La future tour sud, qui fait l'objet d'un projet d'ensemble de deux tours appelé Hermitage à Courbevoie, est sous le coup d'un recours gracieux déposé par des élus d'opposition.
Suite de l'article dans territorial.fr
Les tours Hermitage sont le projet le plus scandaleux de La Défense. Destruction de logement accessible, déplacement et remplacement de population, flou juridique, aucune transparence financière, problèmes techniques, problèmes de calendriers …
Malgré cela, le maire UMP de Courbevoie fait le forcing, encourage et fait pression pour le départ des résidents, et soutient sans réserve ce projet injuste.
Le groupe « Une autre ambition pour Courbevoie » (PS – EELV – FDG) dépose ce jour un recours gracieux contre le permis de construire de la tour sud.
Les membres du groupes « Une autre ambition pour Courbevoie », par la voie de leur avocat Maître Gaborit, déposent ce jour un recours gracieux contre la tour sud d’Hermitage.
Le recours porte notamment :
2) Sur le fait que le permis de construire a été saucissonné.
Tour Sud. Tour Nord. Bâtiment 3. Ce découpage n’a aucune logique puisque le projet est un ensemble complet. En revanche, le promoteur regroupe son projet quand cela l’arrange. Par exemple pour sa prétendue conformité à la loi SRU (20 % de logements sociaux) ou pour les places de parkings.
3) Sur les manquements à la loi SRU
Rien ne montre dans le permis de construire que les logements étudiants évoqués dans l’un des bâtiments répondent aux critères de la loi SRU et du PLU de Courbevoie. Cette mention de « logement étudiant » ne correspond à aucune réalité juridique et le promoteur n’apporte aucune preuve de leur caractère social.
4) Sur la propriété des terrains
Certaines parcelles évoquées dans le permis de construire sont aujourd’hui occupées par un hôtel dont la destruction n’est absolument pas évoquée ni programmée.
5) Sur la qualité des propriétaires
L’accord de l’Epadesa s’est fait à une société. Le permis de construire délivré à une autre. L’ensemble a donc lieu dans un maelström juridique opaque que ce recours doit éclaircir.
6) Sur l’étude d’impacts
L’étude d’impact est totalement aberrante. Nombre de places de parkings sous-estimées, effet venturi mesuré « à la louche », impact sur les transports décalé, impact sur la circulation aérienne sous-estimé, même la taille des bâtiments est différentes entre l’étude d’impact et le permis de construire.
Jean André Lasserre, Conseiller général du canton de Courbevoie Sud / la Défense et les conseillers municipaux du groupe municipal "Une Autre Ambition pour Courbevoie" (PS - EELV - Front de Gauche) poursuivent le combat contre les tours Hermitage et pour protéger les habitants de La Défense :« Le maintien de logements accessibles à La Défense est une des conditions de la compétitivité du quartier d’affaires et de son développement durable. Ce projet idiot des tours Hermitage va dans un sens totalement contraire, s’appuyant sur des méthodes politiques dépassées et une gouvernance de La Défense à revoir ».
Manifestation, banderole, les habitants, les association et les habitants se sont mobilisés contre les tours Hermitage. Relaté dans le Parisien.
A l'occasion du conseil municipal du 5 mars 2012
Le SIEP est le Syndicat Intercommunal d'Etudes et de Projets. Il regroupe les villes de Courbevoie, Nanterre, Rueil, Suresnes, la Garenne-Colombes ... mais pas Puteaux qui a refusé d'y participer dans une incohérence totale avec l'intercommunalité COurbevoie-Puteaux.
Le SIEP a pour objectif de réfléchir au devenir de nos territoires, notamment dans le cadre du Grand Paris avec un Contrat de Développement Territorial.
Le SIEP a tenu une conférence de presse fin janvier pour préciser ses orientations.
RUEIl TV a par exemple diffusé un sujet sur le SIEP.
De plus, les conseillers municipaux des autres villes du syndicat ont eu accès aux documents d'étape du SIEP, avec parfois un débat au sein du conseil municipal.
A Courbevoie, pas d'info. Jean-André Lasserre a donc demandé au maire l'état d'avancement du SIEP.
MM. Bordeaux et Kossowki ont fourni des réponses pour le moins surprenantes.
D'abord, ils ont exprimé leur refus d'un débat, arguant que "ce n'était pas le moment". Ensuite, sur le fond, ils ont minimisé l'imprtance de ce document, s'en désolidarisant sur ses recommandations. "Document pas abouti". "Besoin d'approfondir". "Uniquement des hypothèses".
Devant le refus de débattre de sujets aussi importants pour le développements de nos territoires, le maire a enfin lâché, montrant ainsi son isolement total et son attitude recroquevillée sur des méthodes d'un autre siècle :
"Le rapport présente de grandes idées avec lesquelles je ne suis pas d'accord. Nous ne sommes pas d'accord avec les autres villes. Les autres villes veulent appauvrir la Défense."
