groupe élargi Isabelle Cissé-Tresson, Danielle Betzy, Christian Mimiague) se sont rendus au 41, rue des Fauvelles. Ils ont rencontre des familles vivant dans un immeuble insalubre, délaissées par tous.
Le 41 rue des Fauvelles se situe sur le trajet du futur tramway La Défense - Pont de Bezons. L’immeuble est quasi abandonné, en état d’insalubrité manifeste. Pourtant, 5 familles continuent de vivre là, attendant et espérant un improbable secours. L’immeuble a été racheté par le Conseil général aux propriétaires qui louaient ces appartements et qui, depuis qu'ils ont su que l'immeuble allait être démoli, ont laissé les appartements se dégrader. Aujourd’hui, la situation de ces familles devient dramatique. L’immeuble est a l’abandon ; l’état général déjà médiocre s’aggrave ; les murs suintent ; la salubrité fait défaut. Les familles discrètes, bien intégrées, demandent de l’aide.
La plupart ont du travail à proximité, de petits revenus allant de 700 à 1200 euros et ont toujours payé régulièrement leur loyer. Elles ont demandé, parfois depuis plus de 10 ans, un logement social qui tarde à venir. La destruction de l’immeuble pour cause de travaux du tramway accélère leur détresse. Ils sont dans l’impossibilité, au vu de leurs revenus, de trouver un logement dans le parc privé, malgré des revenus stables. Où les enfants seront-ils scolarisés à la rentrée ? Les habitants pourront-ils conserver leur travail s’ils sont déplacés à plusieurs heures de transport ?
La Conseil général des Hauts de Seine (le plus riche de France, se vantant du PIB de la Belgique) en théorie en charge du relogement, les a délaissé. Les services en charge du relogement au Conseil général sont étrangement absents. On se rappelle qu’il y a 6 mois à peine, le directeur de l’office départemental des HLM déclarait que construire « à Reims ou Vendôme serait une bonne solution », arguant que « ce n’est pas si loin de Paris ». Inutile de dire qu’exporter nos travailleurs pauvres en région ne nous semble pas la bonne solution.
L’office municipal HLM de Courbevoie, quant à lui, n’a proposé aucune solution. Il faut dire que le programme de HLM sur la ville de Courbevoie est très faible, quasi néant, et qu’il ne concerne que des logements dits intermédiaires et non des appartements disposant de loyers très sociaux.
Le groupe « une autre ambition pour Courbevoie » réclame :
- une solution rapide pour les familles du 41 rue des Fauvelles afin de les soustraire aux effets de logements insalubres
- un audit du parc social de Courbevoie et des revenus de ses occupants
- une véritable mixité sociale dans le parc social de Courbevoie et des Hauts de Seine entre logements à loyers intermédiaires et à loyers très sociaux.

Courbevoie : conseil municipal du 8 juillet - HLM & office public de l'habitat

Fixation du nombre et désignation des membres du conseil d’administration de l’Office Public de l’Habitat
Les faits :
Il était demandé aux élus de fixer le nombre de membres du conseil d’administration de l’Office Public de l’Habitat puis de désigner les membres du conseil d'administration représentant la collectivité au sein du conseil d'administration de l'Office Public de l'Habitat.
En effet, suite au décret n°2008-566 du 18 juin 2008 relatif à l'administration des offices publics de l'habitat, le nombre de représentants de la collectivité passe à 23 ou 27, dont 6 représentants de la collectivité élus et 7 personnalités qualifiées.
Le conseil municipal a voté à l’unanimité le nombre de représentants de la collectivité à 23.
Puis le conseil devait désigner les membres du conseil d’administration représentant la collectivité.
Au titre des représentants de la collectivité territoriale, notre groupe a proposé la candidature d’Anthony Klein conseiller municipal en charge des questions de logement et urbanisme.
Anthony Klein a donc été élu ainsi que cinq élus de la majorité municipale.
Le conseil devait alors élire les autres membres du CA : les personnalités qualifiées.
Nos propositions:
Au titre des 7 personnalités qualifiées, notre groupe a proposé les personnes suivantes :
Personnalités qualifiées en matière d’urbanisme, de logement, d’environnement et de financement de ces politiques ou en matière d’affaire sociale :
- Jean-Michel ROLLOT, en tant qu'ancien maire de Pontoise,
- Philippe ROCHE, en tant que membre sortant du CA, ancien directeur général des services et conseiller municipal,
- Jean-Olivier SERRA, en tant que membre de l'Association Courbevoisienne des Familles et Amis des Handicapés (ACFAH),
- Christophe LAPASIN, en tant que délégué à la Commission communale des impôts directs et en tant qu’expert du développement durable,
- Isabelle CISSÉ-TRESSON, en tant que présidente du comité SOS Racisme des Hauts-de-Seine.

