Tous pour Courbevoie

La Défense et Courbevoie : nos propositions

Malgré la facture laissée par le maire de Courbevoie, nous pensons que La Défense est un élément structurant de notre territoire. 

Nous proposons de dissocier les discussions, d’une part sur l’apurement du passif, d'autre part sur les nécessaires investissements pour l’avenir.

Sur le premier point, la ville, bénéficiaire des mannes de La Défense sans en avoir assuré l’entretien, peut contribuer à ce financement, notamment grâce à un étalement dans le temps de la contribution de la ville.

Concernant la gouvernance, nous demandons une modification de la loi afin qu’elle mette un terme à la bataille juridique entre l’Epadesa et Defacto, en clarifiant les rôles de chacun. À terme, nous proposons le retrait de l’État et donc la disparition de l’Epadesa, un rôle accru et élargi de Defacto, et la prise en compte des collectivités concernées dans le développement et la vie de La Défense, comme la Région Île-de-France, la ville de Paris, Nanterre, voire Neuilly.

Enfin, sur l’aspect financier, nous demandons l’annulation immédiate des projets qui coûtent plus cher qu’ils ne rapportent. Des ressources peuvent être trouvées dans l’aménagement des sous-sols de La Défense, dans la diversification des types de surfaces proposées (logements, espaces pour PME ou pour indépendants) mais aussi dans la juste valorisation des espaces publics confiés au privé.

Un moratoire pour Phare, Hermitage et Ava

Nous demandons un moratoire sur tous les projets contestés le temps que la gouvernance de La Défense soit remis à plat. Phare, Hermitage, Ava sont les projets issus d’un aménageur aux abois, pas d’une réflexion aboutie d’un aménagement du territoire. Nous demandons leur suspension immédiate.

L'avenir de La Défense : la qualité de service

La Défense est un poumon économique important. Pour renforcer sa compétitivité par rapport à ses concurrents étrangers ou de la Région Parisienne, nous devons travailler sur la qualité de service : des transports efficaces ; une offre de logements diversifiée ; une identité culturelle et du lien social entre salariés et habitants.

Retrouver en cliquant ici le document complet sur La Défense édité par le groupe "Une autre ambition pour Courbevoie" et Jean-André Lasserre.

Lancement des ATELIERS DE L'ALTERNANCE

le 19 février prochain, le groupe www.uneautreambitionpourcourbevoie.fr (PS - EELV - FdG - associations d'habitants) lance les ATELIERS DE l'ALTERNANCE.

 

Vous vous intéressez au futur de Courbevoie ?

Vous avez des idées pour notre ville et vous souhaitez les partager ?

Vous souhaitez exposer vos idées sur des thèmes locaux précis ?

Vous souhaitez participer à des tables rondes sur les projets locaux ?

Vous souhaitez alimenter la boite à idées du futur projet qui associera un maximum de Courbevoisiens ?

Alors venez le 19 février aux ATELIERS DE l'ALTERNANCE, à 20h30 au Stade Jean-Pierre Rives.

 

Vous trouverez ci-joint l'invitation à cette grande soirée de lancement, ouverte à tous.

N'hésitez pas à en parler autour de vous : proches, familles, amis, voisins, membres d'associations.

Vous pouvez également partager l'invitation en ligne disponible sur Facebook

 

Si vous souhaitez faire changer Courbevoie, ne manquez pas cette soirée de lancement !

 

Jean-André Lasserre

Conseiller Général

Président du groupe www.uneautreambitionpourcourbevoie.fr

La Défense : un cadre de vie et des services pour les habitants et les salariés

Si certains projets sont utiles aux développements de La Défense, nous contestons en revanche les plus néfastes.

Tours Hermitage, 350 m de scandale à La Défense

Depuis 2008, nous combattons les tours Hermitage. Elles détruisent du logement accessible et facilement réhabilitable. Son financement n’est pas transparent, au risque d’une friche sur le territoire de Courbevoie. Les promesses initiales de l’Epadesa sont d’ailleurs remises en cause puisque l’établissement d’aménagement parle pudiquement de « redéfinition de l’ouvrage de couverture» de la départementale 7. Cette tour fragilise le quartier et tous les immeubles d’habitation qui l’entourent (Damiers, Ancre, Louis Blanc…). Le comportement de l’Epadesa, du maire de Courbevoie, du promoteur ont été, tout au long de ces 4 années, une succession de pressions insupportables pour les habitants et les commerçants.