Le maire UMP Jacques Kossowski reste donc ancré dans sa vision ancienne de la Défense,qui s'appuie sur la "grandeur", le "bling bling" et un développement à outrance qui méconnait les populations, tandis que les autres élus locaux de la zone, y compris de droite (Rueil, la Garenne, Suresnes, ...) semblent évoluer dans leur position et s'attacher à un développement maîtrisé de la Défense, respectueux des habitants et des salariés.
Cela ressemble furieusement à ce que Jean-André Lasserre et le groupe "Une autre ambition pour Courbevoie" exprime depuis plus de 3 ans maintenant, comme ici en décembre 2009
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A l'occasion du conseil municipal du 5 mars 2012
Lors du déclassement de la rue Serpentine, la discussion s'est orientée sr l'avenir de la Défense.
D'un côté Bernard Accart, adjoint UMP à l'urbanisme, vantant les mérites architecturaux de telle ou telle tour, de l'autre Anthony Klein s'appuyant sur des faits précis concernant la Défense.
1 - la commune est dans un suivisme permanent par rapport à l'Epadesa, obérant son rôle de contrôle de son propre territoire
2 - Plusieurs tours, First, CB21, ... ont des difficultés à se remplir. Ajouter du mètre carré de bureaux aux bureaux ne sert à rien.
3 - De plus en plus d'entreprises quittent la Défense pour s'installer en proche banlieue parisienne, dans des zones moins chères mais avec une meilleure qualité de service (proximité de logements accessibles, transports non saturés, vie sociale ...)
4 - L'aménagement urbain ne peut pas se faire sans organisation, comme si la crise n'était pas passée par là. Il y a confusion entre développement urbain et développement de la Défense. L'un empile des bureaux, l'autre travaille la qualité de service.
Nous demandons un moratoire sur la construction des tours idiotes telles que AVA, PHARE et HERMITAGE.
Jacques Kossowski, et Jean-André Lasserre ont poursuivi l'échange.
Le maire UMP défendant la construction infinie de bureaux : "la Défense disparaîtra si on ne construit pas de tours"
Jean-André Lasserre de son côté défend un développement de la qualité de service pour relancer la Défense. C'est la qualité des entreprises présentes qui en feront le dynamisme. C'est la qualité des transports qui permettront un accès sain à la Défense. C'est la possibilité de logements accessibles qui permettront aux salariés d'y travailler dans de bonnes conditions.
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Rédigé à 17h55 dans 16 - Quartier d'affaires La Défense, 21 - Conseil Municipal | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
A l'occasion du conseil municipal du 5 mars 2012
La ville de Courbevoie a déclassé la rue Serpentine afin de permettre la construction de la tour Ava. Anthony Klein pointe l'absurdité d'une telle décision, alors que les décisions de justice sur le permis de construire de cette tour ne sont toujours pas rendues.
Comme pour d'autres projets (Phare, Hermitage, ...), le maire UMP et son équipe sont dans un suivisme absolu des demandes de l'Epadesa.
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Hermitage, les tours plus hautes de France, relancées par le permis de construire
Par Christian CHARCOSSEY
CANNES (Alpes-maritimes), 7 mars 2012 (AFP) - La délivrance mardi du permis de construire des tours Hermitage à la Défense a relancé les chances de réalisation des plus hauts immeubles (320 mètres) de France.
Mais le scepticisme persiste sur leur construction parmi les promoteurs et banquiers réunis à Cannes pour le Mipim, le salon international de l'immobilier d'entreprise.
"C'est un projet les plus brillants d'Europe", s'enthousiasme mercredi auprès de l'AFP Philippe Chaix, directeur général de l'Epadesa (Etablissement public de la Défense Seine Arche) chargé de l'aménagement du plus important quartier d'affaires en Europe, situé dans la banlieue nord-ouest de Paris.
M. Chaix a affirmé qu'"il s'agit du plus grand investissement russe en France actuellement" (2 milliards d'euros, ndlr), en présentant la maquette du quartier d'affaires à une délégation de la ville de Moscou.
Le PDG du Groupe Hermitage, Emin Iskenderov, avait annoncé mardi à l'AFP qu'il avait obtenu le permis de construire et qu'il comptait lancer la semaine prochaine "des travaux préparatifs de construction". Il s'agit notamment du désamiantage de l'immeuble Damier Infra à Courbevoie (Hauts-de-Seine) - sur l'emprise duquel se trouveront les tours jumelles - une opération rendue possible par le départ vendredi de la dernière locataire des lieux.