Personnalités qualifiées élues :
- Elisabeth GOUREVITCH, Vice-Présidente du Conseil Régional d’Ile-de-France
- Maurice LOBRY, Conseiller régional, Président de la Commission de l'Environnement, du développement durable et de l'Eco-région

Réponse:
Notre proposition n’a pas été retenue. L’idée de panacher les deux listes proposées n’a pas, semble-t-il, effleuré l’esprit des élus de la majorité. C’est la liste de la majorité qui a été choisie, sans aucun débat.
Notre commentaire: il est regrettable que pas même un membre d’une association œuvrant pour les personnes handicapées n’ait été choisi.

Courbevoie : Conseil municipal du 8 juillet 2008 - question sur le Pass 92

Joëlle Paris, conseillère municipale verte du groupe "une autre ambition pour Courbevoie" a posé une question orale sur le PASS 92.
Tout d’abord, il convient de préciser que, contrairement à ce pourrait laisser penser leur appellation, les « questions orales » sont envoyées par écrit au maire au plus tard deux jours ouvrables avant le conseil municipal. Ainsi, la majorité est prévenue de la question et, logiquement, est préparée à y répondre.
Les faits :
Le PASS 92  qui est un dispositif social qui permet aux collégiens du département de recevoir un chéquier qui leur permet de payer en partie une activité sportive ou culturelle de leur choix.
Joëlle Paris a souligné le décalage entre les inscriptions aux activités du centre culturel de Courbevoie qui se font en juin et qui doivent être réglées en juin et le moment où les chèques du PASS92 sont effectivement transmis aux familles, c'est-à-dire en septembre, moment où les familles reçoivent un chèque de remboursement.
Cette gestion courbevoisienne paraît insatisfaisante et contre-productive pour deux raisons:
• l'objectif social du PASS92 est annulé car les familles doivent avancer l'argent plus de 2 mois avant la rentrée
• le remboursement des chèques en septembre est générateur d'actes administratifs inutiles.
C'est pourquoi le groupe a demandé de revoir les modalités d'inscription pour que l'année prochaine, l'objectif social du PASS92 soit préservé et la gestion administrative simplifiée.
Réponses :
M. Gimonet, adjoint aux Finances, a répondu qu'il y a 5000 adhérents au Centre culturel et qu'il est impossible d'effectuer des inscriptions en septembre pour des raisons d'organisation.
M. Jean, adjoint aux affaires culturelles, a ensuite pris la parole pour dire qu'il prenait connaissance de cette question ce soir-là uniquement : « Je découvre le dossier » (sic !).
Mme Joëlle Paris a proposé que les parents de collégiens paient un acompte en juin et le reste en septembre à la réception des chèques du PASS92.
M. Jean a répondu qu'il "faut se mettre autour d'une table pour trouver une solution, il y a assez de financiers dans la maison".
M. Kossowski a ensuite indiqué qu'une réponse sera apportée pour l'année prochaine.
Notre commentaire :
Il est dommage qu'une des rares actions sociales du Conseil général 92 soit dévoyée à Courbevoie à cause d'une équipe qui ne semble pas être au courant des réalités du terrains des habitants les plus modestes. Espérons que notre intervention permettra aux Courbevoisiens d'améliorer le système l'an prochain. Comme promis.

Courbevoie : Conseil municipal du 8 juillet 2008 - autorisations sur des exploitations classées

Avis sur la demande d'autorisation d'exploiter deux installations classées
Les faits :
Le conseil municipal devait donner un avis sur deux demandes d'autorisation d'exploiter d'installations classées pour la protection de l'Environnement, l’une par la société TéléCity Group France SA (boulevard de Verdun) et l’autre par la société SFR (boulevard de Verdun également).
Notre intervention :
Notre conseillère chargée de l’écologie urbaine, Joëlle Paris, est intervenue pour expliquer la position du groupe sur ces demandes. Elle a déploré que les deux études d’impact menées au même moment et par la même commissaire enquêtrice et concernant deux installations proches l’une de l’autre ne se prennent pas en compte mutuellement.
Elle a distingué le projet SFR qui maîtrise le risque sanitaire par l’utilisation de dry coolers étanches et qui fournit un dossier complet et sérieux et le projet TéléCity Group, moins bien ficelé, qui utilise des tours aéroréfrigérantes à dispersion. Ces tours, également appelées tours de refroidissement à voie humide, fonctionnent sur le principe de la pulvérisation de l'eau dans l'air . Or il est avéré que ces installations peuvent disséminer dans l’atmosphère des bactéries de type légionnelles, présentant un danger pour le public. Et ces dangers sont d’autant plus importants puisqu’une crèche et une maternelle se trouvent à proximité, sans compter les habitants et les salariés du secteur.
Nos commentaires :
C’est pourquoi le groupe «Une autre ambition pour Courbevoie» a voté contre la demande effectuée par TéléCity Group et s’est abstenu au sujet de la demande de SFR.