Nous avons déposé en septembre un recours contentieux contre le permis de construire.

Tour Phare, de plus en plus fragile

Après les pétitions de 2010, nous avons entamé des démarches judiciaires. En mai 2012, nous avons fait appel d’une première décision. Ces dernières semaines, notre combat apparaît de plus en plus juste. Les droits à construire vendus par l’Epadesa pour les 300 m de la tour Phare ne couvrent même pas les travaux d’aménagement de l’espace public. Cette tour, en plus d’être mal positionnée, en plus d’être une lourde atteinte au cadre de vie des habitants des quartiers Faubourg de l’Arche et Regnault, en plus de détruire la passerelle empruntée chaque jour par 30 000 personnes, apparaît comme un gouffre pour la collectivité.

La Coupole, les lourdes responsabilités des dirigeants de La Défense

Le centre commercial de La Coupole, à Regnault, est le symbole des erreurs de l’Epadesa. Projet mal ficelé, gouvernance mal définie, gestion de la fermeture inepte. La Coupole rassemble toutes les maladresses possibles d’un projet urbain. L’Epadesa et Jacques Kossowski, à travers leurs atermoiements et leurs voltes-faces, sont responsables de la dégradation du quartier et de la fermeture de la Coupole. Plusieurs opérateurs se succèdent sans qu'un projet clair n'apparaisse. Et les risques sont élevés de déséquilibrer l’ensemble de l’offre commerciale locale, y compris Charras.

Tour Ava, la rupture avec la ville

Nous continuons de combattre la tour Ava. Située au bas de la dalle, cette tour en projet est une absurdité urbanistique. Elle crée en effet une rupture nette entre La Défense et le centre-ville de Courbevoie.

Ecoles Daudet / Mermoz / Adélaïde

A l'occasion du Conseil Municipal du 17 décembre 2012

Le maire de Courbevoie Jacques Kossowski et son adjointe Marie-Pierre Limoge ont décidemment du mal à s'expliquer face aux représentants des habitants de Courbevoie.

Depuis 2008, ils nous expliquent que la ville acquiert petit à petit un terrain rue Adélaïde pour remplacer l'école Daudet de la rue Fallet.

Cette dernière, coupée en 2, dans des locaux provisoires datant de plusieurs dizaines d'années, à l'immédiate proximité des très fréquentés quais de Seine et d'une station service, est totalement inadaptée pour des enfants.

Mais à chacune de nos demandes sur l'amélioration de cette école, les responsables UMP de la mairie déclaraient invariablement qu'il manquait encore quelques mètres carrés à acheter, qu'il fallait identifier des propriétaires, etc ...

Aujourd'hui, Marie-Pierre Limoge, adjointe en charge des affaires scolaires, déclare encore qu'il faut attendre le printemps 2013.

Pourtant, le dossier est clair.

Ce qui est envisagé est :

- la fusion des écoles Fallet et Mermoz.

- la création d'une crèche rue Adélaïde.

Pourquoi alors avoir attendu si longtemps et donné de fausses informations aux conseillers municipaux puisque cette solution était possible depuis plusieurs années.

Nous attendons avec impatience l'étude de programmation sur le quartier afin de connaître les évolutions démographiques prévisionnelles qui permettront d'organiser l'offre de services dans le bas-Bécon. 

 

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Marché Bio au Faubourg de l'Arche

A l'occasion du Conseil Municipal du 17 décembre 2012

Nous le proposions dès 2008, avec d'autres comme le Modem par exemple. Plusieurs fois évoqué et refusé (trop de bruit avait déclaré le maire en 2010), le projet de marché va enfin être expérimenté au Faubourg de l'Arche.

Cette expérimentation pourrait débuter fin janvier 2013.

 

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A l'occasion du Conseil Municipal du 17 décembre 2012

VAL en grève. "Juste une inquiétude" minimise la majorité UMP.

A l'occasion du Conseil Municipal du 17 décembre 2012

L'opposition a le droit de poser quelques questions en Conseil Municipal, hors celles concernant les délibérations à l'ordre du jour. Ces "questions orales" sont envoyées par écrit 5 jours avant le Conseil Municipal.