M. Chaix a indiqué que le permis de construire avait été signé par Jacques Kossowski, maire de Courbevoie, au nom de l'Etat français après un an et demi d'instruction, car ce complexe de 280.000 m2, dont 165.000 d'habitation avec 543 logements et 40.000 de bureaux, est situé dans le périmètre d'une Opération d'intérêt national (OIN).
Modèle nord-américain
Le coût de ces tours, comprenant également un palace dont l'opérateur devrait être annoncé fin mai, un complexe de loisirs et des commerces sur le modèle nord-américain, est évalué au moins à 2 milliards d'euros.
M. Iskenderov a indiqué mercredi que le groupe Hermitage avait déjà investi dans le projet 200 millions d'euros en fonds propres, à quoi s'ajouteront 100 millions d'euros en 2012. Un pool de banques européennes, mais qui ne comprendra pas d'établissements français, trop réticents, devrait accorder un prêt de 700 millions.
Le reste du financement, soit 1 milliard d'euros, sera financé par la vente des bureaux et des appartements, au prix moyen pour ces derniers de 12.000 euros le m2, soit moitié moins que dans le luxueux 7e arrondissement au centre de la capitale.
Ce milliard d'euros devrait être obtenu pour un tiers au moment de la pré-commercialisation, un autre tiers au moment de la livraison du "couvert" et le dernier tiers à la livraison, a précisé M. Chaix.
Interrogés par l'AFP sur la Croisette, les nombreux promoteurs et banquiers présents, qui ont tous requis l'anonymat, ont exprimé leur scepticisme devant la possibilité de ces tours de pouvoir contempler un jour Paris en raison notamment de la situation économique préoccupante en France.
Ils rappellent que la tour Phare, qui devait devenir entre la Grande Arche et le CNIT avec 300 mètres et 69 niveaux de bureaux la plus haute de France, a déjà vu son projet être repoussé au premier semestre 2017 au lieu de l'année 2016 par son promoteur, la foncière Unibail-Rodamco.
M. Chaix a reconnu que de nombreux recours de riverains devraient être déposés contre les tours jumelles mais que ces recours n'étaient pas suspensifs tant qu'un tribunal ne l'avait pas décidé.
La démolition des bâtiments existants sur le site devrait débuter à la fin de l'année 2012 et le début de la construction au printemps 2013 pour une livraison des tours Hermitage fin 2017, affirme M. Chaix.
Le 1er mars 2012, le maire UMP de Courbevoie Jacques Kossowski a signé le permis de construire des tours Hermitage.
A quelques semaines de l’élection présidentielle qui pourrait changer la gouvernance de l’Epadesa, le maire accélère le mouvement sur un projet toujours pas financé. Le risque de friche urbaine grandit.
Le 1er mars, le maire UMP de Courbevoie Jacques Kossowski a franchi une nouvelle étape dans son inconditionnel soutien aux tours Hermitage.
Non content de mentir aux habitants en leur promettant de ne pas signer de permis de démolir tant qu’ils occuperaient les immeubles (il a signé le permis de démolir),
Non content d’accentuer la pression aux résidents des Damiers par des décisions municipales violentes comme les autorisations de démolition,
Non content d’organiser dans sa ville le remplacement des logements des classes moyennes par des tours de luxe uniquement accessibles à une classe mondiale privilégiée,
Jacques Kossowski a signé le 1er mars le permis de construire des tours Hermitage, alors que les conditions de construction de ces tours sont toujours aussi douteuses.
D’où vient l’argent ?
Depuis trois ans, nous réclamons sans succès de connaître les sources de financement d’Hermitage. Aujourd’hui, le promoteur annonce le début des travaux « en blanc », c’est à dire sans que la vente de l’ensemble ne soit signée, ni la pré-commercialisation actée.
Pour lancer une opération en blanc, il faut être assuré de ses fonds propres ce qui n'est pas le cas ici. Cette opération n'est donc pas garantie financièrement. L'opérateur n'a toujours pas acheté les immeubles d'assiette et ne dispose pas à son bilan des fonds propres suffisants. Les apports éventuels en fonds propres (et pas seulement les financements prévus à hauteur de 700 millions d'Euros) n'ont jamais été explicités ni par la Société HERMITAGE, ni moins encore par les actionnaires russes. Le risque est donc majeur de se retrouver avec une friche immobilière au milieu de la défense. Devant la totale inconnue sur les flux financiers à venir, nous demandons toute la vigilance de TRACFIN (Traitement du Renseignement et Action contre les Circuits Financiers) afin d’authentifier avec certitude les flux de financements.
A quelques semaines des élections présidentielles
L’accélération brutale du calendrier intervient à quelques semaines des élections présidentielles dont le résultat pourrait bouleverser la composition du conseil d’administration de l’Epadesa. L’UMP et ses alliés sont donc prêts à tout pour satisfaire les amis de Messieurs Poutine et Sarkozy, parrains de cette opération.