Pour savoir à quoi ressemble une tour aéroréfrigérante et comment cela fonctionne, cliquez ici : http://www.drire.gouv.fr/basse-normandie/environnement/sanitaire/legionellose/indexlegionel.htm#TAR

Courbevoie : un été très animé

D'un côté la une de "Courbevoie Magazine" annonçant un été de folie à Courbevoie
De l'autre, le programme officiel de l'été : un été qui va de juin à octobre et où juillet et août promettent beaucoup pour ceux qui ne partent pas 8 semaines en vacances loin de Courbevoie !

Des commentaires ?

Courbevoie et le Pass 92 : faites crédit à la mairie !

Nous nous félicitons évidemment du dispositif P@ss92 qui permet aux collégiens des hauts de Seine de bénéficier de coupons d'une valeur de 70 euros pour les activités sportives ou culturelles agrées.
Nous trouvons en revanche scandaleuse l'articulation avec certaines activités dépendant de la Mairie de Courbevoie et notamment le Centre Culturel. Elle est tout simplement inexistante ! Les familles avancent l'argent lors des inscriptions, ce qui réduit à néant l'objectif social du dispositif départemental ! Un acompte ou un simple retard des encaissements des encaissements en juin permettrait d'apporter une solution à ce crédit sans intérêt fait par les familles Courbevoisiennes à la Mairie. Interrogés sur les améliorations possibles du système, Yves Jean, adjoint au maire, a répondu "qu'il découvrait le dossier" avec nous.
Nous attendons bien sûr ses propositions de solutions.

Courbevoie : les aventures des conseillers municipaux au centre culturel

"Des élus qui vous ressemblent" était l'un de nos slogans de campagne. En voici la preuve avec les témoignages de Joelle Paris et Ingrid Fasshauer, qui, comme de nombreux habitants de Courbevoie, ont passé quelques heures éprouvantes lors des inscriptions au centre culturel, pour un résultat très mince ! C'est aussi parce que nous vivons la ville comme vous la vivez que nous avons envie de la faire évoluer !
"Jeudi 26 juin, 7h30 :
Un monsieur en scooter est arrivé le premier. Deux de mes voisines sont déjà là, prévenues comme moi que les réinscriptions au centre culturel ayant eu lieu fin mai, il faut faire vite et tôt pour les nouvelles inscriptions !
Je suis 4e. Sur la porte fermée, 2 avis : Certains cours de guitare sont déjà complet, pas d'inscription possible ! Un dégat des eaux de l'hotel voisin ayant ravagé l'une des salles, les cours dispensés dans cette salle sont reportés sine die ainsi que les inscriptions... les personnes interessées sont appelées à "réserver".
9h Les portes s'ouvrent. 2 guichets d'inscription sont ouverts. Quelques minutes d'attente supplémentaires et c'est mon tour !
9h10 : Chance ! Sur le listing du centre culturel, il reste 2 places dans le cours de musique convoité par mon fils, je me dépeche de l'inscrire !
Malchance ! Au moment où l'employée veut valider l'inscription sur son terminal, impossible ! les 2 ultimes places ne sont plus disponibles... Moment de gêne, incompréhension... Les places auraient été prises la veille ? Mais pourtant, les inscriptions n'étaient pas ouvertes... Je n'en saurai pas plus ! 9h15 : Heureusement, il reste de la place dans un cours de dessin qui interesse aussi mon fils. Inscription !
9h20 : La file s'étire déjà sur une trentaine de personnes, dans l'incertitude quant à la reprise des cours concernés par le dégât des eaux. Personne au Centre ne peut leur dire si la salle sera remise en état pour septembre ou si les cours seront déplacés sur d'autres salles dans Courbevoie... inaccessible à pied pour les enfants du quartier.
Pour de nombreuses familles courbevoisiennes, la rentrée s'annonce compliquée ! " Joelle Paris, conseillère municipale
.
« Centre Culturel en face de la Mairie.
Ouverture des inscriptions en semaine. Je ne peux pas prendre une journée à volonté. Mon mari non plus. Il réussit néanmoins à se glisser dans le centre vers midi. Son numéro 18 en main et l’affichage du 116 en attente l’oblige à rebrousser chemin vers son travail sans avoir effectué les inscriptions. Autour de lui, poussettes, crises de nerfs de parents excédés, propos acerbes occupent l’espace culturel ! Le lendemain, à mon tour de tenter l’expérience. Les affiches à l’extérieur montrent que le cours que je souhaite est encore disponible. Une seule personne devant moi. Presque le bonheur. Malheureusement, la liste extérieure n’a pas été actualisée et le cours souhaité est en fait complet depuis au moins la veille ! Une désorganisation totale ! » Ingrid Fasshauer, conseillère municipale.