 

Question de Cécile Boucherie le 17/12/2012 :

"Un an après la précédente grève, les agents du VAL sont à nouveau en grève. Les revendications sont les mêmes. Comment se fait-il que rien ne soit réglé ? "

Les réponses de l'adjointe UMP à la vie scolaire sont étonnantes.

Elle évoque des inquiétudes sur la refonte des rythmes scolaires et parle surtout de l'excellence de son travail au VAL, notamment grâce à "des groupes de travail salué par le ministère de la cohésion sociale".

Les revendications des salariés du VAL sont au contraire l'expression d'un mal-être, notamment concernant le management du personnel, le respect des missions du personnel et l'organisation du travail.

Marie-Pierre Limoge et Jacques Kossowski semblent hors de la réalité quotidienne vécue par les salariés du VAL, ce qui a des conséquences directes sur l'accueil des enfants.

Le problème reste donc entier.

Le problème des locaux notamment, n’est pas réglé et les animateurs du VAL doivent se contenter bien souvent des halls et cantines des écoles pour accueillir les enfants, ce qui ne permet pas de varier les activités. De plus, rien n’est fait pour l’accompagnement des animateurs qui ont des horaires atypiques (activité les matins midis et soirs avec deux longues « pauses » de 8H35 à 11h35 et de 13H20 à 18H.)

 

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Yolande Deshayes (UMP) réagit au rapport de la MIILOS sur les HLM de Courbevoie

A l'occasion du Conseil Municipal du 17 décembre 2012

 

L'opposition a le droit de poser quelques questions en Conseil Municipal, hors celles concernant les délibérations à l'ordre du jour. Ces "questions orales" sont envoyées par écrit 5 jours avant le Conseil Municipal.

 

Question de Jean-André Lasserre : "La MIILOS a rendu un rapport accablant sur l'OPH. Que comptez-vous faire ?"

Nous vous invitons à voir les extraits et le rapport complet en cliquant ici

 

Yolande Deshayes, Présidente UMP de l'OPH (Office Public de l'Habitat) de Courbevoie qui gère les HLM de la ville, a réagit.

«  Ce rapport n’est pas plus accablant que les précédents ». Ce qui est une explication un peu courte ...

Elle s'abrite ensuite sur la légalité signée par le Préfet ... ce qui n'empêche pas les conclusions de la MIILOS.

Elle cite enfin un cas particulier d'une famille avec un handicap qui a été bien accueilli. Sur 4137 logements du parc HLM de Courbevoie, ça a valeur de preuve ?

Elle conclut enfin : "Tout le monde est content" à l'OPH. Une déclaration à prendre donc pour argent comptant.

Mme Deshayes et son vice-président à l'OPH, Jacques Kossowski, se cachent donc derrière leurs petits doigts, et ne veulent prendre en compte aucune des remarques de l'organisme ministériel qu'est la MIILOS (rapport commencé bien avant mai 2012 pour ceux qui pourraient douter de son indépendance). Parler fort et vivement en conseil municipal ne donne pas raison. Les chiffres et les faits du rapport de la MIILOS sont bien réels, argumentés. Les dirigeants de l'OPH de Courbevoie sont en revanche sourds et aveugles aux problèmes de logements des Courbevoisiens, et préfèrent continuer leur gestion datée de l'Office, dont le résultat se traduit très concrètement dans le rapport accablant de la MIILOS.

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Nous demandons une aide aux propriétaires qui effectuent des travaux entraînant des économies d'énergie.

A l'occasion du Conseil Municipal du 17 décembre 2012

 

L'opposition a le droit de poser quelques questions en Conseil Municipal, hors celles concernant les délibérations à l'ordre du jour. Ces "questions orales" sont envoyées par écrit 5 jours avant le Conseil Municipal.

Question posée le 17/12/2012 par Jean-André Lasserre et Joëlle Paris.

"La Loi du 30 décembre 2006 (2006-1771) prévoit dans son article 31 que les propriétaires d'immeubles d'habitation achevés avant 1989 qui effectuent certains travaux d'économie d'énergie et de développement durable d'un montant supérieur à 10.000 € par logement peuvent, moyennant une délibération du Conseil municipal bénéficier d'une exonération de 50% ou 100% de taxe foncière sur les propriétés bâties pendant une durée de 5 années.