Pressions sur les 60 dernières familles, visites d’huissiers, menaces, décisions administratives précipitées, tout est bon pour que le promoteur puisse commencer des travaux avant mai.
Ce projet n’avait déjà aucun intérêt pour Courbevoie ni pour la Défense, détruisant du logement accessible à un moment où le besoin est le plus fort. Ce projet devient désormais dangereux pour les équilibres financiers fragiles de la Défense. Les risques et les montants en jeu sont trop élevés pour traiter un tel dossier dans une précipitation pré-électorale.
A l'occasion du Conseil municipal du 20 décembre 2011
Ambiance tendue au conseil municipal. à l'occasion du vote sur l'autorisation de démolir des Damiers Anjou. Les élus d'opposition ont fermement demandé que chaque élu qui votait POUR lève la main, personnellement, publiquement, devant les habitants des damiers réunis dans le public.
Sur ce vote comme à chaque vote, le maire a demandé "Qui est contre ?" Les 8 élus du groupe "Une autre ambition pour Courbevoie" et les 2 élus du groupe Modem-Cap21 ont levé la main, "Qui s'abstient ? (personne). Et il considère que tous les silencieux votent POUR.
Pour qu'ils assument ce pour quoi ils ont été élus, voici la liste des conseillers municipaux qui ont voté POUR l'autorisation de démolir des Damiers Anjou :
Jacques Kossowski a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Yolande Deshayes a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Bernard Accart a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Marie-Pierre Limoge a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Daniel Courtès a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Martine Levantic a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Patrick Gimonet a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Pierre Bordeaux a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Christiane Radenac a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Stéphanie Rousseau-Charbonneaux a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Yves Jean a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Michel Chambers a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Jacky Bauer a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Nicole Cossier a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Nicole Pernot a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Michel Rollet a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Arthur Saint-Gabriel a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Serge Desesmaison a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Martine Boragno a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Nadine Renault a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Eric Cesari a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Stéphane Fichant a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Claudine Catinaud a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Marion Jacob-Chaillet a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Laetitia Devillars a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Jean Spiri a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Aurélie Taquilin a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Marcel Poujade a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Christiane Didelot a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Nadine Bernard a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Chantal Sermadiras a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Patricia Doré a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Hervé de Compiègne a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Stéphane Rousselet a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Elisabeth Levaxelaire a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
François Moury a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Carole Royer a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Reynald Mongin a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Benoit Deneulin a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Karen Trouillet absente et non représentée (correction du 5 mars 2012 ndlr)
François Peyrot a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Khalid Ait Omar a voté POUR la démolition des Damiers Anjou
Les élus du groupe "Une autre ambition pour Courbevoie"
Jean-André Lasserre
Cécile Boucherie
Anthony Klein
Joëlle Paris
Ingrid Fasshauer
Daniel Suisse
Chritian Mimiague
Isabelle Tresson
ont voté CONTRE la démolition des damiers
De même que les 2 élus du groupe Modem / Cap 21 : Patrick Bolli et Franck Parmentier.
voir aussi les articles :
Non à la démolition des Damiers
Damiers Anjou : l'UMP va à l'encontre de la justice
Ils ont voté POUR la démolition des damiers
Du logement social qui disparait
Damiers / relogement : les mensonges du maire dans Courbevoie Magazine
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A l'occasion du Conseil municipal du 20 décembre 2011
Le 13 octobre 2011, le TGI de Nanterre condamne Hermitage à ne pas engager de démolition des Damiers Anjou sans l'accord d'ASL (les copropriétaires des autres immeubles de la zone). Il y a même une astreinte et ce dossier est loin d'être débloqué.
Anthony Klein a souligné l'idiotie du vote de la majorité UMP qui va à l'encontre de la chose jugée. Ce vote ne sert à rien puisque la démolition est empêchée par une justice moins soumise que les élus UMP de Courbevoie, suivistes. Nous condamnons donc fermement le vote par la majorité UMP du conseil municipal de Courbevoie de l'autorisation de démolir des Damiers Anjou.
Alors à quoi sert ce vote ? Ce vote est une insupportable pression sur les habitants des Damiers Anjou, Infra et Bretagne, dans le but de les déplacer pour remplacer leurs logements, aux loyers accessibles, par les tours de luxe Hermitage. Les élus locaux de Courbevoie, le maire, ses adjoints, sont donc les auteurs de cette pression sur les habitants de la Défense 1.
Par ce vote, les élus UMP qui ont voté POUR cette autorisation de démolir, sont complices des méthodes des promoteurs.
voir aussi les articles :
Non à la démolition des Damiers
Damiers Anjou : l'UMP va à l'encontre de la justice
Ils ont voté POUR la démolition des damiers
Du logement social qui disparait
Damiers / relogement : les mensonges du maire dans Courbevoie Magazine
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