Une délibération du Conseil Municipal de Courbevoie en application de cette Loi pourrait bénéficier à de nombreux propriétaires sur notre commune et les inciter à réaliser des investissements d'économie d'énergie.

Le groupe "Une autre ambition pour Courbevoie" vous demande en conséquence si vous avez l'intention de faire délibérer le Conseil Municipal en application de l'article 1383-0 B du Code général des impôts et quand vous comptez proposer cette délibération."

 

M. Gimonet, adjoint aux finances, a éludé la question. "On  réfléchit", "Nous regardons" sont les réponses obtenues.

Nous insisterons sur cette demande car nous pensons que cette mesure est bonne pour la planète, pour notre avenir, pour notre santé et pour l'incitation des habitants à faire des économies d'énergie.

 

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Quel avenir pour Blanchet Georges ?

A l'occasion du Conseil Municipal du 17 décembre 2012

Blanchet Georges ne rouvrira pas en maison de retraite (voir article ici). Mais que vont devenir ce bâtiment et ce terrain situés en plein coeur de Bécon ?

Il appartient à l'hôpital de Neuilly-Courbevoie ... dont le président du conseil de surveillance est Jacques Kossowski. Mais cette surveillance est à minima (à moins qu'il ne souhaite pas partager ses informations avec les habitants) puisqu'il ne sait rien de l'avenir de cette parcelle. Il laisse néanmoins entendre que l'hôpital a besoin d'argent frais ... ce qui signifirait une vente simple à un promoteur privé qui ferait de ce terrain une petite résidence de standing au centre de Bécon, inaccessible à la majorité d'entre nous.

Notre groupe a étudié ce dossier avec attention et nous pouvons faire des propositions :

- rester dans le giron de l'hôpital pour des logements pour les étudiants. Le rez-de-chaussée peut aussi abriter des salles pour les réunions des associations du quartier et renforcer ainsi le vivre ensemble entre les habitants.

- l'OPH pourrait préempter le site pour y construire du logement HLM. Rappelons que l'OPH n'a construit aucun logement depuis 22 ans. Et le maire UMP a déclaré ne pas envisager cette voie.

- Sans détruire mais en réaménagement, l'immeuble peut être transformé en résidence étudiante, à coût social (bien différent des prix pratiqués par exemple dans les résidentes étudiantes du Faubourg)

- Le transformer en résidence d'insertion. La structure de l'immeuble pourrait s'adapter à un tel objectif, trait d'union pour que des personnes retrouvent une insertion sociale grâce à un accompagnement personnalisé.

Les projets d'intérêt général sur ce site ne manquent pas, bien différents de la promotion immobilière privée privilégiée depuis des dizaines d'années par le maire UMP de Courbevoie.

 

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Blanchet Georges, la fin d'une maison de retraite publique à Courbevoie

A l'occasion du Conseil Municipal du 17 décembre 2012

L'accueil des personnes âgées est un enjeu de notre société. Si tout doit être fait pour que nos aînés puissent rester chez eux le plus longtemps possible, il arrive des périodes de la vie où il faut envisager un accueil dans une structure d'accueil.

Toutes les familles dans ce cas sont confrontées au même problème : le coût.

En région parisienne en général, et à Courbevoie en particulier, les structures EHPAD (Etablissement Hospitalier pour Personnes Agées Dépendantes) sont privées. Et donc très chères. C'est le nouveau business lucratif mais inaccessible à une immense majorité de familles.

A Courbevoie, la maison Blanchet Georges, dernier établissement EHPAD public sur la ville et appartenant à l'hôpital de Neuilly Courbevoie, a du fermer pour des raisons de normes il y a 3 ans. Elle ne sera pas réouverte, ni remplacée. Au même moment, des projets privés apparaissent en plein coeur de ville (rue de Bezons et ancienne clinique Vinci).

Le maire de Courbevoie, Président du Conseil de Surveillance de l'hôpital de Neuilly-Courbevoie, n'a rien fait pour maintenir un établissement public sur la ville, permettant aux personnes âgées de Courbevoie de passer de belles années de leur vie dans la ville qu'ils habitent depuis longtemps.

voir aussi article : l'avenir de Blanchet Georg

 

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